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Monsieur,
J’ai eu rhonneur de me prćsenter deux fois chez vous, sans ćtre assez heureux pour vous trouver. Je voulais vous parler de 1’affaire de Mr. Clćobulos. Permettez, Monsieur, que je vous la raconte de nouveau, afin de vous mettre en ćtat d'en mieux juger.
En juin 1819, Mr. Clćobulos devait partir pour Iassy. II se plaignait k tout le monde que vous nc vouliez pas lui fournir les frais nćcessaires k son voyagc. J’offris spontanćment de lui pretcr cent francs; il accepta. II voulut me donner une obligation; je refusai par dć-licatesse. Onze mois s’ćcoulćrent sans que je reęusse de lui la moindre marąue de souvenir. Enfin le 4 mai dernier, je tirai sur lui, avec Mr. Coritza, une lettre de change de 215 Ptrcs et 6 aspres pour la valeur de 140 fr. Ces 40 fr. ajoutćs il les devait depuis longtemps et il les doit encore k Mr. Coritza. Mr. Clćobulos ne daigna pas seulement nous rćpondre. Vous savez, Monsieur, la rćponse qu'il donna au porteur de la lettre de change. Mr. le Doc-