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II liii ćtaitallouć''cinquante boIs caoraiens touB lee ans pour 8'acheter des chemises et des chausses".
Pastwa sous la tutelle royale ,3t-iintonin jouit d'une tfan ąuilite qui;lui assura un bel easor iconomique dont trfmoi-gent lee boutiąues aux faęades scuiptóes de monstres grima-ęants ou ornźs de gaigouilleo symboliąues dont 11 subsiste encore ąueląues spćcimenB.Les deux principales industriee ■ furent celles des drap et des cuirs.Blle eut aa rue de la pellaterie •
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Bile coiiL...ence avec 1 ‘ćtranger.ll existe un jugement .du tariement de Pai iB au XIV® si&cle,cońfirmant celui du chał de BE*UCAlRi; qul condamnait la villede G8nee &. indemni ser des marchands de Saint-Antonin danb les marchandiseea-■ vaient śti pilłśes par des piratea k&noie. Un rćglement de Ićb9 renouvelć au XlV° ślecie fixe lea conditions de fabri-cation des drays.Acte curieux qui dćmontre pendant le moyen-age trop souvent m-gconnu.par dlgnitd comine pr interfit les fabrican\e se p£quent dfas8urer une loyale et crupuleuse fa-brication.Ce document mćrite tout au moins une brlve analyse ~ous lesdrape fabriąućs k St-anto'nin,y est-il dit serant" de Donnę et suffisante laine" les dimensions en sont rigoureu-sement fixćee,łsuiv&.nt la meeure de ąuatre bouquets de plerre plarfs dans le mur commun de ladite ville.Il est dćfendu de tisser de nult m8me avec la lumi&re.
Les commeręants devaient 3'assurer que lee file achetć dans la ville & des śtrangere sont de bonne laine.S’118 pa-: raisseny 8UBpects,on lee marąuera de quatre fils rouges tis-8ćs en lon^ueur.
Les tisserants qui travalllent pour les particuliers doiventleur rendre le rdsidu de chaque drap et nul ne «e permettra de filer k nouveau lesdite rćsidus.
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Bi des draps tiesćs hors de la ville y sont rpportćs pour. 8tre foulonnćs ou apprStćs et que, conformćment ćtlrćs ils atteignent la meeure des drapfl locaux}les pesuers en marąueront de deux fil ^aunes pour qu’ils ne soit pas scel-lćs de la merque publique et pour.bien ćtablir quTils eont l'oeuvre dfśtrangers. ...
Les tissarante devaient prSter 8-6'ment devant les gar.-des de la draperie"de tisser les draps"bien et loyalepient" les foulonniere śtsfeent tenua de contrftler les draps qui leur śtaient remis et d*en signaler la malfaęon sous peine dł§tre j5oursuivis pour complicitć.
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Ces ordonnances et statuts copi^s sur parchemin, ćtaient cloućs sur un tableau dane la maison commune pour