30 ricide de 1 'aminob enzćne - sulf amido -thiouróe sur les cultures du bacille de Kocb.; Pichat P. (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 493-495). — Lc pouvoir retardant inhiblteur apparalt pour les dilutions & 1/30.000 et plus concentrćes; le pouvoir bactćricidc vrai est constant dans les dilutions £ 1/3.000.
* Ćtude comparativo des actions retar-dantes sur les cultures de bacilles de Koch de 1'aminobenzćnesulfamidothiou-róe et de quelques sulfamides; Pichat P. (C. R. Soc. Biot., 1943, 137, 495-496). — Ćtude de la sulfathiourće, de raminoben-zćnesulfamide ou 1162 F, de la soluseptazine et du soludagćnan.
* Action de raminobenzćnesulfamido-thiouree et des sulfamides en gónóral sur le pouvoir bactóricide, pour les oultures homogenes du bacille de Koch, du sórumBanguinet des urines; Pichat P. (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 496-497). — Ćtude du 2.255 R. P., du rubiazol, de la 6eptazine, du dagćnan, de la soluseptazine, du thiazomide.
* Ćtude de la chimiorfesistance des gonocoques par une nouvelle methode de dótermination de la chimiorósistance « in vitro »; Hagehman G. (Ada palh. microbiol. scand., 1942, suppl. 46, 1-180). — Ues gouttes de sulfathlazol, de c variant de 1 /200 h 1 /409600, sont disposćes sur de la gćlose au sang et au liąuide d’ascite. La c la plus faible, inbibant la crolssance du gono-coque, mesure directement la chirniorśsis-tancc. Action in uitro de 1’acide p-aminoben-zol'que sur le phćnomćne de la bacteriostase.
* Ćtudes sur le pouvoir antisulfamide. VII. Comportement des protóines et de leurs produits d'hydrolyse enzymatique, vis-&-visdu sulfamide ; Tabone J., Nitti F. F., Senecal M. et Mousset H. (Ann. Inst. Pasteur, 1943, 69, 253-256). — Les protćides ont un pouvoir antisulfamide tres faible, alors que leurs produits d’hydrolyse en possćdent. un trćs important, d’autant plus intense que lc dcgrć de dćgradation est plus ćlevć. L’activitć anti-sulfamide des peptones commerciales est due, en grandę partie, aux produits de digestion desprotćides du muscle.
* Ćtudes sur le pouvoir antisulfamide. Vm. Pouvoir antisulfamide de differents organes (Cobaye). Conclusions tirees de cette ótudo; Nitti F., Tabone J., Mousset H. et Senkcai. M. (Ann. Inst. Pasteur, 1943, 69, 303-305). — Cc sont les peptones du muscle qui sont doućes du pouvoir antisulfamide le plus ćlevć. Elles renfermeraient des factcurs antisulfamides qu’on ne trouve pas dans les peptones do myogćne et de myosine. Faible pouvoir antisulfamide du sćrum et de son hydrolysat acide, permettant de fabriquer de nouveaux milieux de culture.
CHIMIE BIOLOOI0UE
aureus; les anesthćsiqucs locaux non dćrivćs de 1’acide p-aminobcnzoltque sont sans effet.
• L'orientation nouvelle de la chimio-thórapie. La recherche des antivitamines sp6cifiques; Paraf J., Desbordes J. et Paraf A. (Pr. mód., 1943, 51, 576-577). — La sulfamide considśrće comme une anti-vitamine vis-^-vis de 1’acide para-amino-benzolque. L’acide sulfopantothónique ct Plon salicyliąue — antivitainine de 1’acide pantothćnique — facteur de croissance. La vitamine PP, la vitamine K et leurs antivi-tamines. Róle des antivitamines dans la lutte contrę les microbes pathogćnes.
* Action hómolytique de la gramici-dine; IIeilman D. et Herrel W. E. (Proc. Soc. exp. Biol., N. Y., 1941, 46, 182-184). — Cel agent bactćricide a une action hćmolytique marqu6e sur les globules rouges de Mouton et de Lapin, in vitro.
Traltement de l’oxyurose par le violet de Gentiane; Rachet J., Bijsson A#, Galmiche P. ct Rosey J. (Arch. Mai. Ap-par., dig., 1943, 32, 44-46). — Efficacitć et innocuitć du traitement.
Les progrśs de la módication anti-histaminique; Perrault M. (Pharmacie, 1943, 1, 227-231). — Synthćse.du 2339 RP; caractćristiques physiques et action anti-hlstaminique; posologie, tolórance et modę d’action.
Action sur 1’intestin isoló du Rat du para - aminobenzoyl - diethyl - aminośtha -nol (P. A. D.) et de quelques-uns de ses dórives; Hazard R. et Vaille C. (C. R.
Soc. Biol., 1943, 137, 437-439). — L’iodo-mćthylation de la fonction aminę tertiaire du P. A. D. diminue un peu plus nettement 1’action de la molćcule sur 1’intestin que ne le fait 1’acćtylation de la fonction aminę primaire. L’iodomfethylation ct 1’acćtylation simultanćes, en additionnant leurs effets, rendent la molćcule presque inactive.
• La diacótylation do la yohimbine et de la corynanthine modifie-t-elle 1’action sympathicolytique de ces alcaloides7
Raymond-Hamet (C. B., Paris, 1943, 216, 614-616). — Altćrations peu marqućes du pouvoir sympathicolytique par introduction, dans la molćcule de 1’alcalolde, de deux groupements acćtylćs qui bloquent respec-tivement sa fonction aminę secondaire et sa fonction alcoolique.
* Action de 1’ahsorption lente d’adr6-naline dans le choc expśrimental;
Karat H. et Fref.dman A. M. (Proc. Soc. cxp. Biol., N. Y., 1941, 46, 385-387). — L’injection lente d’adrćnaline permet le maintien de p a un niveau normal ct parfois la survie, 5 la suitę de manipulations qui, chez 1’animal normal, provoquent une forte chute de p et un choc. Les vasoconstricteurs pourraient jouer un róle intćressant dans la thćrapeutique de quelques formes de chocs.
Sur 1’lncompatibilitó entre 1 ’ammo-niaque et les sels des alcaloides; Awe W.
et Voi.i.mer II. (Mdnch. med. Woch., 1943, 90, 53-54). — Les auteurs attirent 1’atten-tion sur un cas d’intoxication mortelle pro-voquśe par un mćlange composć de chlorh. de morphine et d!ólixir pectoral. L’amrno-niaąue qui entre dans la composition do l’elixir pectoral de la pharmacopće alle-1945
mandc, avait provoquś la Iibćratlon et la cristallisation de la morphine.
Intoxications et brulures par le phos-phore; Straub W. (Munch. med. Woch
introduit sous la peau dorsale d’un Cobaye 0,2 g de P, Tanimal meurt en quelqucs jours avec tous les signes d’intoxication aigue par le P (perte ćnorme de poids, foie dćgćnćr1, etc.). Mais si Ton trempe ce inorceau de p’ avant d’6tre appliauć sous la peau, dans une solution ó 2 0/0 de SO«Cu, on ne constat« plus aucune intoxication. Au contraire, ranimal augmente dc poids. Lc morceau de P reste intact sous la peau, protćgć par une couche de phosphure de Cu. Toutefois, apris plusicurs semaines, il Anit par disparaltre, sans doute aprćs transformation en P04H,’ dćpourvu de toxicitć et absorption sous cette formę. De mfime, si Ton recouvre un bftton de P par une couche de phosphure, P ne brtklc plus & 1’air ni ne fume, mais aprh quelque temps, il se liqućfie et se dćsagrfege, en laissant coulcr du PO1H, concentrć pur. Selon ces observations, l’auteur propose une mćthode de traitement de l’intoxication ct des brOlures par le P au moyen dc la solution de SO,Cu.
* Traitement de l’empoisonnement sa-turnin par le citrate de soude; Ketty S. S. et Letonoff T. V. (Proc. Soc. exp. Biol., exp. N. Y., 1941, 46, 476-477). — L’admi-nistration de citrate de Na (2 & 4 g par jour chez 1’Homme), fait disparaltre rapidement les symptómes toxJques et provoque une chute rapide de c de Pb dans le sang.
* Un cas d’intoxication par le thal-lium avec troubles trophiques des ongles; Dell’acoua G. (Med. klin., 1943, 39, 558-560). — Ingestion de 1 gdu toxiqje. Participation du systćme endocrinien et surtout de 1’hypophyse au syndrome qui prend le type d’une cachexie hypophysaire
* La dótermination de l’oxycarbon4-mie et sa signitication; Duvoin M. et Truffert L. (Arch. Mai. pro/., 1943, 5, n° 3-4, 78-88). — Technique d’extraction et d’analysc chimique capable de dśceler 0,5 5 2 cm1 de gaz/100 cm1 de sang. IntćrSt du dosage co!orimćtrique (colorimćtrc intć-grateur ć sphćre de Dognon) ó l’aide des rayons infra-rouges. Discussion avec F. Simon qui considćrc que roxycarbonćmie limite pourrait ćtre un artefact.
* Inactivation des v6sicants et des lacrymogónes par róaction avec des composćs sulfhydrilós; essai thśrapeu-tique; Bacq Z. M. (Buli. Acad. roy. Mld. Belg., 1942, 7, n° 8, 500-527). — Recherches expćrimentales effectućes sur le muscle isoli de Grenouille. lnactivation de la chloro-picrine, de 1’isosulfocyanate d’allyle, de U chloracćtophćnone, de la sulfone, de Typ^rit! par divcrses substanccs : cystćinc, glutathior., mercaptans, Lhiophćnol, etc. Le benzyl1 mercaptan agit favorablement sur les lćsiofc provoqućcs par lc sulfure de 33’ dichlorśthyle.
* L'hepatite du Cobaye intoxique par l’acetate de cobalt. Influence de la splónectomie sur le d6veloppeznent des lćsions; Cornil L., Poursines B. Dumont-Lecrż M“« (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 459-460). — L’animal splćnecto1 misć paralt plus rćsistant a l’intoxication que 1’animal qui a conservś sa ratc.
Action anti-sulfapyridinique et anti-sulfathiazoliąue des dóriv6s de 1'acide p - aminobenzoique employśs comme anesthesiqueslocaux ;Keltch A.,Baker L., Brahl M. et Clowes G. (Proc. Soc. exp. Biot. N. Y., 1941, 47, 533-538). — Tous les dćrivćs cxamin6s ont en partie ou complć-tement paralysć Taction bactćriostatique de la sulfapyridine sur B. coli, ainsi que celle du sulfathiazol sur B. coli et Staphylococcus