Les formules du récit à dominante subjective
Jeśli chodzi o materiały z wykładów, to nie jestem zbyt wielkim autorytetem (^^), dlatego proooszę kogoś, kto jeszcze ma ogarniać ten temat o sprawdzenie mnie, znalazłam coś o subiektywizmie w wykładzie z 8 grudnia:
recherche d'une technique individuelle
l'ethique de valeurs de choin - devoirs à remplir, subjectivité de l'existence
tention entre le myméthisme et la subjectivisation du monde - cela se démarque dans la structure d'un oeuvre littéraire - on rejette une vision unitaire du monde (panorama de toute la société)
la vision partielle / fragmentaire / arbitoire
le monde réflété dans une conscience - il ne s'agit pas de choses vues mais des choses vécues
roman miméthique - roman-déscription
le roman - interrogation - on privilégie la construction hypothétique (technique allusive, pas explicative)
la construction ouverte - pas d'explication définie
narrateur omniscient - ruiné
la vision olympienne du monde (Olimp - siedziba bogów)
la technique du point de vue = la perspective narrative = la focalisation interne
l'explication - remplacé par une ellypse, l'absence d'explication, structure elliptique
la technique du montage qui consiste à la juxtaposition des épisodes / fragments etc
les moments temporels sont présentés sans régles chronologiques
la distance ironique du narrateur (p.ex les phrases entre parenthèse)
No i nie wiem, co teraz zrobić z tym `nouveau roman' … co o tym myślicie, to też jest jakaś forma dominanty subiektywnej? Hmm, od niczego zostawię:
Le nouveau roman :
1963 - Alain Robbe-Grillet écrit « Pour un nouveau roman ». Après Jean Ricardou « Pour une théorie du nouveau roman ».
L'un des premiers receuils concernant le contenu obligatoire du Nouveau Roman - 1956 par Nathalie Sarraute : « L'ère du supçon ».
L'expression Nouveau Roman n'est pas satisfaisante du point de vue de l'acception. « Nouveau » - éloigner le type du roman des autres qui à la suite de la dénotation de ce terme devaient apartenir à un type de romans « viellis ».
Nathalie Sarraute ne désigne aucune école d'écriture dans son oeuvre normative.
Robbe-Grillet dit : « Le nouveau roman n'est pas une théorie, c'est une recherche ».
il n'existe aucune tendance et aucun système cohérent qui conduiraient à des rapprochements.
Pourtant, le nouveau roman se caractérise par certains traits :
La rupture des «cadres du vieux roman » ;
le rejet des « vieux accesoires inutiles » ;
la critique de quelques notions perinées qui, faute d'unir véritablement des individualités, les rassemblent.
Vieilleris condamnés : le personnage et son histoire :
le recensement minutieux ou sélectif de ses biens et de ses actes ;
l'étude de son caractère.
Les critiques littéraires admettent la déconstruction totale de la littérature dans le NR.
L'inventaire des techniques de la construction de ce roman repose sur les recherches de grands précurseurs comme Joyce, Kafka, Proust. L'application de leurs innovations -très libre.
Les phénomènes les plus importants qui détruisent la stabilité :
La présence obsédant des objets (ex. Alain Robbe-Grillet : « Jalousie » )
Les surgissements du temps et de l'espace
- ce sont des éléments organisateurs - plutôt des facteurs de trouble et de dissolution.
La subjectivité :
le temps de l'oeuvre s'identifie à la mémoire de l'auteur
d'habitude les objets privilégient l'être subjectif qui les anime - ou qu'ils animent au tour
Le roman ne cesse de renvoyer aux élaborations de l'auteur - le langage.
Reforme de l'écriture cesse parfois de désigner autre chose qu'elle-même. Or, le nouveau roman constitue un univers tout neuf créé par la libération du langage narratif.
La notion du Nouveau Roman - lié à la notion d'une nouvelle lecture. Allain Robbe-Grillet constate que le Nouveau Roman s'adresse à des lecteurs de bonne foi et qu'il ne suffit pas de lire ce type de roman. Il faut découvrir son tour opératoire : la vigilance et la création.
DES EXEMPLES :)
« L'amant » de Marguerite Duras
le Prix Goncourt.
Le roman raconte l'histoire d'une jeune fille et sa liaison avec un riche Chinois. Là, les « accessoires obligatoires » d'un vieux roman ont été rejeté par l'auteure qui n'utilise dans son oeuvre ni les noms, ni les lieux concrets - tout cela demeure oublié ou plutôt n'a pas d'importance.
« Marguerite Duras où la vie au conditionnel présent ? » - la vie pleine d'incértitudes, rien n'est sûr
le récit d'orientation autobiographique - quelques éléments autobiographiques, le reste c'est la fiction
période de la transition entre l'enfance et la vie adulte - le moment de la formation
les changements de temps
l'anachromie - détruissement d'un ordre chronologique
le fonctionnement de notre mémoire est imparfaite, on n'est pas sûr si nos mémoires ont vraiment eu lieu
le motif de la photo (la photo enfin (hehe) n'a jamais été prise)
Mékong - le fleuve tout-puissant = écoulement du temps, changement, transformation, l'eau qui coule = rapidité de la vie
Insistance sur le visuel
Un style Duras :
la narration fragmenté
l'abandon des déscriptions psychologiques - elle nous montre des images
la syntaxe minimale
le ressérement ( ?) de l'intrigue - situations formant l'histoire ne sont pas nombreuses
narration énigmatique
l'anternance temporelle (prés, p.composé, imparfait, pqp ...) du passé au présent (elle est en train de revivre le passé)
l'anternance de pronoms personnels (je-elle) - la distance temporelle, il lui arrive de s'indentifier avec une jeune fille avec difficultés (hmm, składnia tego zdania mnie powala)
l'auteur - la narratrice - les personnages (mais il y a quand même cette distance)
l'écriture du silence / l'éc. blanche - les moments du silence, les non-dits, on n'arrive pas à verbaliser les émotions
Un roman à dominante subjective chez Proust « A la recherche du temps perdu »
en 7 tomes (certains ont été publiés post mortem) dont le narrateur constitue un personnage intermédiaire entre le héros et l'auteur lui-même.
C'est le roman à dominante subjective (le roman de l'homme intérieur) et de l'autre côté - le roman méthodologique
le roman - impressioniste (modification do roman psychologique)
dissociation d'un auteur empyrique et virtuel
2 types de narration en 1 pers. : 1) confession (le monde intérieur)
2) mémoire (le monde extérieur)
le monde ext vu à travers d'une conscience, optique subjective
l'auteur - le narrateur - le héros
4 protagonistes : Marcel - le narrateur
Marcel - le héros
Marcel Proust - l'auteur
Marcel Proust - l'homme
le roman - mémoire (comme G. Blas), mais le roman DE LA mémoire (Proust)
La subjectivité du narrateur se manifeste de manière indirecte à travers ses choix énonciatifs.
La manière dont il présente les événements et les personnages trahit sa partialité.
surtout « Un amour de Swann ». Le narrateur se trouve à la fois hors de récit et dans le récit au total du roman de Proust. En effet, les amours de Swann préfigurent les malheurs que Marcel connaîtra avec sa fimme Gilberte et puis avec Albertine - Marcel se reconnaît en Swann et cela explique que la focalisation dominante est la focalisation interne de Swann qui ne serait alors qu'une variante de « moi »-narrateur.
Déscription d'une expérience particulière - point de départ banal, quotidien, mais les émotions - extraordinaires (pamiętacie, to kiedy nie mógł usnąć dopóki mamusia go nie ululała, albo ta nasza fameuse magdalenka)
Un certain recul, le retour ds le passé -> les sentiments de la mélancholie, la tristesse, le regret ; la situation confirme son état d'esprit
`machinalement' - ce qui arrive est sans valeur
on passe aux émotions sensoriels, qqch d'inattendu, cela se passe sans sa volonté, il se sent isolé de tous ses contextes qui étaient tristes pour lui, no nirvana po prostu
caractère sensoriel de ses experiences - c'est pas le temps perdu mais la mémoire de l'attente
la connaissance : 1) intellectuelle, 2) intuitive
la vraie vie - celle qui nous a fait découvrir l'essence des choses
Sarraute:
sa autobiographie intitulée “Enfance” où elle entraîne la subjectivité et, à la fois, la fragilité des souvenirs
retrace les années de son enfance, se limitant à la période entre l'âge de deux et douze ans dans un ordre chronologique rigoureux -> un univers dans lequel la perspective de l'enfant est au coeur du texte.
Nathalie Sarraute a choisi de dédoubler la voix narrative d'Enfance. Elle passe du monologue de l'autobiographie traditionnelle à la Ip. à un dialogue narratif créé par l'intervention d'une seconde voix. Cette seconde voix assume plusieurs rôles dans la narration: contrôle, écoute, collaboration. Cette voix devient donc l'expression raisonnable de Sarraute, celle qui, à travers la remise en question, rend la narration plus objective en apparence, et donc plus crédible. En effet, Sarraute a créé une atmosphère où l'objectivité a droit d'expression.
discours qui est à la fois objectif et subjectif puisque Sarraute nous relate les évènements de son enfance tels qu'ils sont censés s'être déroulés, au temps présent, et à l'aide de cette voix critique donc objective.
Il semble aussi que le récit soit écrit d'une manière spontanée, mais qu'il s'agisse de spontanéité ou de souci d'exactitude, il en reste que le texte de Nathalie Sarraute se veut aussi vrai que possible. L'identité de Sarraute n'est pas encore fixée, elle est en proie à une foule de médiations externes, car en tant qu'enfant, l'autobiographe en devenir ne bénéficie pas encore du recul, de l'objectivité.
elle cherche à recréer ses souvenirs, à redéfinir l'enfant qu'elle a été de façon plus juste. Mais l'enfant est aussi, malgré elle, définie par la perception des autres, perçue en relation avec sa mère.
(L'enfant Sarraute = l'expression de sa relation avec sa mère.)
À l'aide de l'intervention de la voix critique, le récit de Sarraute laisse libre champ au doute, au questionnement, à l'hésitation. Une fois que l'autorité de la voix narrative est dédoublée, le récit n'agit plus en tant que la représentation d'une seule subjectivité, mais plutôt comme l'expression même d'une identité en plein devenir.
monde de sensations est ce que Nathalie Sarraute appelle les tropismes; ces "mouvements indéfinissables qui glissent très rapidement aux limites de notre conscience" qui "sont à l'origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est impossible de définir