Brej: !a direction — cc qu’e!Ic dcvrait ftre, c’est la conccp-tion concrćtc dc la situation et dc sa transccndance :
!e$ buis ct Icur uansmission dćns b structure du groupc/or-gar.isation cn lutte.
En riair : dans la nćcessiti (et c’est Ehistoirc qui prcduit le concept ct par li Chistoire du groupc et de ciuąue individu dans son conccpt: iuuc rćvolutionnairc) — dans la nćcessitć dc 1’antagonisme, dans leąuel cous nous plaęons, nous et notrc po-litiąue. cn tani que combattants, donc dans sa violenct ct sen obligatioa coir.płeac pour chaque individu — liberie, Ebćration sont possibics.
LT. — II faut intógrer dans ce contetfe — conduite psychologi-que de la guerre -- I* idee debile dc Wundcr sclon laqueEe Andrcas n'aurait jamais travai!!e en usine, parce qu’cllc dćmomre com-ment Panticommunisme devcnu scicmificiue dans la conduite psychologiąuc de la guerre usurpe Phistcire, :es jugements ct structures existantcs dans !e but de les Eiger. La phrase est faus-se. Andrcas a appris et ccrapris dans Pusine. dans b nie, dans la prison — de rr.ćme que !a conduite psycho!ogique de b guerre deforme les faits cn pretcr.daat quc la R.A.F. est un groupc de t>pes et de femm.es des couches supćrieures de b moyenne bourgeoisie ayant unc sccialisaticn bourgecise. Si I’on tient a faire de la sociclogic. disons que la m.oitić d’cntre nous vient d*un milicu prolćtaricn — ćcoie elem.cntaire, apprentissage, usi-nc. foyer, prison. L'afftrmation nie, mais ccrtai.nemer: aussi par ignorance, le fait qu'avcc la troisitme subsumption rćellc au dćbut des annćes 1960, des processas de prolćtarisation ct dc dćclassement ont cu Ecu daps ur.e trćs brge mesure —
Et ccci uans les proccssus de vu!garisation et de technocra:!-saticn des univcrsitćs, de concentratlon des media, etc., qui ćtaient b cause imćricure de la mobilisation dans les umvcrsitćs & partir de 1966. La cause cstćricure ćtait b guene amćricaine au Vietnam. Cctte afEimation essaie de nier ćgalcmcnt le fait que tous les combattants de la R.A.F. ont appris ct travaillć dans les projets de base de la NouycIIc Gaucbe depuis Piąues 1968.
Cest le corabat mdrne qui prolftarise les combattants. Ab-sence de proprićtaire et — ceci est k concept du piyti eorćcn pour le rapport prolćtaricn envers la lutte pour le communis-me : !c dchoutche ; ii caractćrise le proletariat en tant qu’anta-goniste de Pirapćrialisme; cela signific: sujet de libćration.
Evidcmment. ccci n’est pas un concept soriologięuc cl- proletariat. Mais un tcl eon -•'* tć»(v«e pas. << ?roićtariat »
a'cst pas un conccp* tz* • •*.:*»« genc:- f. fasclstes — il signifie un rappor;. Le rapport óJe la gućrilla au peuplc rcr.voie au rapport du prolćtariat i PEtat irr.pćrialiste, le dćfinit cor.-.me antagonisir.c A morf, comme guerre de cbsses.
Proletariat est un concept de lutte.
Sartrc dit:
« l! est vrai que le proletariat porte en lui-mSmc b raort dc la bourgeoisie ; il est vrai que le systćrr.e capitaliste est sccouć par <ips contradicticns structurelles ; mais ccci n’implique pas nćccssaircmcnt Pc.Tistcnce d'ur.e conscience de classe ou d’une lutte de classe. Pour qu’il y ait ccasdence ct lutte, ii faut qu’il y ait lutte armće. »
Mais d’ou vicnt Paffirma tion de Wunder ? Veut-il dire v Le travail libere » ? — doac ie carr.p de ccncentration. Ou veur-il parler de l’«ethique protestante dc rentreprisc» ? donc — tita-tioa — #
« Le travail comme sourcc de toute riefcesse et de toute dvi-lisation », idće du Progrcrr.me de Coths avec Iaquclle la vicil!e social-dćmccratie, lors du grand cbdmage en 1930, n’a ricn pu faire d’autrc que dc cćder finałem cm le pousoir po!itique aux fascistes — alors qu’el!e Tavait perdu depuis longtemps parce qu'clle ne l*avait jam ais arrachć au ministćre dc la Guerre du Reich. A cc sujet — h propos de la cocception mythifiće du tra-vail du Programme de Cotha, Marx dit de faęoa brćve ct sć-che i
« Que Phomtne qu: r.e possćde d'autrc prcprićtć que sa for-ce dc travai! est oblige d*2tre, dar.s toutes les formes de societć et de cKilisation, I’cscbve des autres ho mm es qui se sont ren-dus proprićtaires des conditions de travail matćriellcs. »
Mant en dćduit b rćcessitć ćconomique et !e droit po!itiquc des travailleurs de quittcr Pusine. dc s'armcr et de combattre PEtat. Et c*est uniquement pour cela que nous nous rćfćrons i Mant, parce qu’il a justifie dc faęon sdcntITique b rćcessitć de Pinsurrection. la lutte de classes comme guerre de elasses contrę le reseau parasitaire des apparciJs rćpressifs et ideologiques, contrę PEtat bourgeots. Cette affirmation dćbile est donc unl-quement cyniąue — alors qu*2 y a plus de 4 To. c’cst-A-dirc plus d’un million dc chOmeurs en AUcmagne fćdiraie ct presąue dnq millions en Europę occidentale. Mais la rćponse social-dćmocrate A cela est cette fois*ci son propre projet fasciste de