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L'une, une princesse dans 1'Zclat de so jeunesse et de $a beaute... une princesse royole d'Angle-terre... Margaret, qui a longtemps dófraye les chroniques par la legZrete de sa conduite, par sa liaison ovec un divorcó, pere de deux enfonts.

Pendant des mois, cette princesse a hesite entre sa passion et le devoir que lui dictait sa cons-cience : son devoir envers Dieu et envers son Poys.

Le scandale a pris fin, noblement, en reconnais-sant la loi divine de 1'indissolubilitó du moriage. Mais le mol qu’il o couse est immensc.

Un exemple venant de si hout ne couvre-t-il pas les amours coupables ? N'encourage-t-il pos les unions bóties sur lo destruction des foyers ? Com-bien ont sans doute pense : c Ce qu'elle se permet", pourquoi me seroit-il interdit ? »

Plus grove encore est l'exploitation faite de ce scondale par la presse.

La compagne orchestrze pour justifier le droit de la princesse a un amour odultere a profondement impressionnó 1'esprit des adultes et des jeunes. Ne disoit-on pas couramment : c C'est dom-mage que ce mariagc ne puisse ovoir lieu... On o bien le droit d'Zpouser celui qu'on oime... *

Inconsciemment, des chrZtiens en sont venus oinsi ó considerer comme legitime ce qui est formellement defendu par Dieu et ó admettre comme regle de vie lo recherche, par tous les moyens, du bonheur ćgoiste.

Ceux qui souffrent de mariages brises ne peuvent pardonner ó cette princesse dc familie royole d'ovoir trop longtemps affichZ son mZpris pour les lois qui garantissent lo stabilitć des foyers et le bonheur des enfonts.