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Pbhget a l'auberge de la JeuneBąejjle stade municipal ©ffre ufie agrźable pelouse.Ufl Camping s'6et ćgalement ouvert 1’ an demier,non loin du uiliafie de toile rćservć a 1'E.D.F,

±>e gros e-ffort reetent,dane h faire dans ce sens ćtant don-nó la-.place que prende dana. le tourisme le camping-carava-ning.    '

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Tou^ours a .l'aubeige de la Jeunesse de"Ponget* ś^łeet cjróee une Bection nau$ique oti de Jeunes sportife qui sont k encourager dans cet effort, construis ent eux-a6m.es leurs canod-Kayak*"

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•• C*et avec us peu.de mdlancolie que, parvenus t la fiń de leur Yiejles .aneiens ćvoquent parfois la telle pdtiode oii Saint-Antonin dans eon Noble-Val posstfdait une Socićtć Permi&re dea Eaux de Saleth" dont 11 ne reste plusjhdlas que le ©ouvenir et quelques vłeilles affiches •dparses.

Sur la promenadę des Moines.dfes les beaux iJours de Juin les baigneurs attendaient sous les omh-rages des antioues meaux,en lisant J.a gazette,le moment de descendre "1’Bsca-lier Koyal* afin d'aller bolre leur verre d^eau.gśnćrateur

de santó et de longue ^;-»ie'.    •' s

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l'emps;6 combien lointain>temps heureux oii de notre viel le hicheline tant regrettde par les esprits avertie des eho ses ś2onomiques_fquatrefeis par Jour, ddbordait un publlo avi-de de llbertś,de repos,de> fcien-6tre,que d ’ eiclajnations admi-ratitres entendues,l^e soir,ń. la nu±tće,& la sortie de la cha-mantę petite gare,devant la vue qui s^ffrsit aux regards des Yisiteura_talors que les hStels et les maisons a^łdclai-rianrt et se miraieńt- óan®les e*ux calmes de la rivi^re ? Ko® routes alors n^łćtaioi,t hi'encombrdes ni dangereuses aur prmmeneurs,ni slllonnóes par des bolides qui^;passaient m-jis qui ne 9’arretaiemt pas touJours.Des hótels accueil-lanta et sympathiques ouvraient larg^ment leurs portes et sur leurs tables ddfil^ient,sans aucun Buppldmentjd titre

tublicitaire et toujour3 avec un bienveillant sourire outes ces petites boltes de coneerve,fabrfqućes & la mai-son,par 1'tótelier lui~m6me;grśce k la production locale alors en pleine activitd.

Que d'eau depuis plus de cinquante ans a paesd bous le vieux pont et nouB attendone toujours au bercail le retour des vienfaisantes Eaux d<. Saleth,depuis leur disparition au lendemain des terribles inondations de 1950.

lout a bien chaugć depuis.... La vie est devenue rude a beaucoup,. .fcombreu* f;>rent les ^eunes qui dtłrent aller de-mander k la grandę Ville proche ou lńintaine des moyens d¹