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Courrier tle Parift.
Yuici uiu* assez iiKUisside scniaiiir, imnobstanl la persis-taiice dii >|k*iI, U** fi’lrs tle Cliiiniilly cl roiivertiire des bals <:luiii|N'trcs ihlrti-Huiros. II psi trii*ugeque nolrcjcum* Pari*. Ic Pjris friiigaut, .111 piej Ićger cl u I allure wmlillanli* «l-lendc. I.i yciiuc <lu soleil jimir sc lim*r aux duiiMłs du piciu \i!iil, noiis S4IIHIIICS biMun*ii|i plus pressćs c«*llc aiiiiee, el aliu ile s.itUfain* l‘itii|Kili«*tioe tl« leurs liahilućs, los j.udins tłils O cle oni proceilć u Jcur iii.iu^uralioił par nnc pinie halLmtc. Au premier siyiul domie jmi Ic llaiiclngli, qui precho (oujoiirs d’e\cni|ilo cii sa qualitć ile do\en, ilabile a lanie se* uuadril-les, Ic Chaleuti-Rmige alltun^* ses lampion*, el Yuili ic Nnu-vcnn Tivoli ipii prlpnre son fen <J'ai tiliro.
En menie Iciups. nn aulro bcan inomJe, plus l'ri!cii\ cl p'n* dćlical, recomnienyail presijm* li liuis cios la cuulivduii.sc cl
liuiirc livre co double sceret a la Yengeanco du roi Pbilip|>c, cl riminisilioii fail lomlicr la \ ii linie sous Ic plomb d'unc scnliiiellc. |.cs c\ćcolions de rinquisilion ne fuisaient pas lani de limit, mais Ic dćnoiitncnl n*en psi que plus origi-ual. I.o siiji'1 IY>l un pcu moim, cl iious croyons ipie dorć-naYiint cc (|u’wn peul lirer de larims cl óblcnir dYnio-lioiis au moyon des intoitunes anmuranses de i lar los sera toiijours foli pen dc cliuse. Un ccrlain Schiller. d*uilh>urs, a rondu Pcnlreprisc assez diflicilo; il c.si \rai run* M. Corinou avuit cii la prccaulionde Ic promlre |Hiur collaboraleur; aussi M. Coiinun a-l-il fail applamłir Schiller au houlcYard.
(Juaul 5 1'Aiiibi^u, avcc 1’EluHc ilu Iłrryer, il u mis tout son nioirJc cii 1’air el icmuć ciel cl lorre pour une fin in-gralc. Voilft cc 1)11*011 peul appelcr de l*espril 6 la dćlrempe cl de riulćrćl en peinliire. Les dćcoralions de colle feerie sonl bclles, mais la pićcccsld’uno slupidilć fćeriqoe. Los dć
Coralcurs de M. Bćraud u‘oni pas de plus grand* omicmis los galopadr* <)iie ccllcs du’ Cbamp-dc • Mars Yciiaicnl d’in- i «|iic len nrosaleurs de son llićatrc. Lc Jialogue qu'il faul en-lerroinprc. Nnns poiiriious citc.r plus d'uu salon ofi Fona tcmlrc iJetruil lYffel des tableau.\ qui se succedcnl sous vo$ pulkć oflicielleineul en riioniieiir <Jc ipicląuo illiislrc ćtran- ycu.\ cnlre si.\ licures cl minuil. kjuanl ii nous, qui n*avons ger. Ile tous ces bal> )Hisibim>cs et icssustilćs pour la cii- jainais pti passer plus d'une licure devanl los plus bolles coiislaine, le plus hriiyaul el lo plus celebro, c'esi miii*.eon- luiles mus iious sen lir atleinls d*im pclil baillcimnl convul-tredil le b.il Je miiduiitn DucliMcI. L*fljrv|»lc s'y csl monit lc sif, nous coinpicimiis difiicileinent Ic chamic qiic peul olfrir il.ms Umie ki pompę cl la gardę iiatioiialo sous’ sou iiouycuu mic slutioii aussi prulongćedi-YanllemćiiieclMtruu. la ntdnit* cosliiuni. On ne voyait quc. henulls iniuitlćrielles cl \isage* foilt, le nieme clair de lunę el la nieme rloitr i/u Urper. ailiuinislralifs. l/Orieut admirail In-auconp los ilanscuscs 011 Eli souime, Ic plus grand succls llićalral de cctle semame, leura toilcllcs, cl les valscs le rejouissaient c\ccssivcment. I*iiniqiic pcul-ćlre, cost )a Tarce de la Frntinr Heclriqur.
Au boni de oollemiil fo«Tiquc. la pluparl des nssistauts se Drólerie ćlincclaulc, fcii follel de spiriludles bćli<es, fusil-sonl IruiiY^s loul ii coup Irauspoi l^s dans la forćl de Chan- ladę de qiiulibcUel de mols ćbouriflanls. Celto femme ćlec-tilly. Cclle pclile villo, balie ile du>ncs cl dc tillculs, ot 1111 lrique est un hommc qui danse cl taił danser lons cl cbacun joujou dont nos 1'arisiens nc samnsciit, conime 011 sail, qne au moyen do la verlu allraclive doili lu natura Pa doue au deux fois lan, au printemps cl h rauloinue. Cliaque saisou boul des mains el au boul des pieds. Cel ćlcctrisant vaude* ii'y dure que Irois jours, mais on la fail bomie ct couito, 011 ville esl parfailemcnt gesliculć par Grassol. v prond ct on v mćnc le plaisir au galop. Pour recevoir son U,ue vou* dirai-jc encore? ricn dc cliatmć dans la pliysio-beau Paris, Chaiililly sc paro coinmc la Sulamilc dans l*al- nornic de Pji is cl des Parisiens, si ce n’esl nne inlinile dc lenie do son jcune ń)»oiix; la pclile ville, en bomie menagera dćcorćs do plus, cl loul amionccmic nous ne soimnes pas quVlle osi. na gardo de nćgliger Ic plus esseulicl, les ca- cncoreau bont denolre rouloau... deruban moiró. Leciseau ves scmnlissent, 011 cinmagasinc des provisions, cliaquoba- ministericl seinble iiifalisnblc, et il vous en laille toujours. hilanl aliunie ses fouriieaux cl liro son couleau dc cuisiiio. C’esl h qui se placem sous PiiiYocatioii de la croix, cl nolre Il.ms cct allirail, Clianlilly rcssemblc lieaucoup moiiis ii In clievalcrie modernę loinbe cl linii comme )*aiicienne, dans Sulainilede la Bibie «|(ł*an (raileur dc la banlieuc allendant sa les ordres mcndianls. Cepcndanl bici encore la croix man-joyeusc popiilation du dimanclw. quail i M. Perpignan, ct M. Pcrpignan manquail a la croix.
Au denieuranl, c’esl un assez singulier spodach* que ce- Dans sa dotileur, il son plaignil a M. Duchalcl. ins(tccleur liii dc Paris s*aballanl sur Clianlilly. Point de razzia de Kaby- des Ibćńlrcs, il rćvait dćcoralion. c’e>t lont simple. — Neuf b*s, ni d*invask>ii dc Baskyrs qu*on liii puisse comparer. Ibćślres, el il sYn vaute, sonl placćs sous sa ferule, et Ic nii-lloinines et cliovaux arrivenl comme Pćclair el se fonl place nistro lui avail dii: « Quand uou* serons 5 di.x. nous feron-daus les liabiblimis i la maniera dc la foudrc. Lc rez-de- une croi\. » Grace au lutur Iheńlre Moiitpensicr, voil<l la cbaiissiY csl la proie doscbcvaux cl des jokcis, on uiiinge au croix faile, cl M. Perpignan la reęoil par avanccnient d’boi-premior; au second, l'on dan>o nu l'on joue. cl cbacun dort rie. Son eloilo brillail liicr au Munilrnr; cYst une promution 011 il peul cl s’il Ic poul. 0,|;***V i* la b’ie, c*esl loiijours la qui r^jouil cxccssivemcnl ccu\ qui Ic connaissent. mćme: crllc de mai yoiis ruprescnle cclle d'oclobrc et vice trr.Mi. A Clianlilly le leinps |»ciil diaogor, mais les program* mes sonl iiivnriablos. Lejircmicrjour 011 a couru, il pletiYjil; Cotlection Ucr scenar tht chorirs ri diplómts, rccucillis cl le sccoud joUrou couraił emorc, il plciivait toujours; le irni- nioulć* par M. DEr.ULis.
sićme, 011 a cbassć Ic ccrf, la pliiiealoniiboii.Cepeiid.ini, .
prace quclqiies inlci v;ilU*s huninctu, on pouvait suivrc dc C*esl aux soins ile M. Dcpaulis, uotre halnie graveur on ncil el sans irop dc desiigramciit les coursiers dans l.i car- inMdille*, quc Ton csl rodoyablc de cclle pracicosc collcc-rićrc. lion dont il a gratilić )e inusfe de I ecole des Bcnux-Arls el
Ic d< bal sur la |>rise en considćralion de la proposilion de riionorablo SI. Vivien sur los annom.es judinain *. Son au-tcur I a ibYclopp^e a\cc aulaul dc force uuo d liabilclć; ta I>arolc óIcyćc, tonvaiu<.m*, lucido, a • branb* plus d*un meiu-i»rc dcsconlrcs; mais la pn(|H»iiion av.iii elO rcpoustćedans les sossions prócWontes, el la Cbambrc. qui touebe S son bruro dciniórc, a. malgrć le surir.s oraloire dc SI Vivirn cl celni dc M. lb*ibmon(, rrpouste b*ois condufimis ct prlferl rimpeuilence linalc i uu relour qu*ell»* aurait regarde comme illogi‘|iie.
I.e debat sur les alTaires d«* la Plata a\ail, la suncille, amene une lullc plus vive i iicoro et lre.*-|iersonneiie cnlre MM. Goi/.ol olThiers. Uncaiitre non moins animóe sYsi en-gag#e dans la discussion gónćrale du hudget 5 1'orcasioii de l aYaiici inenl deux foi* accordd 5 uu nflicier quc d**s comlii-naisons dledorales el des;acquisilion* de voix auraicnl, di>ail ro|»)H>*ili«in, fail siiccossivemen( ćlevor au grade de colom ), pins S celni do marćdul de camp. I.e IĆYgrapbc ordmaire avail joueun rólodaiisreile douMccirconslance.ce«jui porlail la gauclic j penser quc rćlcctricild appliąudc au.\ dłfTlions proebaiues puurrailaim*iier dosolTols inallendus ct d immen-ses rdsultals |»our lo cahinct qoi liondra Ic lii.
A» myl f. niAMęAisK.— l.c.Seim»/«/iore dc Slarscillc a le premier domió par s(*s d‘:lails queb|uc consistaiice au brnil rć-pandu de la ddmissiimdi* SI. le inarćchal Bugcaud. I^^our-tml 1 les Drbals a repmdnil Parli cle de cclle fcuille pour e\i(cr dose proiioncer lui-mdme sur ces fails.
Voici commeiil ils sonl raconlós :
*Le voyagc «|iic M. Ic gdndral Magnan vicnl ile faire a Algercl ton proinpt relour S Marseille oni ilomió lieu S bieu dc> conjecliires'. Yuici ccque nous avons rccueilli sur la mi>-siou donl M. le gdnćral Slagnan avail ćld cliargd. ArriYe Ic S mai i Alger. cc gćiieml n’y trouva pas SI. le mardcbal Bu-geaml, cl ful invile,par 1111 oflicieravecqui il ful daburd en rap|Kirt. ii nrendre au secrćtariat du gouvcrncnr un pli que le niardclial y avail laissd i sou dćparl pour Blidali. Ce pli dlait la demission du inardcbal. M. Ic genem! Slagnan, qui avait ćtd, S ce qu*il parait, cnvoyd S Alger pour engager Ic maróclial, doili on coimais>ail leś intentions, a ne pas pren-drc une decision depuis loiigtemps mćdiiće, ful de plus iuviić. au nom de SI. Bogeaud, Ś raparlir proiupteuicul |H*ur la France. On sail qu« M. Magu.in csl arrive a Martcillc le li, cl un ii sYst mis inconiiricnt en roulc pour Paris, ofi il porte la mhni«ion du mardcbal Bugcaud. l.e coim nicur gdudral dc PAIgdrie si* trouvanl en ddsaccord avcc Ic niinislćrc, 110-laiiinicnl sur la ques(ion de la Kabylie, las des adaquc> des |ournaux, el u*approuvant jws la craation d’un minislere special )»our PAIudrie, aurait Jonc in
inci les vain |ui*iir.<. cl csl-il nćcessairc de yoiis par.M. l)c|Kiulis pour rclrouver el mellra 011 liimirrc lous ces r# nne Diumincr, Sbuulon d Filz-Kmiliusonl vnincu trćsorsi^pars ct enfouis dans la potissióre des dć(ióls publics, (inpliarnaimi, Pol-aux-Roscs ct Alibomn? Nous Yerilables caiacombos a>lminislralives.
*, comme hien dYulrcs, vous entrdenir aussi de la Dans le principe. M. Dcpaulis 11 avail reuni ipic iles sreaux »lc samcdi, sonnerdu cor, illuslrcr S nolre tonrla fonie rovaux, mais il vil bientól, ainsi <)iie tous les collecieurs,
• I*.. I . I 1. . . . li. ....... 1 !l I ■ ii I
ileś sporUnuneldes anKizou«^t son> oiihlicr les beaux piqitfux s’agmndir lc cercie de ses dćcoiiYertes, el il dul ólendrc ses galouu^s; somblable <1 Pdcuyer dc Diomćde, rien nc nous lnoulages aux scc«mx des princcs, dues, comlcs, barons eui[*ćcberail d*euumercr les cbev.uix et de dóiiombrer les li- feodaiiY el dc* lilulaires des riclies abbayes. Aiijourd bui la niiers; mais iious uyoiis d‘aiilres lifcYres il cuiirir ilans Paris. collection s*el^ve cnviron ii millc pioces ct nc peul manqucr I.e premier que non* surpranons au gile, cYst lc Thćatre- de s*accroitre encore. Ouelle lrotivai)lc ||votir la science l;ranęais avcc sa Ikrnterr mdl au Louure, miii ćpaisse en bistorigiio el pour ics arls, el ile quels tresors nouvraux v^ril4, et 011 IY11 n*y \oit gmillc, lani Ics canirlere* dc cclle Fingómcuse iibY rćalisće par M. Dcpaulis nc \a- I — elle pas malenamlreuse pićcc nous olTusijuenl, tani il y a dc confu- le< enriebir*? Pcrsonne, en etfel, avant lui ne sYlait avis^ sion dans les pcrsoimagcs cl les ćvdnenicnls. Vous savez quo ces einprcinlcs, si Iragiles par Icur natura, mais survivnnl quclb*s f.iblcsabsurdcs on a il^bilćcs ct imprimćes depuis Irois aux immiiinenls, dc pierre, d'argeot. dor 011 dc bronze, a-re sićcłes sur Ics derniers Yalois cl leiir ixmr. Lesauleurs dra- i*rrnmus, ponvaicnl ćtre reproduiles en plalrcau moyen du uialiipics oni enclieri sur les histnriciis, cl lous ces mnuloiis nioulagc ©t conslatcr, ^ dctiul d aiilres indiccs, lYlalde pro-
la .\uil an /.owcrecsl yciiii U snu lourpuiserk plciims mains. lombcronl d<*v.int sa seule ins|»oc*liou! l.cgoiivcrncmciil l’a Sa |iiico, prdlriidiic liislorii|iic, pr«*Uuil 1’elTcl <1*1111 cauclic- scnli, cl dćsormais il va s‘associcr il ce plan «lc rcclicrches cl mar 011 vous uc v«yez qu’aclMHis bu.irrcs ct ap|Mrilimis fan- de rcslauralion conęu par I liabilc gravcur; il lui prćlt* enlin tasliipics, 011 la parnio csl un burlcmenl el cliu<|iic gctlc «M» pnissanl ium ours: mais lc plus difficile ot fail, ct ces mu* grinwcc. La vcilb*. Ilcnri dc Bóim a ćpouti Margiierilc preiiiićrcs dilliriillćs, M. Dcpaulis cii aura Iriomplić avcc son ile France. I.e niari a ib*s mailrcsscs, madame a des .mi,mis. sonl umonr dc l*nrl qui lui a fail prodiguer Ics liitirsdc force GYj.1 lc iiiiiiiicnt ijiic i boisil la rcim* mćre pour faire rompre «l b?s saailiccs. Ubicfqm* coiujK*nsalion 1111*011 puisse lui olfrir lu mariage el. ptoclamer uu div<nre, xms miel prdbix(c.t aujiiiird’bu|, cYst 16 une belle parł de gloin* et qui sYtoudra M. Yaiiderlnirk voi|s lu dilel vous lc inontrc dans mu* sci*ne i dans l*avcnir. fort e(rango quii imus ne rjconleroiis pas. Oilbcrine coufoii-due ilr ri*u par son gcmlre, lui envoie du p<*is<»u ilans les fuiiillcs (l'iin ńsanlier, mais b* lW*ai uais sc gardę hien d*oiivrir le livre, r*e.sl la Iciielre i|n*il ouvre el le \oil.i |kii li pour ne plus rewuir. Yciilre saiutGris! il a laison; ()ii’il n’y reyiciiue jkis!
► Lo llifaln* ile la Gaielu sYst livr^ aussi 6 une elndc dninia-liijiiit sur lo seizieim* siecle; cela s'inli(ulc /*/i/7//»/ie //, el M. Coruion sYn esl prociamć b* pere cl auteur. II sagil d*iiii cerluin Pliilippe, roi des Fspagin**. jaloux ile son lils don Carios, (|iii s’esl epris mai ii pro|n»x ile sa bello-un're Flisa-bclli. Ui reinc Simpire, le jcune prinn* aimc el coiispirc; un
lliMloirnl** Im Krnioluf,
Los lui* ile credils, de coniples el la discussion dii Inni— gel rameneul cbaqtto annec un cerl.iin iiombre dc meiiies i|tn*Hlioiis. Nous avoii* di']6 cii occasion ile Ics e\poser pour la pluparl, i*l cc qiu* 111111.1 ciihyuiis dii iious ilispeusc d*y r«*vc-nic. Nous no iious occii|M>.rous donc «|in* desjNunls immeaiiY 011 de. ceiix tpn* le I.1I011I des orateurs a cii Part de rajeiinir.
Kii dcliors tle ces lois anmicllos, esl yciiii, siuicdidcniicr,
irrAvucablemenl pris le parli de ilnnner sa ddinission. el il scrail decidć 6 qnilier la colonie lorsqu il aura remis l Unarcnsciiis dan> lYial ou il se troiiYailaii muis dYctobre.
«Ce quc nous ven"iis de dirc e*t conliriui< par nne letlre iFAIger, en dale du 10 mai. Dapres cclle leiire, dc nouvel-Icsdifliculles se sonl elevćes qui iii* |«rmellaienlplus au ma-rdclial Bogeaud dc conscrvcr son |H»te; ses rap[»orls a\ec le gouverneinenl deveuaicni dc jour cn jour plus diflicilet. lielle IcIlre ajoule quc Ics o|H5ratious qm* M. le inarecliai Bugeaud vienl d eiilrcprcmlre Jnreroiil au plm une<|iiiuzaiiie de jours. Le góneral Baragiiey-d’tllier>, le duc dWumale, pbisieiirsaides)decamp du miuMre dc la guerre, ?onl \eiins successivemenl confercr avec lc niarćchal. La n(|H>nse du gonverneiir gźnćral 6 ces cmiiiiiunicalions uYurail pas ćle Iclle qu'on 1‘aurail il^sii^c. »
Missiom ok Ciiine. —Li mission dc Chine csl arriy^e au Caire lc 7 mai. LYdit de 1’empcmir de Ciiine porlanl, oulre la liberie de conscience oblcnuo precćdemmeiil, la rcsliiu-lion des ćglises, sauf cclles convorlies depuis leur eonlitca-liou eri pagodes ou cii maisons particnli6res, la punitioii des mandariiis rócalcilrauls. etc., etc., a ćlć publió 6 Oanlon le IB mars. l/original a ele remis 6 M. (iallerv le 20 mars. 11 porte ce documonl 6 Paris, el il parlira d’Afexaudrie par le proeliain paqucl>ot anglais.
Ouanl aux membras de la dól^galiou commercialo attaebee 6 l.i mission , ils sonl, enx, dfjft do relour. Ce sonl MM. J. Ilrdile, cnvoye par l induslrie dc soies; K. Itcnard, cnYoyó par rindiistrie parisieune; A. Ilaiissmami, envoy^ par Pindus-Iric colonierc, cl M. Nalali* Koiidol.enYOYĆ par l induslrie des laines cl telle des vins. Os divcrs diMćgiićs. ainsi que M..Maila!, agent colonial, sonl revenus avcc la corvctic 1’Alcmenr, couiuiaiid^e par M. Fornier-Duplan, capilaino dc \nissea\i. L’Alcndnr a iiiouill^. le 11 mai, cn rade uc l‘ilc d‘.\iv, el elle a rcmonll lc Icndcmain la Clwrcnie jusqu*6 Rochcfort. Panic dc Macao lc O janvier, elle a mis pri's dc cent Irenie jours 6 faire le vo\ age, upr6s «voir rclacliA un jour 6 Anjez (Ja\a), le il jamier’ el sepl jours 6 la xillc du Cap de Bomic-E>pó-raucc, tłu K au l.*> mars.
Am;i.KTEKne. Aitoulinn tlS/iniliir wr bs comnmnrs du bill tbs cćrAilrs. — |.a sCaneo du IN, b In cbambrc tłes commii-iii**, s*est prohmgiY forl avanl ilans la miii. Les repiYsentanls di*sdi*iix |«nrlis, malgri1 rćpui<cmcnt gćnćr.il. out ycmiIii si-gnalcr cc iiinmciil supremę jur de uoii\cau\ c(Torla «b> rai-soimcmeiil. M. Di>r.u'li a domu1 imc nomcllc ^dilion dc ses sareasnics 6 ladreste dc sir RoIk*iI lYcl. qn*il ail.iipic s.in> ci*v<e sur sos yarialioiis dYpinioii. I.e premier niini>lrc a AuS nobłeiiienl Ycnge ile cclle opj»osilioii il ancien ami parleclicf tli* l'op|Kłsilion rtYlle. Lord Russell sYsI chargd ile n(pondie 6 M. Disrneli. II l‘a fail 011 lermet simples, simialanl b* nm-Irasle de ces |M*rsonnalild* passiiUiiuYs avcc la graiiU1 dc la qm*tlion cl la g^n^rosiU1 <!••* nmtirs qni oni lourm1 lc premier iiiinMrc vcrs la caiisc ilu penpb*.
Sir llobcrl lVcl a pris, 6 miii lour, la parole. II a rćsiimć pour l.i Iruisićinc fois les nrguuieiils mii iinlileiil en faveur ile la liberii1 ilu coinmcrcc ile* graius dans riuler^l ile la suli-sislana* piiMiqtie. II a tlił qu'il lic syseiilail pas bnmilić «1V voir cbangć m*s idees >nr la IĄgislałii*n ile* cereales, b>r>qu'i) sYgissail (1‘iiiu* qucslion ile vi«* cl ile morl |»onr ilcs jopula-tioiis onlii*rcs. Lo bill, »-l-il ajoule. raimiul si bicn 6 uu Ih*-soin public, qu'ou nc siurail filer uuc sculc mauifcslalioii
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