3240962961

29

et les monozygotes.

Ainsi,

coi»(faux jumeaux) — cov(vrais jumeaux) =

Si Ton suppose qu’il n’y a pas de variance gśnetiąue non additive, la derniere eąuation s’ecrit

ccw(faux jumeaux) - cov(vrais jumeaux) = -a\

— ^cr² ~ 2°°'

En termes de correlation, soit t_v la correlation entre vrais jumeaux et tf correlation entre faux jumeaux, on a :

^s tv~2

2

Le rapport n’est que H². D’ou,

La difference de correlation entre les caracteres des vrais jumeaux et les faux jumeaux fournit donc une estimation pour 1’heritabiiite au sens large si Ton suppose qu’il n’y a pas de variance genetique non additive. Cependant, puisqu’on ne peut pas raisonnablement supposer que la variance genetique non additive n’existe pas, cette difference ne peut etre consideree que comme une limite superieure de la moitie de 1’heritabilite (Falconer, 1975). La tableau 1.8 donnę des estimations de H² pour certains caracteres basees sur des etudes comparatives des jumeaux.

Le tableau 1.9 donnę la composition des covariances phenotypiques ainsi que les expressions de la regression ou de la correlation en fonction de 1’heritabilite selon le lien de parente.