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quaii<j l’eafant s’en lut alle, Dayid sortit du lieu óii il efa.it caclie. II fit par trois fois mie profonde reverence a Jonathas qui courut vers son ami, et 1’embrassa le plus tendrement en versant beaucoup de iarmes, mais David en versa encore dayautage. Jonathas elit ensuite a David: „Allez en paix! ce que nous avons jurę au nom du Seigneur demeure inyiolable pour jamais; le Seigneur en est temoin!” Eu meme temps ils se sepa-rerent 1 un de Pautre.

Fulte de DaTid.

La haine de Saiil conrre David allaic toujours crois* sant, etcelui-citutforce de s’enfuir. 11 se rendit dabord a Nobe, vers le Grand-pretre Aehunelech, et n ayaut sur tui ni nonrriture ni arines, il pria ce dernier de !ui donner quelque chose a manger, ne fut-ce que quelques pains. Le Grand-prdtre lui donna (contrę la loi deMnise) cinq pains sacrćs; car il n’y en avait point la d autre. Da\id le pria encore de lui donner une lance ou uue epee, et Achimelech lui donna 1’epee de Goliath le Phi-listin, Iaquelle on avait gardee dans cette ville de pretres. Or un certain homme se trouyait alors au dedans du ta-bemacle du Seigneur. Cetait un Idumeen nomnee Doeg, un des premiers olliciers de Saiil. David qui connaissait sa meehancete _y s’eufuit aussitót, et se refugia a Geth la capitale d’Achis, roi des Pliilisfins. Les offioiers (Y Ac his ayant vu David, s cerierent: „N’est-ce pas laceDayid pour lequel on a chanie daus les danses pubhques Saiil en a tut rnille, tandis que Dacii en a tui dix mil-le? Da\id frappe de ces paroies eut une peur extreme.