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sociales les plus defavorisees paient la notę plus iourdenjent jus 3 es eutras.. Ce n'est plus lłepoq\ic ou les boichevj.k& etaient oonvaincus qu»> la murquo a u socialicme etait Pegalite des revenus. K. declarait derni£rerieni a des cbofs dJecitroprise3 americainsr " notre aysteina rep oso sur la hierarchie de,; salairej qui sont dććerniućs dana Pindustrie et 1 agriculture, en f onction de la qunntite et de la qnalite eta travaj 1 jt du rendez ont, Le travaiHeur est interesse a ia productior et ii est e> courage a produire d-nmntnge par la hierarchie dao rónurieratiar.3 ( duraut mon rejour
en URS3 ie n'ai pac pu :re procuier 3łeventuj.l oomplet cles salairou* c5est bj en dommage). • : .
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Les etudiants sont incontestablanent. los aifąnts gltes duregimejils ont un salalre; loger.isnts ot C3ntines sont a bon mar che; au plus. arcr.tego inmiensc, lis ne font pas de sery.Lce militaire. Mois les uutres, eu.:. sa tapont dem. ou I;rois ans. Que faut-ii pancor de cela?
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Cer te s les livres sont e;rtr ©mement bon rur che ot r -esb <L. papier de bonne ąualitś, (les ocv?.efciques l.isent enoimeraent. ils ont un imnense snr>p6ujt'de cu 1 turęMais de tras nonbroux livres que vous puuves trourar aisensnt ebez novu ne sońt pas edjtćs Ia~bac5 ou lorsquł ils le sont, on reduit vo 1 ontaj.r©ment lo tirage pour mj.nimisór 1* influence .*p»il3 pourrai ent avoir. Dans lod.^iaire ertistiquo et litteraire s*'il y .?, un oertain degei, ofost rncoro hien 7.cin du “lou vertM.
Cor.ment un scvietique peut-j.l vrairacnt s: Jnformor puAscji?.* J.a I?.cer:ć de la presse n*6xiote pas. On dit qne dopala J95e 7 a presse polonaiso eu you-goslave, un peu Libio, jouait un róle considerabio pour 1 !infonraticn ei: Union So-Yićtiao.e, Pen: re ci tor q\\1 un exemplu la reTue poloreloc ‘‘Nora Iii;, tur a"' a 100.00? abonne? en bPSS. .
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On con3 fcruit baauooup. car les. Beaucouo plus q-.i?en •? rance, irann junc u*& ce jour la crise du logemont dans les vllles est łoju d;fitra re^orbeu. C*est u ne source de booucoup ae mćojntentements.
II y u un dtsaccord crianć entre j.e nivoau dc. vio d*> la pcpuLation (inferieui- a celui de la Tirano©) et IMnfrastrucbure gćr.errle indujtrielle ec soir tifiqu9. Le systenie de dictributton est absolument laioer.tablc. II sot q\cnd assez ciioauont quo ues habitants soient obli ges cie fćire !:■ qaeua pour obtenir la moindre chose. On a trop longtemps negl-ige le secteur do- bions de corso mat? on oou-rante oonsidtre ooum.e iu\o affai.re secondar.re. PcLrrąuoi 1 jS so';.etiou3o doironc-ils payor a des pr:\x aussi erJborbitarts les cnaussui-er et łon Tfil.^ncućo? Tort ąy.e I • c.ur;■ mentation de la producti.cn egricolc no sera pas plus rap i dc ? «• nivs£tu dn de ia population uc pourre oue uifficilomcnt Lcr.tor Pourra-t-cc denandc^ lcr.^tenps encore auT Jc"’ii5cLcv; s do dśs sacrifices? b-.-c c^aud irf'. v:. .':*.\vna.. cu*. i.c.; gerri dx-
sirr-it ni ćUA lrn igery s1 habiller,. Cp le ul* praret 1 grand renfort de propagandę
le coinnr-unisme pour tres bientdt. .Mais il faudra encore attc.odrc longtemps..
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IT.3.: des camarades duS.C, I. qui etaient deja alles fa3re un chantier en UP.S3 ii y a tzoio ans, m^nt fait remarquer que dapuis leur Jemiei sśjoui* dans ce pays, ils avaient rete des changemoats considerables, une nen-ainb. ameiioration dans le niveou de vio et une eyolution. psycliologiąre o:i:sidćrablo...
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foic, au cours des soireec foltrloricues a’.ucquoIlc;i nous ao ns eu l^ccasion d’ e co u ter un clmnt intitulc:
Plucieurs t
avdns inrites. nous uons eu 1‘occasion d-eoout.er un cinnt -.ntituie: ,?oct-ce qu*un russe yout la gueire? " - Les soyietjqut'S veuloni^*::ls la g*jerrs?Absj 1 uvjent ;oć