impn**sion, vnus m: Iroueez ricn. ta froiileur di* la sceno vou< gngno. Vons en vencz A peiiM*r <1110 lun* cos porsonna-gi* font mi a*M*z inldiocrc emploi dc leurs dix-huit ans. La com|K»silion tle cc tableau osi dillusc. Los liguros y sont se-WÓos ot unii grouplc*: la lumióre y osi «'purpill«re parloul. L'u'il osi lellcmenl ullirl parce ricln* llaljgcdc toin (es bril— lantis, qu'il va A lons lesnbjels au hasard, cYsl-A-dire qu’il no v.i nudo parł. I.nrl des sacriliees sctnhlc ólre inconiiu A M. Muller, (ju il les acccplc, qu*il introdiiisc Combra parmi los lonsdc son Iclalautc naleli*, ol sa cotilour acqucrra la sołidill (|iii liii mani|iic; il nese fora j*as coucnrrcncc a liii— Hienie, tiiant la loiulo par la leintr, (o rcllel par lo rellnt. Fitisou* dos virux pour quc cci liabile pciutre coluristo no pordc nas son talonl p:u Cabusel Ctytaglraliun de ses quulitls. — M. LKPAULLKaexpoxl dou\ potilstahleaux de gciircduul los sujcl* soul płaci* par liii on Orient. Je ilonle fort qii‘il ail Ile les y cliorclier lui-niómc. Kfit-il fail iCailleur* Ic Yoyagc, ce i»Vftl cncore Ul que Ic moiiis diflirilo dc la licsognr. La viVilable d ifficnlll anrait ltó dc voir dos Odalisgues on bain et ilntfirieur d‘un kurem. Aussi la vlritl loiale, oello passion delVpm|iio, soinlde-t-ello fairc ici lout fi fait dćfaut, ct, entre tons eos miimis et cos fnrtncs d'odalisquo* <|ui se baignent on 50 trouvo uu pcu dósoricntć. CYslbimi pis sinons passons au harem. Quolle ligure d’enterromcnl a lo sułtan au iiiilicu de tmilos sos foninios! Qu*«t-t-il donc penlu? lin vain. I nne dianie, Tauta* jouc do la mandolinę, cclle-ci rafruicliit fair avcc ii ii ĆYentail dc fcuillos dc jwilmier, ccIle-lA eliassc les iiiouclics avoc uim qiicuo de je u»: sais qnoi, nnc dorniórc liii prósenlc avec les yeux les plus ainnnrcu* dii mumie Ic bont d'pnhre d unc pipo magni(iqiic... ricn nc Tlmeul. On e*l lenił dc liii dire cominc Mol A Ahasvlru$ : « Ono. vous ólc* tern-blemcnl błasi pour votrc Age ! » Lcspauvrcs ndaltsipies cllcs-iiióincs nul 1’air dc sYnnuycr bcaucoup ct do ne plus savoir A quol sainl se voucr. — fcn rovanclic voici nnc jeune femnie riouso, jolie commc un liitin, donl le sourira piciu do malice csl dos plus coimniinicatifs. Pour.pioi ponffe-l-olle ainsi de rire en se cacliaul dans son inouchoir? parce qn'nn marquis dobom A ciii d’ellc liii a nioiilr«;.... ma foi je no sais pas ce qu’il liii a mon tri; mais il lient ii Imnain um* gravure cl & la yrimacc siguilicntive qnc lait iindisrret en la regardant, ii la mino pilicie d*unc prude assise un peu plus lom, il parail •ju il y mam|iie quelque feuillc dc vigne. Cctle petiłc srónc ogrillurdc aura boaucoup de siiccós quaml ellc sera gravle. M. SCIILESINGEB a ile moiiislicureux dans le Collin-ntail-lard n**it cl le Pont rT omaur. II s’y lronve un plus grand nomhrc de personnages, mais rnlontile absolncde loiilesles figuro* de joiiiics fillcs est dTnic insuppnrtalie nionoionie, san* tompler qu'cllo cslnbsolunicntimpcssible. — M. GUI1--LliMIN a plusicurs lableau\ degenro tras-agrealilcs ct liabi-Icmcnt remlus : La Lectnre. Lc paysan breton osi j»o*l avcc bcaucoup dc nalurel. Peinliirc. solide cl d*u» effelliannonieux; pclitctoilc bicn complele. J'en dirai aiilant do lu Mauwisc łuitiurlle. Les Amatcurs seuihlcnl ótre inspiresde Mcissonnior. Cola inannue un pcu dccamclórc cl dcpricision. U Cantoi cii hassc-Brctagnc. Le cor|« dii dćfunl est |Kisi sur un dia-riot tirć par deus bumfs et un clioval. Les lignres dos paysans qui 8Uivcnt ronlorremcnl ou R agonnuillcnl a son passige. no so dótachonl pas asseic des lermins. II ya dc la coiifusion et la couleur est 11*1111 gris tron uniformo. On trouve dc la gaietę, do la vćritó ot dc Tcsprit d ohservation dans le tableau inli-luli l’Art au rćgimenl.— l-M Seeneirinlerieur par Al. STIilN-IIKIL. Composition npreablc, spiriliiellcnienlrendue; los per-sonnages oni des physionomics vivaulos. On disireiaitseule-mcnl une toudie un pcu plus notle dans nnc aussi petite toilc.— Al. E Al ILE BElłANCEIl a exposidcux petils tableaux charmanf*, |H*iuls avec un grand (ini, d*nne couleur fralchc et luminousc et composis avec grilcc cl naturo!. L’un repri-scnlc une Couluriere dans sa cliambrelto. occupio 5 eoudrc une jupe dc silili rosc dont los reflels vicnnenl ćdairer sa cnrnutiou vivace. Cetic icune lilie accortc est posic avec tant de u.iturcl, qu,cllc seinblc avoir ćli copićc sur naturę. On nc Siiurait lui roproclicr quc d itre pcnl-etrc trop jolie, d’avoir les levres Irop piirpnrines. L'oinbre dc la jouc est aussi trop prononcio, c|lo fail tron lonrncr le relief ou vi<agc : — II ne in.iiique ii une jeune Filie faisanl kouillir son lait que d'ótrc signće du nom de Gmncou dc Chardiu. C’ost bien iclairi, il y a dc l*air, les itoffes soul trailies facilemcnt, mais c'est un p«*u mon. — Oulre les Paysuns beptnis sur/tris /nr un ours reprmlnils dans 1’lllustratum du II avril, M. EDÓUAIU) GIHAIlUETa encore exposi trois nulres tableaux de genre plcins d'agrimont cl dc virili. Le ilrfenseur tle la cwronne, nu jeune piitrc des Alpcs qni cliassc 11110 rlióvrc. familiórc jiis-qu*,Jt vcnir broulor sur la Ićte d'une politc. lilie efTi ayós* dos planie* cl des lloms tressies cii couronne. Lc j>riit Yolrur tle l>ommes. l/cnfaut ćlend diji la main pour les saisir, cn rc-gardanl si le pay*an endormi ;i qui ellc< app.111 lienncut ne se revoilłcra pas. I) nc sait pas quo lc malin Yioillard a l'u*il opposi parfailomcnl ouvort, ol qn’il Tulloml pour le pren-dre couiino au tribucliol. — Im leitre ilifjicilr est 1111 petit clicf-d*nMivr« do viriti, de naturo pl iso sur lc fail. Une vioillc foinuie, dans lc costuinc de 1'Oliorliasli. appreml A liro ;i un grand garęon quia latótedure. Les Yorgossontlft monaraiiles. I.o garęunnot w marchc sur lc picil ft lui-niómc, se gratte la telo ol a 1'air dYiiYoycr A tnus los diablcs 1‘arl dc |K*iudrc au\ rput la pa rolo. Toulrs ecs pclites •omposilioiis sont des plus iouronso>; uialliciircusnucul lc coloris cn est iusuflisant, ct ocla los rmpóelic d'BVoir tonie leur valonr. Ellos seront sans donic roprodnites par lu gravnrc.— Al. BKLLANGEIt sail par cu*ur lc sohlut frauęais, son allurc. sou altitmlc, so* uucurs. miii costuinc, les millo ditails d<* sit vio; muis citornns ses doux potils tableaux : tm Hicouac ol mmc llalte. Dans ce der-nior. de* CJivalicrss‘apprólont ii ijnilter une auberge de villago, oii il* oni vidA, quc|quos bouloillos. Mais nuolqiios-uns nc gmiYcrncnt plus bion leur ccnlrc do graYite. Un cuirassicr vout absolunicut cufonccr sur Sii lóte sou casquc sen* devant derriure; des soldats rondem .i un dragon le soi vicc do lo ro-inottre on solić, car pour lo quarl d'lioure, il on est complć-tomont incapahlo de sa pcrsnnne. Toutcs ces potiles scóuos
sont ronduos spirilucllciuenl cl ólinccllcnl dc gaicló et de fraucliiso. — Al. llfclM>UIN wiulilc ólrc un troi'ieiue fićrc do<i ilciix fióros Lelou.Y. par la naturę do> sujets qu'il traile. par lc eliuix ct lc caraclóre dos pors<»nnagcs ol aussi par l'cx^eu-lion. Cc|»end3iit, r'os.1 par cc dornier oii)1 qu*il commonce un pcu iisc sójmrer. Sa llalte [Hasses-Pyrcnees) osi dans un bon scntinicnt de luinićrc, asscz linę do luiis, cl group^c avcc v«5— rilć. —Al. I.E l’OriTEVIX a six tablcaiix ;i l'c.\posilion. C‘o>i loujoursla móme i»«-llel^, la inómc facilitć dc pinccan, In imhnc fecondiló do rauluisie. On voudrait qu'il fiil moins liabile, qu'il oiil moins do siirotć dc main, el qn'il fiil 1111 pcu plus naif. II so próoccupo Irop de 1’oITet coquet. —Iss Chasseurt dc M. GlllALD renconlront nnc jeum* |«ysaniie ou donnie, niigiiouuc, poupin^e cominc ou n'on rcueoiilre millo part ni dan> los bois ni dans la plaiuo. A Ja v#ril6, te sont dos chas-sour* do bon temp* d aulrcfois. — Le Fitvrrux dans la com-paynr de Home ajipnriicnl au genrc miloycu onlre la grando pemture ct la peinliirc de genre. Cetle ligure est bion nosće, olle a raflaissoiiioul dc la nialadie et nc mauquc pas dc ca-ratlćrc. — Al. LE>EL(^ a mis de ranimatioii ct de la YĆritd de pliysionomic dans un Improiisateur a Saples. — Lts La-irnsfs. Ca u serie ii la fontaine, Femmrs surprises [aria morfie, ces diverses sct'nos soul icmJues par M. AUGUSTĘ DELA-CltOIN avec un pinccau facile el gracieiu. — M. GABIIIEL SUJEKFEIt a oxposć plusicurs sujcls agr^iblcmcnt trailrfs : Le Drjuirt de iluUe: u ne Jeune filie: Jeune danie espaynole; une tfitede femme des enrirons de Home est rcinamuablc par rexprcssion. Ellc csl jenne cl jolie, et la płleur, la lixilć dc se* regards obliquc* Iraliisseut lYmotion contcnlrće dc jalou-sie A Uqucllc ellc est en proie. — Nous eileronsdo M. BAU-DIION, la /inyaro, Jeunes Filles de Smyrnę, la Sńlurtion, Ufiocrie; Etude: — dc Al. SAIICUS, des Paysotines desenci-ruiis de Home bicn groupeos el d‘un ajuslciuciil pi1loresque; — dc M. rKUN OST-DUAIABCHAIS, des Enfants surpris par un aiyle. — ranni los lablcan\ cnvoyćspar lespcinlres bolgcs cl hollaudais, nous citcrons une Ffile houryenise aa dix-srp-tieme siMe par Al. LEYS; Hembrandl en I !».*»(», au moment ou on exficutr la vente de sa mai son pour ilettts, par Al. YAN-IIOYE; Cne. Ffile de villaye ausud de la llollande. double effel de lancet de lumiert, par Al. VAN-SCIIENDEL.— Les tnbleaus dc genre sont tollcmcnt nombreux au salon, quc menie cn *c limilaut, ou a un asscz grand noinbre dc noins ;i cilor. Doux pelites loilcs dc Al. AKAGO mćrilcnt d elrc parliculióremont rcrnarouócs; ellos upparticnncnl par leur stylo a nnc pcinluro plusrcIeYóc. Hecrealion de Louis .XI: aeconipagin4 dc Tristan, il ilonuc a inaugcr A dos pigeuus. La Iroidc bcniguilć passa-gerc dc ces dcu\ compnguons est trós-bien rcniluc. Ccsdeux liguros soul dcssinócs avec largeur et formetć. — Des Muiues de diffe.renls onlres altendnnt audienee dn pipę pres d'un des escaheis inlerieurs du Yatiean. Ces moines sont naturolle-mcul grunpó* el out de la lournurc. II y n dau* los loilcs de Al. Arago dos qualilćs solides; cc qui leur mampio, c\*sl un modelć micux accusd. — On cornple cotlc a umie Imit ta-blcau.x de M. GlłANET. Quels qu’cn soient lei sujcls, on sail que ce qui preoceii|K3 exclusivement l'ailisie, c'csl de masser les ombres et d’accrocher quclquos vivcs lumieres sur lo* con-lours des corps cl les arólcs des objęli. D.ms la simpliriltf dc* tnoYcns qu*il einploic, il rcncoulrc toujour* siircnicnl IVIlel nu il chorobę, ct Tcri! du spcctaleuc csl satisfail a Timtant; il n*a ricn A chercher, il aperooit sans cfToi l. II \ a toujours des nioiuos dans les lablenus dc M. Granel. non dc ces moines A la faęon do Zurbaran, qui vous epouYanlcnl par la dou-lourcusc profondetir cl l’e\altalion de Jt»ur wcelismc, mais des moines sans prelcnlion. qui sont la seulomcul pour porter, pour Irainer lours lougues rol>es pillorcsques. Quc cela soil saint Franęois renonfint aux pam/ies du tu omie, grando pein-tnre bi'tori<|uo, ou ilnterroyatuire de Saionarola el les ap-
Łrels |>our lc lorlurer, ni la terreur ni le detaclicineul des iens de ce moudc ne dcsccndonl dans votro Anie. La folie eslailleurs pour le moment; elle s*anuisc A $uivrc la dópra-dation cl les accidents dc la lumi^re. que lc pciutre rend si largciucut et avoc tani de boulieur.
Al. II. LEHMANN s’esl inspirć, dans ses Ocfianidts, de la sotnbrc poćsic d'Escbyle. S*il csl resti* au-des^ous dc la gran-deur cl dc lYn .Tgic palbetiqucs dc son mndólc, il a Iraitć son sujcl avcc simplicild ct il lui aimprimć un cfi laiu cacliol par le caraclóre de dessin dc sou groupc qu*il seniblo ayoir eonęu dans les donnóes do la staluaire. Promóllióe osi dismacieu-sement allachć sur *1111 roeber dans un eoin sarnlie du (a-bleau. Los lilie* do TUtóan pleurcn! sur son smt otsciiiblonl, par la dislantc oii ellos sc licnuenl de lui, *'y rósignor pmir leur parł. Du reste, il y a bicn quolquc 4 Iiom* ile st‘mblablc dans la tragedie d'E*cliylf, ce dramo ćrnmlinse, la plus elon-nanlccróaltouquiniljaniais paru snrlasoóuc. Ou so nippclle que los 0» óiiiiides s’y ubamlonnent d'abord A leur pitć el lais-scnl óchapperdes muriuurcs coulre la pnissancc lvrauniquc de ri)lym|tc; puis lc* scnipules los gagneul iIcyuiiI 1’imlomp-lahlcćńeruic du grand róYiduliounaiio qn ello* plaiguonl tuii-jours, mais qu*ellc* finisM*nl par lroiiver un 1vrve.u1 lirfiló; cnliii. ipiaud lc HiAliiuciil s*alml sur 1’romćllióo, ellos so di-sonl los unos aux anlrcs ono cc si*rail uno lacbclć de rahan-domier ; mais la crainte «lo sc compronn-lire roiuporlc; ellos sYloiguonl el riuipiloyabłc pooto no |jis>e inómo |ias A leur
faihlntsc lc |irćloxle d uius terreur tógiti...... olle* sc disper-
scul sou* la iiienacc proferóe jKirle plus vil miuislrcdcs dioux, par Alcrcnro. Admirable dnu ilu genie qui daii*eolle|X'iiilurc ideale a stigmalisó les lAehctós dc Tayonir. Cctle fnblc s'csl repólóe de nos jours. Seulomcul, eVlail uno nation au licu <1*1111 homilie mii elail ojqiriim‘*o, ct cYlaieul dos |»rupb'S qui Ririiiaienllo cliirur, acrcutaul, commo losOróanidos, los fjits ateomplis. La poósio irEsebylc óvoillc toujours forlomcut la pelisie; jo m etomie quYllc irail pas porló Al. Lohmann a en-trer plusprofondóiueiildiius Soli sujcl. AprósEsebylc Al. Leli* matm s‘esl adn*ssó A Sliakspcarc. CVsl encorc la un poóte trop penscur, Irop |isycologixlc pour lc laloiil de Tarlislo inoiu* occupl dc sriiliiuom quc do soioncc plasliqne. Dans 1111 sujcl
anliquc la puroll. la simplicill du Irait sufliscnl prcsquc A la trailucliuu. Mais lossujob ornpiuiilć* aux grands mo-
dernes, surtout ijuand ce |mi*lo c'l Sliakspcarc, eiigoni plus dcsouplcsso, plus dc luoiiYrmciiI, plus de passn»n. Hs appel-lent aussi ilaYauiagc la ciiulfur cnmincinojon {.uo-ant d‘iu-lorjirllcr, de fairc at riu*r au speet.ilcur los vagues barmonics qu il* com|Kjrlont. l(«*trouve-l-on dans XHamlet dc Al. Lehmann to qualilós qui conslilucnt c« t Orcstc modernc: A cole d une Arno maladr, loiumoiilóode ibmlcol Inonlc |>ar la ml-laueolio, nnc naturo unblo, Ucyóc cl capable ii óiHTgic si lei habiiudcs dc la pciiM-c ot do la módilaiion n‘avaionl pas pa-ralysć son aclivite?Ni.n,cc nest pas la cd llainkl quo loul lc mondc a revl.Si c*elail lui, je no sais qm*|lc Irislesso pri*-fondc, quo| doulourou.y iulliól, quo||e secretc lerreur, nous gagncraicnt au ijieclacle do cctle gramie misćn* d»* j*intolli-gonce łiumainc. Cc ii*cst jm* l.i Hamlet (out cnlicr, ce u csl qu*unactcur qui s‘cs*aye A joucr co nile ct qui ne l a cncore cotnpris que sous lo poml do vue supcrficiol dc Tindlcmon, dc TafTaissement ct dc riiabilude. La ligure d Uphćlia ol plus salisfaisanlc. Cc* ycux lixes, vilrciix apparlicnnonl A la folie; bion dos arlistrs vulgain s auraicnl ici cxagor(* Tcxpres>ion; M. Lehmann y a mis dc la rncuurc; il ol peui-<*lrc móme trop resll en dcęAdcs limilcs dc la donnie. U ligure iRiphi-lia csl bicn posóo, l*alIi(tidc cl los golos no iuanqiicnt jta» de vlrilć. Alais il y a dans lo rondu dola furmc quc!uuo clmsc d'uni qui rappclln lo marbre. L’lclalanli* lumiórc donl lar-lislc a montlć sa ligure cnulrihue encorc A ec rapprm hcmcnl par Tlgalill deshlancsIropuniformlmcnt rljMiidiis. i^*sdoux liguros sont 1'u uYro [i|*iine main savnnte ct Jubilc; ellcs offrcnldesparlios lraiteosd'unc inanierc sujićricure, entre au-tres lc* mains d llarolet; ellos om dn relief, du caraclóre. ol-Ics atiircnl involonlaircincnt Taliomion; mai* nialgró le rmS-rilc lininenl de ccs dcu\ rotnposilions, ou plntót A cause de cc incrite inómc, on est surpris de nen ólre satisfail qu*in-complelerncnt. cl on sc domamle qu‘csl-ce qui leur manquc el pourquoi rllcs nYmouvonl nas. Cesi quVlles nuiit pas loulc leur signilicaliou, cl quc 1 amc n'osl pa* yodiic echauf-fer la science dc lar listo. Du reslo, il parail quc ces figurcs, conęues ot cxlcullcs oycc rapidite, om Ite pour M. Lcbinaun unc distraclinn nux travaux qu*il c.\ecmc A la coujhiIo de la cbapelle des a\ougles.
Al. HAFKNEIt c»l un pciutre qui acceplo, commc M. Lc-lcux, la róalitó telle quYllo sc presente a lui en faisanl roulo A tracers Cliamps. plutól cnlgairc qu'llćpante, rude qnc j»o-lie. II lui coiiimimiijue un acccnt dans l<-qud sc rÓYÓle sa \a-lour arlistiipie; cependanl sa iicrsonnaliie doił ócarler, |Kmr sc fairc coiu|ilćtcmcnl jour. qui'lqiiosróuiinixCeuecs, quelqucs priH*»;dls emprumćs. Corlnincsmurailles, ccilaiuscicls Idaucs, ccrlains l*ouquels dYrlnes. ccrlain* rćduils A luiihrc vigou-roiisomeul coloróe sont encorc yu> ;i lravers la peinliirc dc Dccamps. <Ju*il uublic celto fascinalion el voiiilie ólre lui-móme. Onlre un Interieur de ville (Fontarabie) nue nous rc-produisoos ici, il a encorc c.yposl des Chaudrotmiers calalans el un Interieur de ferme (ImiuIcs).
Al. N'OUSVEAU\. — La pdacc du (iauirrncmmt, a Pile de Harfie [Senfiyal) lorsdu jmssage du priucr dc JoitiYillc >0 rou-dant au Brlsil pour son mariage (doccmbrc IS121. « S. A. R.. ijit lc livrci, accompagnóc dc M. Dagome, commandanl ile 1'ile, dc son ólal-major el do plusicurs signaros dames du pays1. assislc a unc dause dc nógres. » Cos nćgrcs nic fomlVf-fi l d ótrc des nlgrcsscs; ol ces nógresses mc pnrai«*ciit dan-sor une tulipe orugeuse nu pcu soienec. Lc m 11 nici pal na pas cncore ete imporlć dans le pays. Dn rosie, on j»eul bicn per-mctlrc un peu de rócrćation*aux babilanls dc cctle Ilo qui parait nftYOir ricn de rljouissaiil. du reste, sauflos signares donl jc nc saurais mic diro. si cc nest qn'cllcs sont coilTeos avcc lenrs madras d'une manióre fort pcu respocLible. Ce tableau, plcin ile dllailspitlorc>qucsqui ontlcmlrite de l e.xac-litudc, csl d'ut» l>on ton dc lumiórc.
Al. TROYON poursuil son sYstómc róalisle; il prend lc paysage lei nu*il s*ollrc antonr Jc lui. dans la paiiyrcll dc sa ligne glnórale, dans la couleur inonnionc dc «a Yógllalion, avec la silboucltc cn bonie ou cn fuseau do ses arbre*. avec los accidents vulgaires dc sos lorrains. il clicrclic A lc rcmlre dans son asjicct Yrai cl A Ini lai<ser son acccnt parliculior. Seulemcnl, il llcint trop la lumiórc ct il sarrific Irop la mącili de 1'effel A Tliarmonie. Nous rcnroclicrons cel a<pccl lerne A sa I'allre de Cltevrcu.se, oii co[a*oi cncore pin* son-sible A cause de la grando ćtendiie dc la łoili*. — Je prlfóro ses dciiN anlrcs pclils tabloau.\ intitulls Couie de bois cl le Bracomiier. Lesbmmucls d’arbros, lo terrain, lrs ombres por-lles, les illtail* de YCgllalion ilu sol y sont parfailcmrut ren-dlis. — Un dernicr labloau intitull: Dessous de bois, Fontainebleau, rappcllc pour la manióre lc |ia\sago do Diaz. II a'y IroiiYC des clmscs tros-linosdc lun, mais la coiifusion cbor-cbóo A dessein est poul-ótrc trop grando; cV>l bicn soinbre ciecia mampio d air. Al. Trojon osi dans nue Ihuiiio Yoie, el l*on ot cn di oii do fonder sur lui do gramlcs csplranccs.
Al. BOUCIIET. — Anmssinal ile Thomas Hccket, archrefi-que de Cantorbery illconihrc 11701. I.o pointn* s'ol in-xj*irć ilu rócild'Aug. Tbicrry, dans m*ii Hislaire de la Cotigufile ile iAngleterre par les.Konna mb. II a nuięii cctle seóm*ilr.i-giquc avcc Inergic ct siinpliritl. l/onlonuniicc en esl daire, les groupcs out de rnnimalion. La pAleur dc Tlmoiioti sc lra> liii sur la ligure dc l'arclie\ćque, mais il opposc unc dienill cnln>e aux shiro* cnYnylsconlrelni ile Normandio par llcuri II, donl il llait naguórc lo f.ivori ot lo ju\ciix compagnon ol qui \011t se dćbarrnsser du jirdlat dopili* qu*a\unl rlfornil >cs nupurs, il ilirond coulre lc roi los pricillgcs du elcrgl. II > a du inlritc dans cctle compositiou.
La Filie du €*i«|iili»inr.
>OL\ŁLLf, PlR ALE.\A>URK POICHM.NR. Trailuciion frauęaisc, publióc par L011* Yiardot.
Cc pflit roman bisioriquc, oii sont cn sceno des pcrsoima-