(Mes amies) me montr....... un dessin qui m'amus…….. beaucoup.
Après avoir labouré (ses champs), le paysan les ensemenc……...
Voici (un cadeau) que m' offr……… mes amis
Quand de vieux arbres menac……... de s'écrouler, (le bûcheron) les sci..........
Pierre achèt……….. (le livre) dont parl……..... (les journaux)
Des hirondelles nich.......... sous le toit de la maison qu'habit…….... (mon frère).
(Les conseils) que (son ami) lui don……….. rest……….. sans effet.
(Les touristes) se réfugi……….. dans un chalet où log……….. de pauvres montagnards
(Les eaux) de la rivière rong……….. les rives que protèg……….. pourtant (une digue).
Recopier ces phrases; pour les mots entre parenthèses, ceux qui sont au singulier devront être au pluriel et réciproquement.
Il faut maintenant que tu te consacr…........ entièrement à ta vocation.
Il est indispensable que je râtiss......... mon jardinet.
Je n'entreprendrai aucune démarche avant que tu ne m'avis….......
Restons disponibles afin que l'on nous prévienn…......... à temps.
Il ne se passe pas d'année sans que tu ne déménag................ !
Ces pies m'agacent. Qu'elles s'écart................ de mon chemin !
Il importe surtout que nos joueurs résist................ aux assauts de leurs adversaires.
A supposer que tu remport............... cette victoire, qu'en penserais-tu?
Le pilote et son ami embarqu……...... dans l'hélicoptère.
Il serait utile que tu consult.......... un médecin.
La tradition veut que le plus jeune prononc….......... un discours.
En admettant que tu discut............. nos prix, comment parviendrons-nous à un accord valable ?
Nous regrettons que ce jeune homme ignor................ encore les règles élémentaires de la politesse.
Que tu ne veill................ pas au chevet de ta mère malade me paraît déplorable.
Plus d'un prisonnier s'évad................ de sa cellule.
C'en est assez pour que vos confrères renonc………... à leurs obligations.
Il n'est pas certain qu'on l'accabl............ de reproches.
Il est bon qu'elles hésit............ avant d'entreprendre ce travail dangereux.
Je crains que les giboulées d'avril n'abîm ………. mon jardin.
Mettre les verbes au présent.
L'histoire que (raconter) ……….. ……….. ces personnes est fantaisiste.
Connaissez-vous les sommes dont (disposer) ……….. ……….. mon frère ?
Le projet auquel (songer) ……….. ……….. mes amis est irréalisable.
La peine que se (donner) ……….. ……….. ces enfants est énorme.
Je vois des prairies à travers lesquelles (couler) ……….. ……….. un ruisseau.
Quel est le sujet dont (dépendre) ……….. ……….. ces verbes ?
Au travers des arbres (scintiller) ……….. ……….. une lumière qu' (interrompre) ……….. ……….. par instants, les détours du sentier.
Les blés que (dorer) ……….. ……….. le couchant (onduler) ……….. ……….. sous la brise.
Le voyageur (suivre) ……….. ……….. une route qu' (ombrager) ……….. ……….. des peupliers.
Sur le fourneau (mijoter) ………..……….. le fricot qu' (aromatiser) ……….. ……….. le laurier et le thym.
Il se pourrait bien que votre frère m'interpell ……….. au moment où je m'y attendrai le moins.
Je suis fort aise que le temps t'empêch……….. de partir.
L'aimant attire indifféremment clous, épingl............, aiguilles, dés ou ciseaux.
Tu attends dans l'espoir que sa colère s'apais………..
Que vos congénères me délaiss……….. et ils verront de quel bois je me chauffe !
Croyez-vous que ces rustres ne baptis.............. pas leurs enfants?
J'ai bien peur que la fange ne souill............ tes chaussures.
La plupart s'accord………….. à reconnaître sa compétence.
Voulez-vous que nos vendeuses emball............ votre colis ?
C'est un magasin de farces et attrap.................
Plus d'un nigaud s'y laiss............ prendre tôt ou tard.
Qui des tiens aspire à ce que tu quitt................ ton emploi ?
Vas-tu à la pêche aux moul............ ?
Il se peut que cette pile électrique se décharg................ peu à peu.
L'électricien répara tout : pris................ de courant, interrupteurs, etc.
Veux-tu que je press................ ce citron sur le poisson ?
Souhaites-tu que ces messieurs dénonc…….... le coupable ?
Je crains que cette maladresse ne prolong….............. nos ennuis.
Tu écorces ces troncs de façon qu'ils commenc……...... à sécher immédiatement.
Quelques cheminées fum................, nous apprenant ainsi que des ménagères lav................ leur linge dans leurs buanderies.
L'horloge communale marqu............ neuf heures.
Trois veaux mang................ avidement l'herbe fraîche du pré. Leurs têtes frisées plong........... alternativement vers le sol.
Le beau temps engag................ vraiment à la promenade.
Jacques et Roger qui pratiqu................ volontiers la marche sont justement en vacances.
D'habitude, Roger se lèv................ plus tôt que son ami.
Assiettes, tass............, sous-tasses, services, rien ne manquait.
Les concierges cir…………. régulièrement ces parquets.
A peine éveillé, il s'échapp................ par monts et par vaux, à l'aventure.
La nature lui livr............ tous ses secrets et il en parl………… à ses amis.
Ces chaussures me serr.................
Douze équipes rest................ en lice pour les quarts de finale.
Ces adhésifs ne coll............... plus suffisamment.
Prenez livr............... et cahiers.
Nos services de distribution livr................ gratuitement la marchandise.
J'ai de l'eau plein les bott............... .
Ces lessiv............ ne m'inspir…………. pas confiance.
L'aigle, dans ses serr.............. acérées, tient sa proie.
Comment s'appellent les cimes qui point.............. à l'horizon ?
Avez-vous déjà profité des sold............ ?
En décembre, ces magasins sold............ leurs «fins de séries».
De grandes bâches coiff.............. les meules de foin.
Le coureur de fond portait des chaussures à point.......... d'acier.
Les baigneurs paress............ au soleil.
Un poisson rouge et une grenouille nag........... dans notre étang.
Le chasseur et son chien traqu................ le gibier de la forêt.
Paul, comme Jocelyne, aim................ la montagne.
Cette ville-ci, à l'instar de celle-là, organis............. une importante exposition.
Rien ni personne ne l'empêch............... de se dévouer.
Le mélomane autant que l'amateur de littérature éprouv……….. d'immenses joies à lire «Jean-Christophe» de Romain Rolland.
La timidité ainsi qu'une indicible crainte le paralys............ très souvent.
Un homme, accompagné de son fils, vagabond............. dans le parc public.
Le soleil, aussi sûrement que la pluie, port………….. parfois préjudice aux récoltes.
La plus grande partie des arbres port………….. des feuilles vertes.
La majorité du public n'acclam............... que par conformisme.
Quantité de citoyens se refus.............. à servir la collectivité.
On vénèr………….. souvent les gens pour se flatter ensuite de l'estime qu'ils pourraient nous témoigner.
Une foule de revenants hant………….. le vieux manoir.
Beaucoup promett................ sans jamais rien donner.
L'un ou l'autre de ces travers se fond……….. avant tout sur l'oisiveté, mère de tous les vices.
Moins de deux lieues sépar............... ces deux localités.
L'une et l'autre s'achemin................ vers la mer.
J'aimerais beaucoup les plaindr................ ; mais ce serait en vain.
Ils courent les fêtes foraines et les égai………….. de leurs farces.
Plus d'un chasseur s'y laiss.............. prendre.
Le chasseur a repéré les chevreuils, il les pourchass...................
Jean soigne ses lapins ; il les élèv........................ avec amour.
Moins de deux hectares échapp………….. à la hache dévastatrice.
Les aviateurs connaissent des nuages, ils les observ………….. souvent.
Le musicien travaille ses sonates puis les interprèt………….. brillamment.
Bébé et sa sœur capturent des insectes. Ils les emprisonn………….. dans de petites cellules.
Plus d'un touriste visit………….. cette forteresse antique.
Le philatéliste collectionne ses timbres puis les class.......................
Luc et Lisette ont ramassé des feuilles mort……….. ce matin. Maintenant, ils les brûl..............
Le vent secoue les branches et les agit.................. violemment.
Amassant noix et noisettes, les écureuils les enfouiss………….. un peu au hasard.
La poule nourrit ses poussins, elle les élév…………..
Les renards attaquent les hérissons et les noi………….. avant de les dévorer.
La pie vol…………. les objets brillants et les dissimul.............. en son logis.
Le porc qui est friand de glands, les aval………….. goulûment.
Plus d'un hôtel ferm.............. ses portes durant la mauvaise saison.
Les hirondelles bâtissent leurs nids à leur manière et les accroch.............. sous les poutres du toit.
Avant d'éplucher les carottes, André les lav.............. soigneusement.
Moins de deux heures s'écoul.............. alors sans qu'on vienn…..
Les cornes du taureau sont dangereuses, de sorte qu'on les recouvr.................. souvent d'une gaine de tissu.
Les gouttes de pluie martèl…….. la vitre et l'éclabouss............... joyeusement.
Le chien sert ses maîtres, il les protèg..............
Aux portes des échoppes se press............ la foule des acheteurs.
Plus d'une bâtisse succomb............... aux assauts des démolisseurs.
Veillons sur les infirmes, car on les mépris................... trop souvent encore.
Les agents de police renseign……….. les passants et les orient…………..
Le menuisier débit……. ses planches puis les rabot.............
Jacques et Roger glan…….. des épis puis les entass................ dans une profonde corbeille.
Sur la route pass................ un cortège de véhicules divers.
La dinde est fière de ses dindonneaux et les promèn…………..
Les bergers aim………. leurs brebis ; ils les surveill...................... avec attention.
Moins de deux mois se pass................ sans anicroche.
Les chevaux sont attelés aux chars, ils les tir…………..
Dans l'âtre flamboi.............. un grand feu de sarments.
Aim…..….. -ils le chou ? Certes, ils le préfèr..……….. même à la salade.
La nuit allum………. les étoiles puis les emport.................. avec elle.
Ces deux alpinistes étudi………. les montagnes et les photographi………….. minutieusement avant d'en entreprendre l'ascension.
Plus d'un journal mentionn.............. cette nouvelle.
Au bord du ruisseau nich................ la bergeronnette.
Sur l'eau flott............ une chaîne de bouchons.
Au clocher sonn................ six heures, la nuit descend.
Vers la fin d'octobre émigr............... les dernières hirondelles.
Entre les haies serpent………….. le petit chemin.
Au loin s'élèv………….. quelques minces fumées.
Autour de la lampe volett............ trois paires de mouches.
Dans l'atelier ronfl................ les machines.
A cinq heures chant................ le coq. Sur le toit tambourin............ des gouttes de pluie.
Vers tous les horizons s'envol................ ces grands avions.
Au fil des ans se précis………… nos destinées.
Comprenn........... qui pourra.
A l'est rougeoi............ les premières nuées.
Entre les planches disjointes filtr............ quelques rayons.
A midi plan.............. une torpeur envahissante.
Dans la fissure ruissell................ un filet d'eau fraîche.
(Mes amies) me montr ent un dessin qui m'amus e beaucoup.
Après avoir labouré (ses champs), le paysan les ensemenc e
Voici (un cadeau) que m' offr ent mes amis
Quand de vieux arbres menac ent de s'écrouler, (le bûcheron) les sci e
Pierre achèt e (le livre) dont parl ent (les journaux)
Des hirondelles nich ent sous le toit de la maison qu'habit e (mon frère).
(Les conseils) que (son ami) lui don e rest ent sans effet.
(Les touristes) se réfugi ent dans un chalet où log ent de pauvres montagnards
(Les eaux) de la rivière rong ent les rives que protèg e pourtant (une digue).
Recopier ces phrases; pour les mots entre parenthèses, ceux qui sont au singulier devront être au pluriel et réciproquement.
Il faut maintenant que tu te consacr es entièrement à ta vocation.
Il est indispensable que je râtiss e mon jardinet.
Je n'entreprendrai aucune démarche avant que tu ne m'avis es
Restons disponibles afin que l'on nous prévienn e à temps.
Il ne se passe pas d'année sans que tu ne déménag es !
Ces pies m'agacent. Qu'elles s'écart ent de mon chemin !
Il importe surtout que nos joueurs résist ent aux assauts de leurs adversaires.
A supposer que tu remport es cette victoire, qu'en penserais-tu?
Le pilote et son ami embarqu ent dans l'hélicoptère.
Il serait utile que tu consult es un médecin.
La tradition veut que le plus jeune prononc e un discours.
En admettant que tu discut es nos prix, comment parviendrons-nous à un accord valable ?
Nous regrettons que ce jeune homme ignor e encore les règles élémentaires de la politesse.
Que tu ne veill es pas au chevet de ta mère malade me paraît déplorable.
Plus d'un prisonnier s'évad e de sa cellule.
C'en est assez pour que vos confrères renonc ent à leurs obligations.
Il n'est pas certain qu'on l'accabl e de reproches.
Il est bon qu'elles hésit ent avant d'entreprendre ce travail dangereux.
Je crains que les giboulées d'avril n'abîm ent mon jardin.
Mettre les verbes au présent.
L'histoire que (raconter) racontent ces personnes est fantaisiste.
Connaissez-vous les sommes dont (disposer) dispose mon frère ?
Le projet auquel (songer) songent mes amis est irréalisable.
La peine que se (donner) donnent ces enfants est énorme.
Je vois des prairies à travers lesquelles (couler) coule un ruisseau.
Quel est le sujet dont (dépendre) dépendent ces verbes ?
Au travers des arbres (scintiller) scintille une lumière qu' (interrompre) interrompent par instants, les détours du sentier.
Les blés que (dorer) dore le couchant (onduler) ondulent sous la brise.
Le voyageur (suivre) suit une route qu' (ombrager) ombragent des peupliers.
Sur le fourneau (mijoter) mijote le fricot qu' (aromatiser) aromatisent le laurier et le thym.
Il se pourrait bien que votre frère m'interpell e au moment où je m'y attendrai le moins.
Je suis fort aise que le temps t'empêch e de partir.
L'aimant attire indifféremment clous, épingl es , aiguilles, dés ou ciseaux.
Tu attends dans l'espoir que sa colère s'apais e
Que vos congénères me délaiss ent et ils verront de quel bois je me chauffe !
Croyez-vous que ces rustres ne baptis ent pas leurs enfants?
J'ai bien peur que la fange ne souill e tes chaussures.
La plupart s'accord ent à reconnaître sa compétence.
Voulez-vous que nos vendeuses emball ent votre colis ?
C'est un magasin de farces et attrap es
Plus d'un nigaud s'y laiss e prendre tôt ou tard.
Qui des tiens aspire à ce que tu quitt es ton emploi ?
Vas-tu à la pêche aux moul es ?
Il se peut que cette pile électrique se décharg e peu à peu.
L'électricien répara tout : pris es de courant, interrupteurs, etc.
Veux-tu que je press e ce citron sur le poisson ?
Souhaites-tu que ces messieurs dénonc ent le coupable ?
Je crains que cette maladresse ne prolong e nos ennuis.
Tu écorces ces troncs de façon qu'ils commenc ent à sécher immédiatement.
Quelques cheminées fum ent , nous apprenant ainsi que des ménagères lav ent leur linge dans leurs buanderies.
L'horloge communale marqu e neuf heures.
Trois veaux mang ent avidement l'herbe fraîche du pré. Leurs têtes frisées plong ent alternativement vers le sol.
Le beau temps engag e vraiment à la promenade.
Jacques et Roger qui pratiqu ent volontiers la marche sont justement en vacances.
D'habitude, Roger se lèv e plus tôt que son ami.
Assiettes, tass es , sous-tasses, services, rien ne manquait.
Les concierges cir ent régulièrement ces parquets.
A peine éveillé, il s'échapp e par monts et par vaux, à l'aventure.
La nature lui livr e tous ses secrets et il en parl e à ses amis.
Ces chaussures me serr ent
Douze équipes rest ent en lice pour les quarts de finale.
Ces adhésifs ne coll ent plus suffisamment.
Prenez livr es et cahiers.
Nos services de distribution livr ent gratuitement la marchandise.
J'ai de l'eau plein les bott es .
Ces lessiv es ne m'inspir ent pas confiance.
L'aigle, dans ses serr es acérées, tient sa proie.
Comment s'appellent les cimes qui point ent à l'horizon ?
Avez-vous déjà profité des sold es ?
En décembre, ces magasins sold ent leurs «fins de séries».
De grandes bâches coiff ent les meules de foin.
Le coureur de fond portait des chaussures à point es d'acier.
Les baigneurs paress ent au soleil.
Un poisson rouge et une grenouille nag ent dans notre étang.
Le chasseur et son chien traqu ent le gibier de la forêt.
Paul, comme Jocelyne, aim e la montagne.
Cette ville-ci, à l'instar de celle-là, organis e une importante exposition.
Rien ni personne ne l'empêch e de se dévouer.
Le mélomane autant que l'amateur de littérature éprouv e(nt) d'immenses joies à lire «Jean-Christophe» de Romain Rolland.
La timidité ainsi qu'une indicible crainte le paralys ent très souvent.
Un homme, accompagné de son fils, vagabond e (ent) dans le parc public.
Le soleil, aussi sûrement que la pluie, port e parfois préjudice aux récoltes.
La plus grande partie des arbres port ent des feuilles vertes.
La majorité du public n'acclam e que par conformisme.
Quantité de citoyens se refus ent à servir la collectivité.
On vénèr e souvent les gens pour se flatter ensuite de l'estime qu'ils pourraient nous témoigner.
Une foule de revenants hant ent le vieux manoir.
Beaucoup promett ent sans jamais rien donner.
L'un ou l'autre de ces travers se fond ent avant tout sur l'oisiveté, mère de tous les vices.
Moins de deux lieues sépar ent ces deux localités.
L'une et l'autre s'achemin ent vers la mer.
J'aimerais beaucoup les plaindr e ; mais ce serait en vain.
Ils courent les fêtes foraines et les égai ent de leurs farces.
Plus d'un chasseur s'y laiss e prendre.
Le chasseur a repéré les chevreuils, il les pourchass e
Jean soigne ses lapins ; il les élèv e avec amour.
Moins de deux hectares échapp ent à la hache dévastatrice.
Les aviateurs connaissent des nuages, ils les observ ent souvent.
Le musicien travaille ses sonates puis les interprèt e brillamment.
Bébé et sa sœur capturent des insectes. Ils les emprisonn ent dans de petites cellules.
Plus d'un touriste visit e cette forteresse antique.
Le philatéliste collectionne ses timbres puis les class e
Luc et Lisette ont ramassé des feuilles mort es ce matin. Maintenant, ils les brûl ent
Le vent secoue les branches et les agit e violemment.
Amassant noix et noisettes, les écureuils les enfouiss ent un peu au hasard.
La poule nourrit ses poussins, elle les élév e
Les renards attaquent les hérissons et les noi ent avant de les dévorer.
La pie vol e les objets brillants et les dissimul e en son logis.
Le porc qui est friand de glands, les aval e goulûment.
Plus d'un hôtel ferm e ses portes durant la mauvaise saison.
Les hirondelles bâtissent leurs nids à leur manière et les accroch ent sous les poutres du toit.
Avant d'éplucher les carottes, André les lav e soigneusement.
Moins de deux heures s'écoul ent alors sans qu'on vienn e
Les cornes du taureau sont dangereuses, de sorte qu'on les recouvr e souvent d'une gaine de tissu.
Les gouttes de pluie martèl ent la vitre et l'éclabouss ent joyeusement.
Le chien sert ses maîtres, il les protèg e
Aux portes des échoppes se press e la foule des acheteurs.
Plus d'une bâtisse succomb e aux assauts des démolisseurs.
Veillons sur les infirmes, car on les mépris e trop souvent encore.
Les agents de police renseign ent les passants et les orient ent.
Le menuisier débit e ses planches puis les rabot e
Jacques et Roger glan ent des épis puis les entass ent dans une profonde corbeille.
Sur la route pass e un cortège de véhicules divers.
La dinde est fière de ses dindonneaux et les promèn e
Les bergers aim ent leurs brebis ; ils les surveill ent avec attention.
Moins de deux mois se pass ent sans anicroche.
Les chevaux sont attelés aux chars, ils les tir ent
Dans l'âtre flamboi e un grand feu de sarments.
Aim ent -ils le chou ? Certes, ils le préfèr ent même à la salade.
La nuit allum e les étoiles puis les emport e avec elle.
Ces deux alpinistes étudi ent les montagnes et les photographi ent minutieusement avant d'en entreprendre l'ascension.
Plus d'un journal mentionn e cette nouvelle.
Au bord du ruisseau nich e la bergeronnette.
Sur l'eau flott e une chaîne de bouchons.
Au clocher sonn ent six heures, la nuit descend.
Vers la fin d'octobre émigr ent les dernières hirondelles.
Entre les haies serpent e le petit chemin.
Au loin s'élèv ent quelques minces fumées.
Autour de la lampe volett ent trois paires de mouches.
Dans l'atelier ronfl ent les machines.
A cinq heures chant e le coq. Sur le toit tambourin ent des gouttes de pluie.
Vers tous les horizons s'envol ent ces grands avions.
Au fil des ans se précis ent nos destinées.
Comprenn e qui pourra.
A l'est rougeoi ent les premières nuées.
Entre les planches disjointes filtr ent quelques rayons.
A midi plan e une torpeur envahissante.
Dans la fissure ruissell e un filet d'eau fraîche.
e - es - ent ?? (accord du verbe) (6)
Homophones / e, es,ent p. 6/12 pf - janvier 04
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