avec cc sordidc personnagc cn !c prisentant comtnc tćmoin dc la couronnc. parce au‘eti trois ars et demi d*isolement. ils l‘ont tcilc-mcm ditruit quc Muller ne sail plus quc b;g ayer et quc !c desastre, lors dc sa recitation des icxtcs de 1'Accusaiion fedćrale. ne pcui łtrcąue plus grar.d cnco.-c qu*ii nc l'aetć pour Ruhiand — ils Tom affuble d’ur.e carte de membre du pjrti sodal-ddmocr: dc l'idcnti:ć d’un part; qui n'a lui-rr.ćmc plus d*autrc identitć dc-puis 1945 quc ccllc d’5trc achctć par le Capital U.S.
Ccrtcs — T unitę de l*apparcil. son im po: tance, sa puissancc $otu ć nor mes ; mais par le fa:t qu’i! en est reduit a des projectiom. a des types sordides. que son seul ferment es; la scnalite — cneore qu‘il c.siste des faiiles, putsque lc groupe loca! qui a eiafcli la carte
. du parii pour Mttiler a decousert cc sale trafie, et qu'il sc dcman-de naturellemcnt, doir se demander, comment un teł gigoto pro-fessionnel peut etre membre d*un pajt: qui par ailleurs cxdu: des
rr. embres radicaux, honorablcs fonctionuaires, d'un pani qui tres-se la corde de 1’interdiciion.profcssionnelle pour la participation a
’ unc mamlcstation contrę 1'urperialismc U.S. qui remontc a huit ans — la fragilńć du systeme d'Etat imperialistę apparait elle aus-
si. dar.s ia ense et au moment historique ou le schćma ma;xis;e concorde avcc la situation reelle dc la fin d j systeme.
Le resers du conditionnement et dc la domination de 1'opinion publiquc par la Suretć dc 1‘Etat est qu’el!c craint a chaquc moment quc la lumiere ne se fasse. Prinaing doi;, dans sa fonction de juge au servicc dc la Siretć de {'Etat. cxccutc: de plus en plus ou-vertemcr.t son boulot d’oppresseur. sclon !es direcmes dc 1’Accu-sation fcderale. Sa pratiquc qui desient de plus en plus trampa-rentę, nous l'avons deja dii un ccrtam nombrc de fois, est la prati-que du bdiUonnement; cn nous emp&hant de parlcr et en assu-rant arnsi le fait quc nous ne pouvons exposer les contextes fondes sur des faits concrets, dc telle manierę que seules les argumenta-tions brisees et morcelees puissent &rc reeues, il empeche 1'opinion pub!ique d'exister. Ces; dans cette tonction qu'il exerce ou-sertemcm qoe se fondc sa partialiti, et cela vaut pour toute la cour qui porte !a responsabilite dc ces decisions. Prioring est qb!i-gł d’£uc partia! co ce qui cor.ccmc 1’opinion publique, parce qu’il sait que lc systćmcclcs, 1'opinion publiquc dirigee par la Sfirctć dc 1'Etat, ćtait la condition dc la planificaiicn strategiąue de cette procedurę par TAccusation fćdiralc et la SOrete de 1’Etat. Par exetnple les articles de presse rclatifs i Buckeburg — je veufc evo-quer ęa rapidemer.t ici — deja i cette ćpoc ie, il a ete dit ouverte-ment: Bilckcburg est la repetiticn generale pour ce proc*s-ci, et l>our tiuback. lc proces dc Biickcburg a montrć ouvertement la nć-cessitć d’exclure les trois avocar$ Croissant. Groenewold ct StrO-bele, co mmc condition de la realisaiion du plan de la Sflretć de 1'Etat. Car 1’imerćt dc 1’opinion publique. pour la stratćgie d'ex-termiration dc l’Accusation fćdćralc, qu’iis ćiaicnt parsenus i crćcr U-bas dans ce trou — 3uckcburg se trouse dans lc Weser-bcrgland — monirait avec ccmtudc qu'avec !cs dimensions quc le proces ava:t deja atteintes ici du tait de la canpagne dc 1'Acusa-tion Icderalc — la cruninahsation ĆLait le seul moyen pour la Surctć ci l’Eiat d’empfcher ici une opinion publiąue. pour pouvoir la dć-sir.tćgrcr par la contre-propagar.de ou la neutraliser. Aussi lor.g-tctr.ps quc les in^dia rctr.phs^aient la for.ction qui leur incotr.be, i savoir de propager la strategie dc countcr-reaction dc 1’Etat ct ici plus spccialement. dc repandrc publięuemcnt lc mersor.ge dune procćdurc dc rEtafdc droit. Prmzing pousait nous laisser parlcr. L’isoIcmcm, lc systćme cios dc 1’opinion pubhquc manipulce par la Surcte dc 1’Etat fonctionnait parfaitement. Toutcs les garanties avaicnt etć prises aiin qu’aucun moi, ncn. sans parler du contcnu politiquc de cc quc nous dcseloppons ici. r.c puisje dcvenir publik. L'opinioa publiquc, sous la dotr.ir.ation du Capital monopolistę, du capital transnationa! U.S., c’cst lc contróle dc la societe par l’Etat comtr.c fonction du capitai. Ce r.’est plus 1’opinion publi-quc qui contróle tcndancrellemcnt TEtat, mais l’tnverse: c’cst 1’Etat qui contróle dircctemem 1’opinicn.
II n’y a pas dc possibilitć de contróle absolu. Pour l’obtcnir. 1’Etat menc la guerre. La sćcunte intćricurc est son but dans cette guenc. Son but est de paralyser toute initiause, de briscr toute teanifestation de vic subjcctivc, individucllc. de ćemonirtr qu’el-les sont vaines.
Contróle et fichage — lc but stratćgique de la sćcurite intćricu-re — visem i la destruction de la conscience critique ; et Ii ou elle est deYcnue peninente. c'esta-dirc li ou le combattan: s’est arme — i la Iiquidation physique des combatunts.
L'aspect tniiitairc de la torturę. c’est qu'eae nous detruń phy-siqucrr.ent. Et c’est cc qui oonstitue la faille de la qucstion dc notre incapacitć i comparaitre. Si Prinzing oe parvenait pas i empćcber quc celle-ci soit rcconnue, cela montrerait une fois dc plus. ce qui a iii prouvć pour Holger, Katharina ct Sicgfried — qu’il s’agit ćvidemmetu auss: de notre iiquidauon physique.
Son aspett de propagandę. c’est de nous rendre lncapab.es de nous dćfcndre. de nous priver de r.otrc crrdibilite en nous prisant de notre capacitć d’artkuler.