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Un certain P. Tchernikov, inspecteur technique de 1*Industrie, a eta-bli les conclusions suivantes, quant a la situa-cion dans une a utrę ville:

"Dans le bloc Principal, dont le toit n'est pas vitre, de 1'usine d^ąuipement electriąue des loccmotrices de Novossibirsk; lfeclairage est inferieur .a toute regle existanfce. La ventilation n'assure pas un ediange d ' ai r noriml. La pollution del*air depasse'de plusieurs dizaines de fois le niveau tolere. En ete, la temperaturę s1 ele^e jusqu*a 40 de-gres... Dans le ces oonsidere, il n*y arait aucune raison technologiąue

de construire un poreil b&timent."

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A l!usine des autobus de Likino, la situation ost devenue tendue a cause de 1‘ etouf Tcment et de lłobscurite dans le bloc des montages qui n'etait pas encore acheve, mais qie l'on avait deja mis en route; on fut oblige de derm lir les cloisons sep ar ant les travees.

Obscurite rolontaire:

A l*usine des engrais azotęs de Dnieprodzor jinsk, dans ces locaux aveugles et randus heimetiques, on a ete oblige. d1! ustali er une puissante ventL-lation mue mecaniquemait; ainsi a surgi un inconverient suppl&rentaire: celui du bruit. Mais on nła pas prevude vcntilation de secours, pour les cas 01i les venti-lateurs sont arr&tes pour le contrCle et les mesures d,entreti'ai preventives; on n'a pas songe non plus au:c pannes eventuelles prolongees; mais il est des maintenant decidś qu; en pareille situation, les travailleurs seront obliges de continuer a travailler.

A 1‘usine de Zaporojie, "Le Kommounar", il s*agissait de reconstruire un etabliss9msit deja existant; il fut prevu que les embrasures des fen&tres deja installees seraient murees avec des biiques; qusnt aux omrertures du toit vitre elles allaient aussi Stre obtureos. Ainsi, un bel atelier clair aLlait brusquenent devenir un local sinistre dępourvu d!eclairage naturel et dfair pur.

Enfin, c*est a l*usine en construction a Ioc.bkarla, dans la Repu-blique autonome des Marł, petite peuplade de laigue non-russe, que les plus graves inconvenients viennent d*etre constates; en affet, cct eiablissement est destine a la fabrication de pieces detachees pour les appareils de radio; cocme il s*agit de mecanisraes de tres potites dimensions, l*effort Yisuel exige des ouvriers est cansiderable. Cr lJedifice erige toujours suivant le mSme systeme a des dimensions tres importantes; il comprend cinq travees dont chacune a 18 metres de large et 100 metres de long. Au mois d*Ao<it, les raurs finissaient d'£tro eriges’et la cou-verture posee. Dans ce bloc rdgnaient les tenebres et lfhumidite. II n*y avait aucune conćLition de la production qui comnandait de reccurir a ce modę de construo-tion, Mais des a^ant de proceder au im>ntqge dos machines, les dcmiers ouvriers du batiment effectuant les travaux du second oeuvre se heurterent aux pires diff icultes; ils risquaient de sfenliser dans le sol; ai effet, celui-ci avait ete impregne par les eaux pro^enant de la fbnte des neiges au printsnps, moment ou commenęa le chantier; a cause de l!obscurite permanente, ce sol n'avai.t.pu secher; les opera-tions de parachevenent du batiment se tiouvent ainsi retardees; mais que va §tre le sort des cuvriers amenes a y travailler a demeure?

Les probleraes de 1'eclairage ne sont pas regles* Dans les locaux de la production, on pense creer un eclairage au neon, Mais en revanche. dans un batiment de serTices annexes a trois etagps, on n'a pas amenage de fenśtres; on va y repartir les ins tallations sanitaires (douches, latrines, etc.,) mais on va ai^ssi y etablir les laboratoires techniques, }a bibliotheque, les archives et les autres service3 et ateliers auxiliaires. Or, dans tous ces locaux prives de la lumiere du jour, il n*y aura pas dociec.ragę au neon, mais de simples ampoules.



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