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pour leurs enfants en vacances
Cette priere fut publice, il y a vingt ons passćs, dons lo Vie diocesaine de Dijon. Avec son ton tr$s surnaturel et le loyal examen de conscience qu'el!e comporte, elle gardę, en 1955, toute son actualitć. Nous n'en citons ici que les principaux possoges : ceux de nos lecteurs qui dćsireraient l'ovoir et lo dire tout enttóre la trouveront dans un livre ou titre expressif : « Lcs dcYoirs de yocances des parcnts », qu'ćcrivit, en 1935, le chanoine Pradel, Directeur de 1’Ecole Mossillon, ó Poris.
A
« Mon Dieu, voici que nos enfonts entrent en yacances, nos goręons et nos filles, ovec quelle joie !... Nous outres, les popas et les momons, nous ne pouvons pas nous empecher d'etre un peu inquiets... Nous savons que noussommes, devant vous, responsables des ómes de nos enfants, que vous nous, les avez confiees, et que c'est ó nous qu'il oppartient de les ćlever. Mois pendont Tannee scolaire, nous nous sentons oides dons notre tache par les moitres et les maitresses, et yolontlers, nous rejetons sur eux le fardcau le plus lourd...
* Maintenant, nous sommes seuls, en face de ces enfants ; eux-memes se sentent libćrćs de toute contrainte ; et, comme de jeunes pouloins, ils ne demondent qu'ó jouir de la libertś reconquise. Nos ordres ne leur sembleront-ils pas tyranniqucs ? Nos dćsirs eux-mómes n'opporaitront-ils pas comme d'insupportab!es exigences ? Aussi sommes-nous quelque peu tentćs de deserter, de renoncer a la besogne avant mćme de l'avoir entreprise, de ne rien exiger de nos ćcoliers en yacances, en dehors de la reguloritó oux repos... et nous savons bien que leurs formidables opp^tits, oiguises par les sports et par le grand air, nous accuseront ici d'6tre toujours en