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186 Tr»v*ux cie Tlićorie d«« No ni brr*

On peut dono ćnoncer l'hypoth6se qu’il oxiste une infmitó de nombre* Fu eompo*6s. On a menie enomY rhypothfae plus forte: les nombre* Fm premier* Kont en nombre fini. Ce sont peut<toe sculement ceni que connaissait Fermat, a savoir len nombre* Fu ponr w < 4.

Le plus petit nombre Fm dont nous ne sachions pas s’il ott premier ou non Mt Fu. Łe plus grand nombre F„ compoti connu est Fm dont le plus petit dieiscur premier est le nombre 27*24-+l (voir [I I]).

Ia> fait que le nombre Fu est comi>o*6 met en dńfaut 1’hypothtoe que tous les nombres de la suitę infinie

2+1, 2*+l, 2**+!, 2^+1, 2**+l, ...

sont premiera, puiwjuc Fu est le cinqui£me terme de rette suitę.

Quant aux nombres de Mersennc J/, ■■ 2"—1 on a ńnonoń riiypothe*e que si le nombre est premier, le nombre Mest aussi premier. Or, d’apr6* un ealeul qui a 6tó fait en 1953 par I). J. Wheeler, le nombre Jf*,, “ 2MM—1 (qui a 2466 ehiffres) est composl, hien que le nombre

soit premier.

On a enoore ćnoncć 1’hypothfese que les nombres qn (» = 0,1,2,...), oii qt = 2 et q.l = 2**—1 pour 4 » 0,1,2,..., sont tous premiera. Cela est vrai pour 0 < n < 4. Or, le nombre q% a plus de 10*7 ehiffres et nous ne *avons pas słU est premier ou non.

En 1742 Ch. Gnid bach a 6nonc6 l’hypothfae que tout nombre pair > 4 est la somme de denx nombres premier* impaira. On peut ćnoncer l’hypoth6se O un peu plus forte: tout nombre pair >6 est la somme de deux nombres premiera distinets. On peut dlmontrer que l’hypoth£*e G 6quivaut & 1’hypotłitae que tout nombre naturel >17 est la somme dc trois nombres premiera distinets. Or, de riiypothese de Goldbaeh A. Schiuzel a dóduit que tout nombre inipair >17 est la somme de trois nombres premiera distinets. En 1937 J. Ylnogradoff a dćmontrć quc tout nombre impair suffisamment grand est la somme de trois nombres premiera impaira. Quant a l’hypothł«e G, 8. Gołaszewski et II. leszczyński l’ont v6rifińe pour tous les nombres pa;ra < 50000.

On a aussi Inoncd l’hypoth6se que le nombre des dleompositions d’un nombre pair 2n en une somme de denx nombres premier* tend vers 1’infini avec » (ef. [lu], Conjeeture A). U est probable que les nombres pairs > 188 ont plus de 10 dćcompositions et que les nombres pair* > 4571 donnent plus de 100 dńeoinpositions.

Nous dńduirons de 1'hypothtae G quelques cons6quences.

P,. Tout nombre impair est de la formę n — q>(n), oii n est un nombre naturel.

Oćmonstration de 1'implieation G-*P,. On a 1 — 2-ę>(2), 3 = 9—?(9), 5 = 25—?(25). Si m est un nombre impair > 5 on a m +1 >6 et di1 G rćsulte 1’eiistence des nombres promieni distinets p et 7 tcls quo m+l-p + ę ct on u pq-<p(pq) — pq-(p—l)(q—l) — p4-ę-l - «•. dono m = n — ?(n) pour »i = pq. I/iraplication G-»P, so trouve ainsi dćmontrfe.

P,. Tout nombre impair m>7 est de la formę <j(n)—u, 06 n est un nombre impair > m.

Dómonstration de 1’implication G-»Pt. Si m est un nombre impair > 7, il rćsulte de G qu’il existe des nombres ]>remiers distinets /> et q<p tels que m -\ = p + q, et on a o(pq)— pq • (p + l)(q+l)~pq •=P + 9 + l = n». Comme m est impair > 7, les nombres p et 7 sont impairs, 7 > 3, dono P7 > 3j» ■= 2p-+ p >p-f 7 + 1 - m et en posant n = pq ou obtient un nombre impair n>m tel que m = o{n)—n. L’in»plieation Q-1P, est ainsi dćmontrće.

P. ErdOs a pość la questiou s’il existe une infinitó de nombres natu-rels qui ne sont pas termos de la suitę o(n)—1». (Tels sont par exemple les nombres 2 et 5). Une question analogie peut 4tre pos<?1e poiir la suitę »—9(n). (Los quatre nombres naturels les plus petits qui ne wint pas termos de eette suitę sont 10, 20, 31 et 50). 1

PŁI. II eriste des suites aussi longues que Von reul

U) »» /(")> //(1), ///(»)» ...» o1 /(») — •(•)— " .

dont le dern i er terme est 1.

Dómonstration de 1’implication P8-1PM. D’apróx P, pour tout nombre impair m>7 il existc un nombre impair n 7(m) > m, tel quo /(n) «= m. Pour tout n impair > 7 la suitę infinic de nombres naturels », g(n), gg{n), ... est dono croissante. k ćtant un nombre na-turel, posons n <m p1(ll). Nous obtenons ainsi la suitę

» = y1(«),    ■1(2), •••» /1(»)-ii, /2‘(h)-i

(puisque/(ll) ■■ o(ll)—11 1» 1) qui a Jt+2 termos dont le demier est «= 1. L’implieation Pg-1Pt| se trouve ainsi dćmontrće.

Pu. II existe un infiniti de nombres naturels n tels que la suitę infinie (1) est ptriodique.

Dćinonstration de 1’implication Pg-1Pg#ł. Soit g(m) la (onction dófinie dans la dćmonstration dc 1’implication P,-1PŁ, et jH»sons pour naturels n « g1(25). Nous obtiendrons la suitę

* = 01(25), /(«)-y1-,(25), .... /1(») = 25, /1♦<(«) =6 jKłur i — 1,2,... (puisque /(25) = 6 et /(6) = 6).

1

[Voir I1. Frdds, Cbrr di1 ZakUn der Form «(■)-» umd n-f (•), Kłem. Math.

2

28 (1973). p. 83-86).



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