♦
♦
187 a la
PllEMIEUE PA.KTIE. — URAMMAIHE
Les autres verbes devant exprimer 1’imparfait se mettent formę d’habitude (v. n° 219).
e) Plus-que-parfait.
1. — Un verbe au preterit rend le plus-que-parfait quand il exprime un fait anterieur a ceux exprimes par les preterits prece-dents :
Isw ilen i ugclliil iimnut irła U nye.Uiil i imdukal ęnnes ind sen, elle les lit boire au roi qui trepassa. Le roi avait fait appeler ses amis et leur avait dit.
(j en nimi nnfa len rersen i ihuUn, quand nous arrivumes, nous les trouv&mes qui avaient egorge des moutons.
Dans ce cas, le preterit du verbe est souvent precede du preterit du verbe d’existence.
V
wełen rifs i'ilaieen, ellir n:ner as i'arrimen. les ennemis 1’atta-querent; je lui avais envoye des pietons.
2. — Le preterit du verbe precede du preterit de iii correspond a notre plus-que-parfait.
ellir usir as /, je le lui avais pris.
ellili sęnniler nnwlilęm, je m’etais accoude pour dormir.
Remarque.s. — l. Ula itldn <1, peut aussi bien si^nifier « il vient de venir, il est venu », que « il etait venu ». Le contexte seul permet de dilTerencier.
II. Nousavons vu plushaut quele preterit des verbes exprimant habituellement le present correspond a 1’imparfait, et non au plus-que-parfait, ąuandil est precede du preterit de iii.
3. — Le pretórit precede de nuil, si, exprime :
L’imparfait quand le verbe de la proposition dependant de la proposition conditionnelle est a 1’aorisle : ce dernier correspond alors a notre conditionnel present ou futur.
V y
nuir essinn, nil rersen i ajullus umellal bu ISnśil lu:eggl'"uht, s’ils savaient, ils egorgeraient un poulet au plumage blancet a la crete rouge.
muł ii ium°°iz nil ii iner, s’il s’emparait de moi, il me tuerait.
Le plus-que-parfait, quand le verbe de la proposition dependant de la proposition conditionnelle est au preterit : ce dernier rend alors le conditionnel passd :
!