210
Jean-Sigismund reyenir triomphalement en Transylyanie Tannee 1556. Ferdinand dut se resigner a reconnaitre la Transylyanie cornme duche independant, neanmoins dJabsence de tout traite entre les deux Etats voisins devait forcement prendre rapidement fin. Fes negociations furent donc ouvertes et le roi de Po-logne prit encore une fois sur lui le role de mediateur. A l’ex-ception des courts pourparlers qui eurent lieu deux fois a Szatmar en mars 1565 entre les deux commandants en chef, soit entre Etienne Batory de Somlyó du cote transylvanien et Lazare von Schwendi du cote imperial, les negociations entre Tempereur et la Transylyanie furent toujours menees depuis en presence des representants de Sigismond-Auguste et avec leur collaboration ac-tive. Neanmoins, cornme on ne pouvait tomber d’accord sur les questions essentielles, les negociations finissaient generalement par une treve plus ou moins longue. Ce n?est qu’en 1570 que fut conclu a Spire un traite definitif qui reconnaissait les droits here-ditaires de Jean-Sigismond a la Transylyanie. L’eveque de Poznań, Adam de Kobylin Konarski eut beaucoup de merite en menant ces negociations a bonne fin.
Le traite n’entra cependant pas en yigueur, car quelques mois apres sa ratification, Jean-Sigismond Zapolya mourut le 14 mars 1571. Sa mort, puis le fait qu,Etienne Batory fut elu duc de Transylyanie, inaugurerent une nouvelle epoque dans 1’histoire la politique polonaise a 1’egard de la Hongrie.
40. PRZYCHOCKI Charakterystyka tragedji rzymskiej epoki ce s ars twa. (Eine Charakteristik der rómiscJten Tragodie im Zeit alter der Eaiserzeit), Presente dans ]a seance du 12 octobre 1931.
Im Anschluss an seine am 17. November 1930 vorgelegte Ar-beit (Charakterystyka tragedji rzymskiej epoki republikańskiej (Eine Cliarakteristik der romischen Tragodie im Zeitalter der Republik) vgl. Bulletin International de TAcademie Polonaise des Sciences et des Lettres, 1930, Classe de Philologie p. 196—198), kommt der Yerfasser mit einer Untersuchung uber die rómische Tragodie der Kaiserzeit und besonders iiber die Tragódien des Seneca wieder.
In der Quellenfrage wird bei Seneca ausser den griechischen