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Ce qui est import ant est qu 'ily ait de la convergence. (...) Le Cirque du Soleil a des besoins, l ’ENC a des besoins, le milieu a des besoins, comment peut-on mettre tout ęa ensemble. Dans le fond, je pense qu ’il y a un mot qui peut integrer tout ęa, c'est la notion de synergie. La presence de 1’ecole est un moteur vital pour le milieu, sa croissance est aussi vitale pour le milieu, sa capacite de contaminer est aussi essentielle pour le milieu et, quelque part, elle est neutre, car ce n'est pas un producteur, ce n’est le concurrent de personne (un des fondateurs de la Tohu dans Meliani, 2005 :86).

Le besoin de remise a niveau et le developpement des infrastructures de PENC sont un element declencheur pour le projet de Cite des arts du Cirque. II apparait assez vite evident que Pecole ne pourra obtenir un budget suffisant pour effectuer tous ces ajustements. II devient donc nćcessaire de Pintegrer dans un projet plus vaste et plus intćgrant pour le milieu.

Les membres fondateurs ont alors emis Pidee de creer une masse critique d’infrastructures afin de permettre au milieu du cirque de se dćvelopper.’Le CDS ne vcut pas realiser le projet seul, un partenariat est alors etabli avec PENC et En Piste. Ces organismes decident alors de creer Porganisme a but non lucratif (OBNL), la Cite des arts du cirque, afin de donner une dimension sectorielle et juridique au projet. A cette epoque_t le conseil d’administration est composć de Jan-Rok Achard, Gaetan Morency et Marc Lalonde qui representent Ieurs organisations; Charles-Mathieu Brunelle occupe le poste de directeur generał de la Cite des arts du cirque.

Au dćmarrage du projet, on trouve donc quatre personnes : Gaetan Morency, Marc Lalonde, Jan-Rok Achard et Charles-Mathieu Brunelle. Leurs origines professionnelles et sociales diverses vont enrichir le projet. D’un autre cóte, le fait qu’ils ne soient que quatre a