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rAdministratura, et, dautre part, avec les bureaux se livrant aux recherches.

Certains membres du personnel doivent partager leur activitć entre la recherche et la techniąue, ou entre la techniąue et 1’administration. Un systeme de cloisons etanches et de bureaux s’ignorant pratiquement les uns les autres etait impossible. Nous avons donc groupe en un seul centre tout ce qui devait fonctionner a Leo-poldville, i l’exception du Bureau du Temps dont la localisation a 1’aćrodrome est indispensable.

Une serie de conditions imperieuses et presque con-tradictoires devait etre remplie par 1’emplacement de ce centre. II devait:

a)    Etre assez pres de la ville pour disposer de la distri-bution d’eau et d’electricitć a peu de frais, pour per-mettre les plus courts transports d’instruments delicats entre la gare et le centre, pour faciliter la vie materielle du personnel et diminuer 1’isolement intellectuel des chercheurs scientifiques.

b)    Ne pas etre trop pres de la ville pour eviter les conditions perturbees qui accompagnent les grandes agglomerations.

c)    Ne pas etre trop pres de 1’aerodrome ni de quartiers industriels pour les memes raisons.

De plus, la naturę et la configuration de 1’emplacement etaient restreintes par les conditions sine qua non sui-vantes :

d)    Le terrain devait etre assez eleve au-dessus du fleuve et en tous cas etre en dehors de la nappe d’air stagnant humide de la plaine du Pool, ceci notamment en vue de la conservation des instruments couteux et dćlicats.

e)    Le sol ne devait presenter aucune anomalie magne-tique.

/) Le sol devait etre constitue par des terrains aussi homogenes que possible, et « en place ».