12 ■ Le Dovoir. jeudi 28 mars 1985
28 mars
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Coa blindds amdr łcains. prdsanttmont stationnds dana le port de Sen Loreruo, ser ont inceesemment trane-rdfde per des troupea de le Ga/de nabonałe A troła millea de la frontidre nicaraguayenne łta ser ont utUlede au coura dea manoeuvrea amdncano-hondunennea le mole prochain Lee autoritde amdricainea ont indigod que cea manoewrea n ont pea pour but d mitmider le QOuvernement aendinute
Severe misę en gardę a l’Eglise polonaise
En Nouvelle-Calódonie
Pisani n’exclut pas la possibilite d’un «non» au referendum
SUITES
DE
LA PREMIERE PAGE
1'entente. le minutre dea Flnances, M Micha* I Wilson, a soutenu que les compagmes pMroDCres • ont dAmon tr# la volont A de r#investir ces profit* dan* lAconomie canadienne • Selon lui. on ne peut A la fols rfda mer aux pAtroli#res d'investir ict tout en les tatant lourdemenl
II a ajoutA, hors des Communes, qu'll faudrait attendre au budgel pour savoir %i les consommateurs paieraient plus ou moins k la suile de raccord
I.* minutre Camey. absente d'Ot-lawa hier. avait soulign# que raccord allait dans le sens de la dArAgle-menuuon des prtx. ce qui fera monter le prix de 1'anclen pMrole cana-dien. celui d#couvert avant 1174. au Wveau International
Actuellement la production cana dienne se dnia* moiUA-mośtiA entre le vicux patrole et le nouveau. mals les anctens gisements appartietment surtout aux multinationalestandis que lea nouveaux sont majorfttatre-ment k propnAt# canadienne.
Maintenant la dArAglenentatloa naurait que peu d*efiets pour les consommateurs. les prtx mondiaui Atant en baisse Cependant les Ca-nadiens seraient plus vuln#rables k une tmmm subtte des pnx. comme le choc pAtrolier occasion# par les membres de POPEP. dans la der-nl#rc dAcrnmr
• l> nscmble des hypothtsesont explortes et le gouvernement a dl-verses possibilltts selon les *v4ne-ments»,
•II s'agit de savolr sl le syndicat peut bouger parce que c'est im qui a quabfi* sa dernlłre offre de finale*, a ajoutt le mimstre de la J ustłcc. D a rappK la position gouvernemen-tale: le malnuen des dtcrtta. le ca-ractłre inaccepuble des demandes qualif i4es de flnales par le syndlcal et le matnllen des mesures aisctpll-ruures
Le noeud du probłłme demeure la auestlon salanale En effet. le sjrn-dlcat accepłe maintenant le ddcret salartal mau seuiement )uaqu'tu )l dłcembre 19M U demande i ce que l ajustement salartal se (asse auto-matiquement le ler janvler 1987 au mveau de la recommandatton arbl trale de 18*4. recommandatlon re-fus*e par le gowernement.
II s‘agtt 18 dur.e «guerre salnte*, d'une guerre de pnncipes D'un cM. le rouvernemeot ne veut pas que les polider* pulssent rtcuperer le ler ]anvter 1887 les sommes dont lis ont *t* pnvds, par <qmt« soctale. avec le
Sde leur rtmuWratlon en 1985 et la tle augmentation de IM* U seule rtoipfratton monfuire que potarta envisager le gouverncmem serait l‘am*lloration du traltement d'une mtoortl* de poltcters sl un comit* pa rttaire rtussit i s'entendre sur une nouvelle gnlle de rtmunłraUon. We * U Uchę
De son c*tt. le syndicat esttme que. si le gou\ en»emeot est prtt * In-jecter dans une nouvelle grille l*ar-gent qu'aunut rapport* aux policiers rapplicatior, de la sentence artutrale. le gouvernement doił leur promettre cet argenl s il n'y a pas de nouvrl)e grille... Le gouvernement ne serall pas prti k acheter ce ralsonnement d'une part parce qu'U sigmfie 1‘appłi-cation differte mau intfgrale de la recommandatlon arbUrale: d'autr» part, parce qu'll crderalt une mctta tion financUre I ce oue la majont* des membres de la SQ ref usent une futurę tcbeUe de salatres qm favort-serałt aeulement une mlnorit* d-en tre eux
Lautre questioa tmportante. sym-t«olique. est l appbcatka des mesures dtsciplinaires suitę aux moyensde pressłon uUUsfa depuis quatre moU par les policiers Les deux autres ąuestions semblent plus marginales: alors oue le gouvernement propos* dttendre le rtglme de retralte pour trois ans. lc syndicat le rtclame pour clnq ans. De plus. lc syndicat demande un ajustemenl de la renie pour les notiveaux retraiUs Le minutre de la Justice n'a pas voulu prtciser hler sl 1‘adoptlon d'une loi spdciale est eidue cet te se malne k cause de la rencontre avec le syndicaL rencontre qm aura lieu k ISb. au bureau du prenuer minutre * QWbec.-Jal toujours dit que ce que nous avtons * tvaluer en terme de mesures * prendre *Uit en fondlon I- de la adcortu pubUque. J- de la no-tlon de discipline et de son applica-tton. c>st * dire d’une prestation ad*quate de aervices par les poll-cters de U SOret* du Qu«bec, et J de U conjoncture*. a d*clar* M John
son aux jounuUsU* vtnus rintmo-
On salt que le gouvememenl votl une certaine urtence k intervenlr dans le conflil qui dure depuis U mi-novembre. nolammeal k cause de rarrtv£e du prtntemps. qut provo-quers la rccrudescence de la circu-liuon rouUłre. partłcubtrement des deux-roues. L eHmtnl «conjonctu-rei. ne sera cependant pas seule-ment la temperaturę des prochalns jours. a assure M Johnson Le mtnlstre de la J usllce ne votl pas comme un d£saveu TaccepUUon par le premier mimstre de rencon-trer les pobclers -(Cette rencontre). c est une recommandatlon du mtnto tŁre de la Justice. et suitę ausad k une discussion au coasetl des ministres Nous avons śvalue 1‘ensemble de la situatioiK a exphqu4 M Johnson Le sujet etait k l ordre du four de la r^union du Comlt* muusterlel de coordmation des ndgociatiocis. mardi soir La r4flexion s*csl poursuivle dans la nult de mardi k mercredl et hler malin au coitseil des ministres. L offre de rencontre a *l* commu nłqi^e vers I4h30 hler k M Raymond Richard, prfcortent de 1‘Assocuuon Par ailleursw st le prtedent du syndicat ne constifcre plus le minutre de la Justice comme un interlocuteur valable. -cest son probtfcme*. a com ment^ M Johnson *Le premier ml-nlstre consldłre que Je suls encore un interlocuteur valabie, A ce que le sache. ce n>st pas le prtsident du syndicat qui chotslt les ministres.. a ajout* le mimstre de la Justice Lors de U rencontre. M l>\esque sera accompagn^ par «une ou deux autres personnes., en plus de M Johnson Quant k TAssociationdes policiers provtnctaux. elle sera re-prdsentde par six personnes: son pr^sldent, le comlte de ndgociition et le conseiller jundkque mer en fin d aprts-midi, M. Rtchard a assur* Le Devotr qu’aucun pourparler ne se df-roulerait dans les coulisses avant la rencontre a\*ec le premier mimstre.
ment d’en prendre connat&sance. d*en discuter au consetl des mims-tres et de rendre une rtponse en foncUon des seub mt^rMs du Canada et suivant un tchtancler canadien Cette allusion k un fchtancier ca-nadlen est daiileurs la seule rtserve formelle qu'4ir.et M Mulroney qui semble rejeler ainst le d4lai de 60 joum tmparti par M Wftnberger aux amfe pour repondre k son invitation M M ulroney soutienl aborder ce avec des rtsenres qu*U ne pr^ cise pas toutefota Cela knąuiłte d'au tani plus Toppositton que samedt II dtsait qu’il prendrait en compte. si Hnyitatkon formelle veoalt* la possl-bilit4 de crter des emplois au Canada Dar ce programme de recher che. Ce qu'il reconnaissait hler d*atl-leurs hier mf me sa du cól* liberał on se scandalfer de cette approche 1^ Canada n>st pas un marchand d armes. a rappelie M. Chrfuen qul soulihgne le refus U y a deux semai nes du Canada de vrndre des avaons Buffallo k U Lyble, tout comme on a toujours ref us* de vendre des rdac-teurs Candu aux paysaui refusaienl de donner la garutle de ne pas s>n servir k des fins militaires bansce domaine. la crdation d'emploi ne peut *tre un crtt^re. dtt-41 Les jeunes Canadiens ne brOlent certainement pas du d4sir de vivre des profits de 1‘escaiade de la course aux armes nucl^alres, devait lancer dans le dtbat le chef libtral. John Turner Ce k quoi M Hulroney de vait r*pl)quer que son paru n*est cer-les pas un parti de marchanda d'ar-mes et qu'il n avait non plus de le-ęons k prendre de qut que ce solt Surtout pas des libtraux qui ont M les premiers k permem* U prtsence d armes nucieaires sur le sol cana-dien. a-t-il dit
Le premier mimstre qui soutient que la recherche de la paix est toujours au haut de U listę des pnontfe de son gouvemement n a pas r^ussi toutrfot* li eonvaincre le (Hput^de Saint Maurtce de sa slncfnte Celul-cl qui ermt que l'on asasle li un chan-gement profond de poiitique. rap-pelle que le Canada s>st toujours dtstingu^ comme Mant du cóU de ta paix mats que Ton s engage dans une Mapę nouvelle de la course aux ar-me menu Mf me m ITDS n>st qu'un programme de recherche. il y a une escalade qui conduit on sait od, sou tient-llenrappelant leprojet Man-hatan qui fut mitif en IMO et dfbou cha sur la bombę atomiąue U uratfgke de rOTAN Malt basM la recherche de rfgalitf dans le df ploiement des armes nucHaues. ex plique M ChrMien selon qui cette tgalitf Malt maintenant attelnle avec le dfploteme nl des mtuules en Kurope et les tesu du Crutse. On en est rendu k une fpoque od tl faul des-cendre une marche plutdt que d*en monter une. dit-iL en ajoutant qu‘ll craint au plus haut point les consf • quences de U dMnarche imfncaine •LTDS. ce sont des milltards qul de vraient servir au progrfs de l'hu-mann* phitM qu'au progrfs des marchanda de guerre*. lance t u Le df putf libf rai se dira aussl scandallsf de TatOtude du gouver-nememnt Mulroney qut. croit-U. est mampukf par les Amfncains dans ce dossier ć>st Washington qul an nonce les coups k chsque fots, dit U en fatsant allusion aux dfclaraUons du prfsldent Reagan k Qufbec CaM rendu au point qu il faul s demander sfneusement si M Mulroney n*estn pas devenu le gouvernemeur de rCtatdu Canada l/amitif n impli que pas la servtiitf, dftil L atUtiade pcrv>nnelle de M Clartt le surprend fgalement Rappelant que celui ci avalt dans Toppositton fait une longue Mude sur la poUtique extdrteure du Canada, U semble ln confortable devant les polltiques qu'll doli appliqoer sujourd hui Sl-gnalons que d autres, comme le chef du NPD. Rd Broadbent, croient tout simpkement qoe M Clark M tncom-pMent et qu'U de vrait Mre muld k un poste moias important Son erreur de mardi sur nnvtlaUon de parli-ciper k TIDS nłest que la dernlf re d'une sfne. a t il rappellf
Malgrf toutes lespresaofisda Top-
position. le premier minutre Mul roney a refus# hler d indkquer k quel moment U rendrait une dfctsion dans ce dossier La seule indlcaUon qu‘U donnę M qu>lle aeran conforme atu enąagements pris dans le tralt# ABM Ce tralt* permetUalt selon le gouvernement de lancer des pro-urammes de recherche du genre de la Guerre des dtolles sansT accord des soviMiaues. L*opposition eon* tesle toutefoU que d autres pays pulssent Mre associds k cet effort de recherche
rondurt k Mootrtal. Tro» Rtvt*m rt Valleyfield dfs qu*il en aura le temps • Toul mon agenda est k peu prts coocentrć sur les travaux prf-paratotres au bodjęci •
Avant que M Wilson n'annonce vendredi dernler son intentton de prononcer son discours du budget vers le 20 mai. solt trois semaines plus tard que prf vu, M. Duhaime soubaitait prononcer le sień aprf s celul de son homoiogue ffdMal
1^* numrtrr qu#b#cots Youlait eon naltre U propositlon duttawa pour compenser les 1264 mtllions qoe Qu#-bec ne recevra pas cette annte au chapitre de U p#r#quaUon en vertu du modę de palement Mablipar le prfcfdcnl gouvemement ffderal.
• Si on a un manque li gaaner de celle ampleur li. il va fallotr le com penser ou bien on va alter vers un d#^ ncit accru. a plus tard expliquf M Duhaime k la presse. Le rMmlUt net aura constst# pour le gouvemement de M Mutroney k nous envoyer une partie de son dfflclt sur nolre labie de travatl •
M Duhaime n'a pas #cartflere-cours k une taxe spfciale ou li • tou-les sort ca de gadgeu • pour compen ser un Menluel manąue k gagner au chapitre de la pM#quaUon
MM l.fvesque et Mulroney avaient abord# cette question au cours de leur tMe k tMe k QuM»c. le k mars Faute d'un accord. lis en re-parlrront lors de leur prochain entre
Aucune datę n a encore M# ar-rMfe pour cette rencontre. lndkquait-on hier au bureau de M LM esąue
M Duhaime af firmę par ler au td-Idphone avec M Wilson mals le dossier ne semble gufre progresser, • J‘al rencontrf M Wilson en ddcem bre demker 11 m^ualt promisqu'on rfglerait ęa fin janvier On imve k la Tin mars et on n'a toujours pas de rdponse ni de propositlon mns tout de mfme de lespotr ., expbque t il
Fortier manta
Le commt»aire a mvtt# lc gouver-nement d'Ottawa k s'impliquer da yantage. notamment pour assurer que le chou de la langue de travail existe rdellemcnt au gouvemement ffddral. conformf ment k la loi de IM
Inlerrog# sur ce point hler par le ddput# bbMal Jean-Robert Gauthier. M Mulroney a reconnu que -si on n*est pas en mesure de travailler en franęaiSt c'est du folklore et, li tout prlx il faut conserver rmtfgntf de cet instrument et de cette riebesse culturelle et linguistique en le for-ęant, en fatsant en sorte que cela de vtenne un instrument souhalt# au travatt*.
Pour rfaliser cet objecUf. M Mul roney a accueilli «avec sympathie. la suggestion de M Gauthier. qui souhalteque le gouYcrnement prd-cise ce qu'il entend. concrf tement.
Gir po&sibiUl# de lravatUer dans la ngue de son choix M. Gauthier esttme au‘une clarification en ce sens est tre* tmportante,
•Cela donnę un modele pour les autres gouverncmcnls et sert de courrołe d entramement pour ke sec leur pmf..a t-tl rappel# k la sortie de la Chambre, en se montrant en-courag# par les propos du premier mimstre
•11 faudrait qoc cela se fasse avant ran 2.000 Smon on est vou* * se bal kaniser. On n*a pas besoin de s#pa ratistes pour faire la diYiston. on va ravotr., a ajout# M Gauthier Ce demier a rappel# en Chambre que s*il y avait eu une #volutloc dans la bonne dlrectlon dans les domaine de rensetgnement et des communi catiortSw la Ungue de travmiL elle. fał sait du sur place Kffeetn ement. dans son rapport rendu public mardi. le commlssaire aux langues offidelles parle *d'une sorte de palier., en dfpit des aądra-tkons de nombreux fonctiocmaires M Fortier Md*avtsque les direc-tions des ministfres doivent favo-riser 1'emploi du franęais par les francophones. en ratson de I attralt que conltnue d*exercer sur eux Tan-glam Kt U croct davantage en une ut-cilation de cet ordre qu>n une dose accrue de formation linguistique pour les Anglophones. Car la ques-tion en est avant tout une de menu-bt# et d atUtude. k son im A parttr de maintenant, M. Fortier altendra avec impatlence les d#ve-loopemenl gouvcmemcntaux annon-cłs hler. Car prfsentement, nen ne dit qae le commlssaire aux langues offidelles ne prtchera pas dans le dfserl
Ses princtpales liche* prdsente-ment conmstcnt k recevołr les plam tes 1.4*1 en 1964 dont *14 venant dan glopbones . k esamtner les mesures queprennent les mimstfrespour ae conformer aux exigencesde la lol sur les langues offidelles et k mter vemr pubbqnement sil le juge k propos. comme U Ta falt celle annfe pour rappeler oue les compreMoM budgMaires k RadloCanada ne de yraient pas rfdulre les services dis pens#* aux mlnontMi. Mau ceux k
KU jfadresac ne sont pas obbgfsde
«Mr.
Par ailleurs, A t.ondres, M. Paul Nltze, conseiller en maturę d*ar-memenu du prtedent Reagan, a M reęu hier par Mme Margaret That cher. et lul a prtsent# un compte rendu des cntretiens de Gen#ve. a ddclar# un porte parole du premier minutre bnUnafcjue
Pendant 1'entretien. qui a dur# SS minutea. Mme Thatcher a rfafflrmf son soutien au programme de TIDS. et •* robjeettf amMicaln de parvcmr k des accords effccttfs vtsant k prd venlr la course aux armemenudans l espace et k assurer U sdcunif et U rfduction des sytf mes of fensifs dea deux partie*.
Dans rinlervalle. k Luxembourg. en ddpit des apordhenslons de leurs pnnapaux aUids, les ĆUUUnis ont obtenu hier leor soutien aux recher ches sur łTnitlative de dffense stra
de«,2urtic^JamCUX pr°^€l *^uerre
1-e commumqu# pubb# k 1'tsaue de la rdunion, mardi et mercredl. du groupe des plans nuclfaires de l'0-TAN, af firmę que les muustres de la DMense dr 1'OtAN ont expnm# leur soutien au programme de recher-ches amdrtcaln dont le but est de renforcer la stabUlt# et U dissusKłon avec des mveaux rfduits d armes nu-cMalres offenssve&
Le secrMalre amdrlcain k U Dć-fense. M. Caspar Wetnberaer. a for meUement remis k ses colldgues une letlre leur proposanl de partidper k la phase imtiałc de recherche Cette propositlon a dgalement M4 trans misek la France— ou M Wember ger s est rendu aprfs la rAunion de Luxembourg — au Japoe. k TAustra-Ue et k IsraeL
1^? document pr#voit que les re-cherches sur la Dłfense de Tan 2000. dont la dtmenston spatule est k l'o-ngme de rexpreszoon de .guerre des Otoiles*. ne seront pas Umitfes aux moyens de contrer les grands mls-ales mtercofiUnenUiiK LesdMenses contrę les fusOes k courte et mo><enne portfe, aui. selon M. Wein-berger. semblent devotr Mre pbis facile* k mettre au point, seront #ga-lement Mudides avec attention
t^s pays europdens de TOTAN s‘inquietent particulifrement de la menace reprfsentfe par le nombre crolssant de fustes soviMiques k courte et moyenne port#e dont les 414 eurofusdes sovieuques SS-20 k trois tf tes nucMaires.
Les Etats-Unts proposent donc k ceux de leurs alllds qui sont mtOres-sds k une Mrentuelle coopOration d i denlifler dans les deux mols les do maines de recherches communes possibles. IlssuggfrentOgalement aux alll#s d'envoyer k Washington des experu pour des dlscussions avec les responsables amMicaln* Les Etals-Unls ont affect# S26 mil-llards pour les cinq prochalnes an-nfes k cette phase de recherche.
•II exlste des malentendus qui. je pena*. peuvent Mre clanflds*. a df clarf M Wetnberger. au cours (Tune conff rence de presse k Tlssoe de la rfurnoa
De son cótf. le secrMaire gfnMal de 1'OTAN. lord Carrington. a d* clar#: -Personne ne nie aue des quesltons se poseronl dans) avemra mau ce n'est pas le moment de les rfsoudre. la dffense du futur n'Mant qu'k 1‘Mat de recherche.
Les muustres de la DMense de PD TAN ont en dM)mtJve donn# leur ap^ probatłon k cettephase de recherches. selon eux in#vitable en ratson de travaux simllaires men#sdu cM# sovi#tique. Mau lis ont demand# k #tre #troitement consullfs dans Ta-venir. M Weinberger a prts som. dans sa lettre. de sp#ctfter que la consultatlon a vec les allt#s jooerail un róle important dans loule d#cl-sion #venluelle de d#plotement des limes dMensives strat#g)ques
En prlv#. les dlplomates euro-p#ens mettent 1'accent sur le risque dlnsUbiht# ouvert par ces nouveaux s>*tfmesded#fensestral#g»que ILs redoutent notamment que ces pro-jeU n'aboutissent k une re lance g# n#ralis#e de la course aux arme ment*
lis craignent d autre part une #ro-sion de la dissuaakon. les projetsdt d#fense non nuclfaire ri*quanl de faire croire k la posstble dtspantłon proc halne des armes nucl#aires of-ferattves. ce qul ne sera pas le caa
Enfin. les pays europ#*ns redoutent que riaitiattYe am#ncsme de d#fense strat#gtque ne rev#te la formę d un d#f» techno!ogique La proposttion de coopMation formul#e par M Wetnberger reste d ordre g#-n#ral et certains alll#s redoutent Qo’elie ne d#bouche que sur des of-fres de sous-trattance et non une riUble partage
Cest ta raison pour laqu*'le le voyage de M Wetnberger en France, pays qul gardę son ind#pendance *trat#gkqoe tout en #tant membre de TAlllance. sera suiyi avec une parti-culftfre attention par les allMa
VARSOVlK (AFP) - Lorjane du Parti communistę polonais. 7r>tana IakSu. a adress# hler une s#v#re rmse en gardę k TEgUse catbobąue de Po logne, en lalssant ouvertement en tendre que la • palience • du pouvotr avatt des limites et que les prftres
• extr#mistes • seraient sancUonnfs s‘ils ne mettaient pas fin k leurs ac-tlvit#* • polltkjues • dirtgłes contrę le socialismc
Sur un ton comminatoire qui n*#-tait plus de rtgueur depuis quelque temps dans le langage officteL font remarquer les observateurs. Trybuna Ludu reproche li U hierarchie catholique de faire preuve de tol#-rance envers • un peut groupe d‘ec-ctMaaMąaes • qat seloo luk « se soal fix#s pour but de combsttre 1'fitat soclaliste et la poliUque d enlente • nationale du • numMo un. polonais, le K#rk#rai Wojciech Jaruielski
Trybun* Ludu accuse ces pr#tre*
• extr#misus • de transformer • les #gltses en Ueux de meetmgs pollti ques ..de semer depuis les chakres
• rintol#rance • envers les membres du parti et les non-croyanls, de for-mer les jeunes dans raveruon du my daUsme.« Ces politicards et crtaii-leurs en soutane •. estime le quoU-dien. • sapent rEtat. les allunces de la Pologne et les valeurs du r#gune • soctaliste.
L organe du parti dMtonce ensuile ratutuoe • #qulvoque • des responsa bies de rEglise qui observent avec
• bienvetllance •. dit-il, ces • acU\H#s n'ayant nen de commun avec le sa-cerdoce.
Auparavant. Trybuna Ludu ayait reproch# i rEglise de demeurer I l'#cart de r#difkration du soctallsme
PARIS (Reuter) - M F-dgard PI sam. qui M rentr# k Parts Wer pour prksenter aujourd'hui au prósident Franęoa Mitterrand son plan • d*in d#pondance association . en Nou-\elle Cal#dome. laisse entendre qu'il n'exclut nullemenl un • non • au r#-f#rendum de i*#t# prochain dans le temtotre.
Dans une intemew au quotidien franęais tjbtraUon. le haut-commis-saire. sans entrer dan* le dMatl du plan de 906 pages auli soumetlra au gotiYfOkement, aouhgne que son IdAt d’md#pendance asaoaaUon donnę la souveralnet# aux Kanak*, mals ga-ranili les drolts des Caldoches de souche europ#*nne et des minorlt#a msta!l#es dans le territolre. ct pr#-serve #galrmenl une pr#sence stra-t#glque de la France dans le Paclfi-que. Cela • reste la sotutkoo. la char penie du systkme •. ajoute-t il
• La constituUon nous oblige A or-ganiser un scrutin auquel partiapent les non-Kanak* Imagmons que Kon alt pu faire le vote avec les seuls Ka naks. on aurait certaine ment abouU A rmd#peDdance. mals aprta, que se serait U pam# ?
• Tandts que maintenant nous sommes oblig#s de penser A une in-d#pcndance association qui donnę des garantits aux autres. et qu'un #chec Cieciora! sur U baw d un texte clair ne serait pas n#cessalrement un #chec pobuóue •
M Pisani expikquc que le r#f#ren-dum. quelle qu*en solt TUsut. per-mettra de m»eux cerner le vote In-d#pendantiste parmi les quelque 350.000 ha bi tania du temtotre -
• Pour le moment, noui vlvons avec une grandę Incertitude Que repr#sente r#ellement la tendance indCpendantiate Tl...) Une coosul U tion populaire clairement artkcul#* autourd un projet qul donner alt un r#sultat n#gatlf, alors que laltema tlve au projet serait conaue, c’est le fondement d*une pobtkque.. souligne M Pisani
Pour lul. ce serait • une erreur grave • de ne pas aller vite. et de • reporter la ąuestlon de TindApen dance k plus tard. maintenant que le cyclone • des troubles des derniers moks w en Pologne
Le comportement de rEglise est
• mqui#Unt., sfflrme encore le quo-ikdien qui. apr#s a voir rappel# que le g#o#rai Jaruzelski avmit r#cemmeni exprtm# son • impatlence • en ce qui conceme les relationsEglise-Etat. lalsse ouvertement entendre que la
• palience • du pouvotr a des Umites
Ce s#v#re rappel k l ordre. font re-
marauer les obsenraleurs. Vins#re di fisia Yirulente csmpagne orchestr par kes mass media offlctełs que le pouYOir a d#clench#e contro lo
• derg# combattant • k la faveur du procka des policiers assassins de
• raumbnler de Sotidint#., le p#re Jeny Popiełuszko
Dans les nombreuses conf#rences r#glonales du parti aui se dłroulent depuis peu dans tout ke ptyś. rEghse falt 1'objet, fait-on remarquer, de s#-vłres cntkjues, y compru de la part des membres du bureau poliUque, k rinstar de M. Jan Glowciyk. qui a clam# que • le parti ne pouvalt res ter indm#rent devant les activlt#s des pobticards en soutane.
Mardi encore. dans sa coofMence de presse hebdomadalre. M. Jerzy Urban, porte-parole du gouverne ment, a hMn les pr#tres • extr#mis tes • en mdlquant qu'ils seraient d# f#r#s en justice le ca* #ch#ant
Pour sa part, le cardinal-prunat de Pologne. Mgr Jozef Glemp, a re-grett# ces « attaqoes profond# ment douloureuses et injustes • et a de maad# au pouvotr de faire preuve de
• mod#raUon • et de • pood#raUon.. dans une hom#He pubU#e dans la denutre bvraison de rhebdomadairc de r#pUcopaL Pmglnd Kutubcki
U dit • esp#rer • que les Euro-p#ens notamment • ont sentl que U terre a vait trembl# sous leurs pteds Qu‘iIj ont constat# qu'il fiut maintenant 3,000 gendarmes pour maln-temr 1'ordre et que. demaln. un gou-yernement franęais. qu’il solt de drotte ou de gauche. pourrait d#dder de les reUrer. •
Au moment ou M Pisam quiltait Noum#a pour Parli. M. Dick Ukclwe, chef du gouvernement ter-mona! (RPC-Cafidocde). prAaeatait devant TAssembl#e temtorlale un plan de d#coupage du terrttolrt qui conseryeralt Noum#a et 1'ouest de File aux KuropAens. et donneralt A chaque moiti# du temtoire un ex#-cutif Alu
Commentant ce plan • de parti-tkm, sous la tutelke de la France •. Le Figaro Acnt qu'»l«concilie les ten-dsnces antagonutes et prApare un avenir qui pourrait aboutir. sans heurt. d ici une dlzaine d*ann#es. A une formę d indApendance bbrement nAgociAe. •
• Une fols encore le prAsident du Rouvemement temtonal joue bien. II avance ses pions A point comme pour faire Achec au projet Pisani
• DAiA du seul point de vue des In-t#r#ts franęais. on avait obleci# que le prolet Pisani comi>ortaU un vice rAdhibltolre : une fols TindApen-dance arracbAe. un Eut canaque ne serait en aucune manlAre li# par des engagements prAalabies LlndApen dance acquae ne se reprenant pas, ta majont# profranęaue n*aurait dłau-tre resaource qoe !>xode
• On mesure mieux aujourd*hui la lAgAret# des assurances quaEdgard Pisani a cru pouYOir apporter aux partMans de la DrAsence franęaise an NouveUe ('alAdonłe Face A cel ivta glement. le projet de Dick Uketwe coiistltoe lautre volet de ralterna-t»ve. le seul qui permette une solu tion rmisonnable .
InterrogA par LibtnUon sur son • contentieui • avec M. Ukelwe et dla Aventuel dialogu* entre Parts et ce demier derrlAre son dos. M. Pisani a dAclar# : • Je comprendrau qu U s agit dfun d#taveu (T..) MaU je CTottqu il n*en est pas questioa •