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moulonnnre sur )a lisiireJtTuo bois. Lour dćmarchc. leur phv$ionoinie, le jen de la hi-miiTe sur lenrs laines soycuscs. toutes ceschoses sonl itudiie-avcc soin par madenioisolle lionlieur. Mainlenanl «|ii*etlc p« int hien le mouton, qu'ellc s'attache 4 inicu\ peindre leher-per. — M. YOohnKCKIIKII a dń lonptemps observor une fe-w*tre de gremer rl des /dijfons. pour nmis les repri<ent«r ain-i au naturę). Ce tableau a mi grand |iarfum de eolombier.— Ce mii domino au Salon, c*e>l le cfiien de tonie race, de tonie bille et dans toutes los con-ditioiis liićrarthiqiios do la \io. M. ALF II KI) DK DRKtJC

point avoc heaucoup do \órili? et ime urande h.ibileti do piii-ceau lo chicn do chasse et los tneules lancics anris le reuard. — M. YIAKDOT a exposi uu inagmluiuc torre-nouve. — M. YEHBOECKIHtt EN na pas eli aussi henreu\ dans son Chien des Py ren fes en rum/«j-(jnie d’un hor as du Bresil, et de deiur fpugneult. — M. Cll.\II— LES IIKitANCEHapeiiilaufniid dune alcAve Uli di\au soyciiy, an-slessus diiqnel on enlrevi»it, 4 inoitil nnsquee par dos ri-doaux cramoisis uno Ainae du Tilien. Les henrom hnhibnts do ce voluptueux houdoir suit J/rrry, Fury et Duke, trois tielits ipapnouls appartcnaiit A bl. le inarquis d'l tort ford. Je n>n linirais jias si je dc-vai> ćnumirer toiis les |mrlraits apparlenant au genre cuni.%. qui attosloul an Salon le poili prononcidunc espóce aniniale pour 1‘aulre. Mais asse* dc qua-dru|»Wos cum me cela; reve-uoiisaii penre bimane; au nre-niior de<vertól»ri$ mammiu-re* sui%anlCuvier: des ostiozoai-res vivipares, suivaut un autre: 4 Ihotnme enfin, suivant toul lo inonde.

M. CIIAULES-LOUIS MIL-

I.KR. dans son lableau intitulć Primmrra, iious le represento au printomps de la vie et de lannie, non dans l’heureux etat do naturo, mais liablllć de |Mii(aloiis collants do salin de toutes les coulcurs, en pour-)Młints rosos 4 mauclies billa-ilóos, frais. rubicond, enlouri de jounos lillos, de lleurs et de llacons de vin: en un inoL me-nant, sous la chandr darli dos fioux, sous los ombruges par-fuinis dos bois, celte lieureuse o\isteih'o qu*on ne móne, biłaś! nulle part dans notrenmn-do siihhmaire, mais dout les |*oóles ot los poiutres font bion do noiis traoor do temps A autre lemissant tableau, pour iious rirrier de nos ennuis par loiirs prąciem mensonges. Sniloinont il faul quc puriui loiinn iiiensoiiuos il y ait uno U«*c de vórite sufTisaute, s’ils voulonl laissor une o»uvre vala-ble au |M»int do vuc dc Kart, ac-ceplable par lo plus grand nom-bro. Simm ils leronl une umi-\r>’ do li hic fanbisie.qui plaira a queh]ues - uns malpre ce qu*olle aura dc fnux, ct qui •.'•ra ropoussóc p3r bcaucoup dVsprils sains on de pens cTim gont diRicitc. On pourrail ci-lor Walt ca n ctunine csomplo. Sos cumpusitioiis f.mbstiqiies, $a touchc lino ot spirituollo, suti coloris auiini piciu do char-mos pour un cortaiu nomhro iramateiirs. peinenl trós-hion ftre sans aucune valenr pour hoaucoup d’aulres. La jicintiire de M. .Muller esl une pointurc osseiitiellomout coqnotto, qui altire et plail 4 premiero vue. LagrAcc des nttitudes, 1'ahan-d»u voluptueu\, 1'attrait dc la jcunessi* ou dos jolis v i sap os, la reeliorchc pałanie dos costu* iiios, lo coloris vif, cliatoyant, ruisselant delumuTo, toiilcola voiis invite conime 4 une foto. M.iis si Yims yous y en-page/, au del4 de ccltc premiiro

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L/ILLUSTRATION, JOURNAL UN1YERSEL.