238 LIV. IV : LITTERATURE.
3? Partie „ POESIES COREENNES.
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Ka kok ouen ryou.
La source et le ruisseau des chansons.
1 -yol. in-4, 115 feuillets, mss.
L.O.Y.
Preface par Neung Kai tjai, brieyement l’historique de la chanson en Chine: les anciennes chansons chinoises ne sont autres que les poesies du Chi king; lors de la decadence des Tcheou, JUj (III? siecle avant notre ere), les chansons des pays de Tcheng, §fj$ (Mo nem, T&f ||j), et cle Oei,
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(sud du Tchi li, [§[ §f£), obtinrent une grandę
yogue et se perpetuerent sous les San,
av. l’ere chretienne a 220 apres): ce sont elles que l’on trouve dans les fecueils litteraires*, dans 'l’histoire des Tsin, et dans les recueils, de musique ancienne, Kou yo fou, ^ jf(f. Au.x IV? et V? siecle,s, l’in-fluence tartare fit abandonner peu a pen 1’ancienne musique chinoise; sous l’Empereur Oou ti des Tcheou, JU ^ # (560-577), on commenęa a faire
des vers chinois clestines a etre accompagnes par le phi pha, ^ (guitare a quatre cordes d’origine septentrionale): c’est cette musique qui s’est peu a