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connus et en cxhortant le public a exprimer son approbation en allumant ses briąuets. Ce rituel remplace le "gun salute”, qui comme son nom ]‘indique, se pratiąuait & 1'aide dune arme a feu. Les proprietaircs de saLles en avaient marre de voir leurs plafonds Lransformes en passoires. Et cest la que ęa se corse. Un membre du Stone Love huniłlie en trois couplets son adversalre du Bodyguard. Celui-ci se retoume vers son groupe puis degalne un enomie revolver, arrose le DJ du Słone Love qui senloure d'une aura bjeulee. Le pistolero arrete alors le tir et se loge une balie dans la tete. Et nc dispaialt pas.

Dans la salle, c est la pantąue. Ca hurle

de partout, la musique n’arrange rien et

quelques calibres soilent des baggy shorts. les

vigiles etant a peu pres aussi efTicaces qu une

bandę de rólistes en phase de digestlon. La soiree

tourne a I ćmeute, les partisans des deux sounds

saccusant mutuellement de malversat.ions avec

le Malin, et flnissent leurs diseussions a couns

*

de flingues dans les ruelles des quartiers alen-

l.Airs.

Si les joueurs sont rapides, ils peuvent rejoindre le fameux DJ a la sortie de secours. Cest un Ange de Novalis rasta modere (il fu me niais ne lit la Bibie que toutes les semaincs). II n a jamais vu d Ange catholique (ni de Demon d aJlleurs) et il hallucine un peu. Son seul sou-venir avant 1’agression est que le tarę a regarde le producteur de Bodyguard , te avant de degainer. Le producteur. ji r ist autre que le Furfur. comme vous vous    icz deja (si. si,

ne soyez pas nu lesi ¹ a profitu du bordel ambiant pour se 1

Le ^r .    is appelleront Barria B..

sait juste •    i qu’il est un peu deprave et

organis < •> luitions au Sunset Covc. une boite ₍ de Montego Bay.

Bt    ąuoh (*<t    ■

Sełon 1 etat de leurs enquct.es, plusieurs reactions sorit envisageables.