PUEMIERE PARTIE. GR AMMA IR E 209
cdi Uf n (I iniddęn 'oddań, m. a m. lcs gens vinrenl, ils elaient nombreux, lcs gens vinrent en nombrc.
I I in jaj ii 'uli, illn lirchś i'iiililn, failes-le disparailre au milieu du mont, les betes de proic y sont abondantes. iPoeine de Joseph).
mc U ani (‘(jijuUn isiiinun ma kim lir? Si les amanls sonl nom-brcux, qn’ai-je a faire de toi ?
10° Faisant le pendanl des verbes d abondancc, le verbe Mus indiąue la paucite :
u) Quaud le sujet de Mus esl le menie que cclui de la preposition principale, Mus s’accorde avec lui :
(‘iiuniiliii iniddcn dlnsęn, m. a m. les gens moururenl, ils elaient peu nombreux, peu de gens moururenl.
I>) Quand le sujet de Mus n’esl pas le nieme que celui de la pre-position principale et n’est pas exprime, on emploie le mot su qui sert de sujel a Mus, et ee verbe se met alors au participe :
uren śu idluscn, in. a m. ils ont acliete une chose etant peu considerable, ils ont peu achete.
On arrive ainsi a l’expression su iMusęn, qui est le pendant de śu
mn.
ss
11 0 ras signifie « sauf, hormis, excepte ».
eddnn kul rei Wal ud i-us inoha, ils sont tous partis au combal, sauf Moha.
ras nta u tir d iddin, m ii m. « sauf lui qui ne soil pas venu », il n’y aqueluiqui ne soit pas venu, luiseul n’est pasvenu.
De ce sens de « sauf » derive ainsi celni de « seulement, rien que »:
ras ulj <uj ciniiiuliii, ni. a ni. « rien qu’un qui soit mort », un seulement est mort.
l)evanl un verbe, ras est suivi de is :
ms is lii'..., m. a ni. « sauf que je voulais w... Je voulais seulement »...
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is peut d’ailleurs etre sous-entendu :
rus ii lenni lilii, pour ras is ii... C est seulement mon dos qui me fait mai.