ii ipe • «w,
i moomUoa*plus pi. Lit cenftdrt Kie. « prtparer di*
ii aa part, passś sonferti. — Dir. :
• ronfisseur, d’ou
i, xm« d’aprós le ► substant.
res pour un sens
iśgional d Sud* dans la graisse •, nffturerie, 1823; re », vers 1080 le sens de « dć-1Dcmi) *; dćsuet part. passó, au e grandę dćcon-xij* qui a suivi
utrę, du xie au
w « • Ann.
« secourable » (v. les prćc.), d’oti s’est dćvelopp£ le sens particulier de Fangi. — Dćr. : lnconfort, 1896; inconlortable, 1850.
CONFRĆRE, xme. Les associations de laiąues, ayant un patronage religieux, le plus souvent avec un but de piśtć, de cha-ritć, sont attestóes des le ixe s., sous le nom confratria,d’oii le fr. ,
xuie-xvie (aussi frarie, tous deux encore dans les patois). Gontinuation probable de la phratria grecąue. Devenu confrórie,
sous Finfluence de , dep. xme s.; confróre est dćr. de co, d’aprós /rere, de meme confraternitó, 1283, d’aprós /ra-iernitó ; confraternel, 1786, d’apres -nel.
CONFRONTER, 1344; confrontation, 1346. Empr. du lat. mćdićval jurid. con-frontare (de /rona « front »), .
CONFUS, xne; confuslon, vers 1080 (Roland). Empr. du lat. * fno*f