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i runanimite. indśąuenc te taux de remde comme seul critere discrirm-nant Le prix rempocterań dooc sur ta ąualke de Tofire! On est bien toin, a en crwe ces repooses. du regne du mieux-dlsoni.
U question sur les possibilites daDocissement ne tait que rcn/brcer le sentiment que. derriere Tappa* renie communaute dopinion, se cachent. a y regarder de plus pres. des differences signiftcatives. Presque a runanimite, les bibliothe-caircs estiment que la possibilite de proceder par lots est une solution utiJe. quasimenc altruistę, car eUe permet de faire travaillcr plusieurs libraircs. metne si ta difficultć a defi-nir ces lots est parfois evoquee. Les libraircs portem un jugement plus differende sur cettc prauque en tntroduisant les criteres econo-mjques retati/s a rimportance des lots et en mtegrant leur manque d adapution a la rraiite des scctcurs editoriaui.
La qucstjon sur les di/bcułtes ren-contrę es permet de mcmr sur la situation sutuuurc de chacun. car si les btbbochecaires evoquent ta diffi-cułte a convaiocre Fadministriboa dc ta spedfleite de reeooomic du Uvrr cf du bienJbodć du mieux* disom, les tibnoes trticmcm les rctards dam k rccowrcmcm des tacturcs et ta complezfee des com-mandes comme difficułtćs raajeurts.
Avant de taire ta symhese de toutes ces informaboas, ii fcut cnfin noter qu'airs ąuestions rćserrćes aux bibiiothecaircs, sur les di/bcuł-tćs rencontrees pendant une com-mission et sur leur souhait en matierc dóolution dc ta procedurę, cc sont les points d’achoppcment evoqućs en filigranc du debut a ta fin qui reriennent possibtlice de retenir ks criteres qualitatifs. ptafonnement des oemises ou intćgntion du role de ta frrqucntation ph>sique des librairics dans ta demarche«qualite • d'une poiitique d* acquisitioas.
A li/e ces rćsułtats. on resseni un cenain malaise Gomment se fań-tf que cant de tnarches so*ent finale-
mem attnbues auz moinydisants ou auz frossoŁes, a les profcssionncfe sont comamcus que leur intern est aiBcurs’
0 comsem bien sur de retatroser ta nepresentatń-ite des repooses qui nora pas de kgitimite stausoque; mas le probleme n en demn*e pas moim bien red
Plusicun repooses sont cfailieurs hautement sagnificatjves Bien que les cncćtes rciaufs aux seroces bibbogr» płuques soicnt targemem pkbtsoics. peu de marches proposem un engagement precis du foumisseur sur cette quesóoo essentieOe A rimrrsc. bien que le prbt o apparażsse pas oomme ud critde priortaae. oom bceus sont les CCAP qui sieuent le prtx en posibon dominantę sur ta fole des criteres <f aoribubon. Et fest bien ta le cceur du probleme. car le prfc sen de paravent et scmble occuker cous les auoes criteres de jugrment des oftes predses dam le r^gkmem de bconsukaboo.
1 but austa noter que les ćcarts enoe ta thćorie et ta prabque soot nombceus et les marches coflectó prćsentenc bien des mcoherences dans leur log>que redactlonndle. Car 1 ne sUSt pas diroir de bonnes intentions, encore faut-il que les documents prepares pennettem, dam le respect des regles concurren-tśefles, de depanager les candkłats en fooction de criteres dairement iden-tifies, contractualisablcs et hierarchi-ses. O ne sen a hen. par exempłe. dc mentiooner le critere « possibilite <f animation • en quatrieme posiooo, quand le pruć est en deiucićme. comme on peut le tire dans un des marchćs colleaes. Dans ce cis. comme dans bcaucoup rfautres, mal-gre les efforts pour etofler les enteres de partage des soumissioonaires. J y a fort i penser que seul le prii (era ta dticrencc. car ta grandę variete des remises coosurue de bit une pression tace a taquefle seuta des arguments imparables pourront rćsister.
AinsL si les marches sont rereła-teurs, ccst avanc.tout cfune cename
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