CERTYFIKAT JĘZYKOWY UNIWERSYTETU WARSZAWSKIEGO

EGZAMIN Z JĘZYKA FRANCUSKIEGO NA POZIOMIE C1

TEST PRZYKŁADOWY

odpowiedzi na pytania do testów 1, 2, 3.1, 3.2 i 3.3 wpisuj na kartę odpowiedzi numer 1 odpowiedzi na pytania do testów 3.4, 3.5 i 4 wpisuj na kartę odpowiedzi numer 2

 Do wszystkich części egzaminu dołączone są instrukcje. Przeczytaj je uważnie zanim przystąpisz do rozwiązywania zadań testowych.

INSTRUKCJA TESTOWA

Otrzymałaś/-eś książeczkę testową, dwie karty odpowiedzi i ołówek .

ROZWIĄZUJ TESTY 1, 2, 3.1., 3.2., 3.3. (PYTANIA 1 - 60) NA KARCIE ODPOWIEDZI NUMER 1 W NASTĘPUJĄCY SPOSÓB:

• Do każdego pytania podane są trzy lub cztery odpowiedzi do wyboru, oznaczone literami A, B, C, (D).

• Wybieraj za każdym razem jedną prawidłową odpowiedź .

• Możesz wykorzystywać książeczkę testową do zaznaczania odpowiedzi „na brudno”.

• Na kartę odpowiedzi nanieś ostateczną wersję, zaznaczając dokładnie wybraną literę

.

ROZWIĄZUJ TESTY 3.4, 3.5. (PYTANIA 61 - 90) ORAZ TEST 4 NA KARCIE

ODPOWIEDZI NUMER 2 W NASTĘPUJĄCY SPOSÓB:

• Wszystkie odpowiedzi wpisuj DŁUGOPISEM na osobnej karcie odpowiedzi.

• Niniejszą książeczkę testową możesz wykorzystać do rozwiązywania testu „na brudno”.

• Test 4 możesz napisać „na brudno” na odwrocie stron książeczki testowej.

• Pisz wyraźnie! Nieczytelne pismo nie będzie brane pod uwagę!

TĘ CZĘŚĆ TESTU ROZWIĄZUJ NA KARCIE ODPOWIEDZI NR 1

TEST 1. Compréhension orale. Questions 1-10.

Ecoutez attentivement le texte qui sera présenté deux fois. Ci-dessous vous trouverez 10 questions qui s’y rattachent. Lisez-les avant d’écouter le texte. Choisissez une seule réponse parmi les trois possibilités données et cochez la bonne réponse sur la feuille des réponses n^o 1.

Mondialisation : entre la peur et l’espoir

1. La Communauté européenne est née au milieu du XX^e siècle pour

a) relever un défi énergétique.

b) faire face aux changements économiques dus à la mondialisation.

c) garantir la paix et la liberté sur le continent européen.

2. D’après l’enquête, l’Europe future

a) devra se rabattre sur des sources d’énergie renouvelables.

b) aura deux langues dominantes – l’anglais et le français.

c) n’acceptera pas l’adhésion de la Turquie mais incorporera la Russie.

3. L’enquête sur l’attitude des Européens envers la mondialisation a été menée dans

a) 10 pays.

b) 9 pays.

c) 8 pays.

4. Les dirigeants européens pensent que les pays membres devraient

a) être en compétition pour rendre l’Europe plus forte.

b) coopérer afin d’éviter les effets négatifs de la mondialisation.

c) unir les forces pour lutter contre l’accroissement des échanges dans le monde.

5. Face au phénomène de la mondialisation, les Français se sentent

a) rassurés par la protection de leurs voisins européens.

b) menacés par les changements économiques et sociaux.

c) optimistes quant à l’évolution du phénomène de l’immigration.

6. L’Allemagne

a) accepte les changements en cours tout en restant consciente des risques à courir.

b) se méfie des changements en cours parce qu’elle vit une période difficile.

c) se montre pleinement rassurée parce qu’elle vient de sortir d’une crise économique.

7. En Grande Bretagne

a) la population est plutôt enthousiaste à l’égard de l’internalisation des marchés.

b) le gouvernement se montre réticent à tout changement économique ou social.

c) le citoyen moyen craint les conséquences de la mondialisation.

8. Les pays qui se montrent les plus ouverts à la mondialisation, ce sont:

a) la Pologne et l’Espagne.

b) la Suède et l’Estonie.

c) l’Espagne et l’Italie.

9. Ce qui surprend dans les résultats de l’enquête, c’est

a) le besoin de protection ressenti par les Français.

b) l’espoir éveillé par la mondialisation dans la plupart des pays européens.

c) une attitude nuancée, teintée de méfiance à l’égard de la mondialisation dans plusieurs pays européens.

10. L’internationalisation des marchés aura peu de conséquences négatives pour l’Europe à condition de/d’

a) renforcer l’union des pays européens.

b) arrêter l’immigration dans les pays européens.

c) protéger l’environnement dans les pays européens.

TEST 2. Compréhension écrite. Questions 11-20.

Lisez attentivement le texte et répondez aux questions en cochant une des trois possibilités. Les réponses doivent être marquées sur la feuille des réponses n^o 1.

Achetez, vous êtes surveillé…

Imaginez. Vous êtes dans la cabine d'essayage de votre magasin favori. Alors que vous regardez dans le miroir l'effet produit par votre nouveau pantalon, une vidéo en surimpression vous suggère le chemisier ou le pull qui pourrait aller avec. Finalement, vous optez pour le pull. En saisissant le vêtement dans le rayon, un nouvel écran s'active : il vous indique prix, tailles disponibles et conseils d'entretien. Mais vous les regardez d'un œil distrait. Vous savez que le pull est muni d'une puce qui sera automatiquement lue par votre machine à laver. Celle-ci programmera sans votre aide la température et l'essorage adapté.

Cette scène futuriste n'aura pas lieu avant une bonne dizaine d'années. Mais d'ores et déjà, la marque de luxe Prada a testé à New York un miroir intelligent dans une cabine d'essayage. Le fabricant italien d'électroménager Merloni a, lui, dans ses cartons un prototype de lave-linge interactif. Car ce qui peut aujourd'hui passer pour de la science-fiction est à portée de main sur un plan technologique grâce à l’identification par radiofréquence (RFID). Alors que le commerce n’a pas connu d’évolution majeure depuis l’apparition de l’hypermarché dans les années 60, cette technologie va profondément bouleverser la distribution des vingt prochaines années.

Il s’agit de coller ou d’incorporer dans le packaging une puce électronique dotée d’une antenne. Cette "radio étiquette" permet de stocker des données à distance. Non seulement le produit devient "intelligent", mais également unique, la puce RFID étant une sorte d’AND électronique. Les distributeurs utilisent déjà largement ce petit objet électronique pour mieux gérer les rayons, suivre les commandes... Mais l'étape la plus spectaculaire pour le client va consister à faire entrer cette technologie dans le magasin. Aux Etats-Unis, deux chaînes s'apprêtent à tester un chariot intelligent qui oriente le consommateur dans des rayons truffés de balises RFID. Le client n'aura qu'à saisir à l'écran les produits désirés. Le groupe allemand Metro joue déjà les précurseurs dans son hypermarché de Rheinsberg, une petite cité rhénane de 30 000 habitants.

Depuis 2003, une cinquantaine d'innovations sont testées grandeur nature. Grâce aux puces RFID apposées sur chaque article, les salariés du magasin sont instantanément alertés par un détecteur lorsqu'un objet est mal rangé ou qu'un rayon se vide. Les ingénieurs planchent déjà pour qu'à l'avenir ces étagères intelligentes soient reliées à de petits écrans publicitaires qui s'animent, face au consommateur, dès que celui-ci retire un produit du rayon.

Dans l'espace fruits et légumes, une balance intelligente est capable d'identifier instantanément le légume choisi. Après quelques secondes, l'image du produit apparaît sur un écran qu'il faut juste toucher pour obtenir l'étiquette autocollante. Un assistant personnel de shopping (PSA), mini-ordinateur que l'on accroche à son chariot dès l'entrée du magasin, scanne automatiquement les produits et évalue le prix des courses. En fin de parcours, la liste des achats peut être transférée électroniquement à la caisse et le client paye sans ressortir les marchandises du chariot. […]

Une autre innovation risque de changer le commerce de demain : le développement des logiciels de reconnaissance. A l'aide de caméras elles-mêmes placées à des endroits stratégiques (vitrine, allées du magasin), ces programmes informatiques permettent de détecter, par exemple, combien de femmes de 25 à 35 ans passent à tel endroit et combien de temps elles y restent. Des informations précieuses pour les commerçants qui adapteront leurs offres, leurs promotions en fonction des flux de clientèle. Plus futuriste, mais encore plus intrusif, ces systèmes qui traquent le regard et permettent de décrypter la façon dont le client scrute tel rayon afin d'adapter en conséquence l'agencement des magasins ou le packaging.

Ces innovations sont vues par les grands magasins comme des outils pour être plus réactifs face à l'inéluctable essor du commerce en ligne. "Internet habitue le consommateur à ne plus attendre, à disposer d'un choix immédiat et d'informations exhaustives, insiste Philippe Lemoine, PDG de Laser, filiale des Galeries Lafayette. S'il ne retrouve pas ces fonctionnalités dans un magasin, cela va devenir vite insupportable. Les nouvelles technologies poussent les lieux de vente physiques à se redéfinir."

Pour autant, cette révolution technologique pose la question du respect de la vie privée. Les fabricants de logiciels promettent la main sur le cœur que, par exemple, les bandes vidéo servant au décryptage du comportement du consommateur seront détruites sur-le-champ. Les puces RFID permettent, elles, de stocker un grand nombre d'informations et peuvent, par définition, être lues à distance. Pour M. Lemoine, "cette puce ne sera acceptée que si le client en retire une utilisation positive. Il faut trouver le bon équilibre entre la volonté des entreprises de connaître leurs clients et le besoin d'anonymat des personnes."

En voulant aller trop vite en besogne, Metro a provoqué une levée de boucliers de la part des associations de consommateurs qui s'inquiétaient de l'utilisation que le distributeur pourrait faire des informations contenues dans les puces. Le groupe allemand a dû s'engager à les désactiver une fois la caisse passée, mais le mal est fait : désormais la RFID est autant vécue comme une menace que comme une opportunité.

11. Le texte parle

a) des innovations technologiques censées entrer dans le commerce.

b) des futures innovations technologiques dans le commerce en ligne.

c) du développement technologique dans les grands espaces depuis les années 60.

12. L’identification par radiofréquence est possible grâce à

a) une carte à puce électronique.

b) un petit poste de radio doté d’une antenne.

c) une puce émettant des ondes radiophoniques.

13. L’identification par radiofréquence permet de

a) protéger les produits de luxe.

b) réduire le nombre du personnel.

c) reconnaître à distance un produit parmi d’autres.

14. Les marchandises “intelligentes” sont munies

a) d’ écrans publicitaires.

b) d’une sorte de carte d’identité.

c) d’un micro-ordinateur.

15. Dans une quinzaine d’années

a) vous n’aurez plus besoin de décharger votre chariot à la caisse.

b) votre chariot pèsera tous les produits et calculera leur prix.

c) un assistant personnel de shopping poussera le chariot à votre place.

16. Grâce aux logiciels de reconnaissance

a) les consommateurs seront tenus au courant des nouvelles promotions.

b) les consommateurs seront guidés dans les rayons.

c) les consommateurs feront l’objet d’une analyse de marketing.

17. Les caméras dans les magasins serviront à enregistrer

a) les changements dans l’agencement des magasins.

b) la réaction des femmes à de nouveaux produits en promotion.

c) le comportement des clients à proximité d’un produit donné.

18. Les logiciels de reconnaissance

a) font l’unanimité quant à la sécurité de leur utilisation pour les clients.

b) font l’objet de critiques de la part des associations de consommateurs.

c) font l’objet de polémique entre les commerçants.

19. Les innovations technologiques

a) répondront à l’accroissement des exigences de fonctionnalité.

b) renforceront l’inéluctable prédominance des grands magasins sur le commerce en ligne.

c) rendront la vie des consommateurs insupportable.

20. L’expérience allemande

a) a convaincu les consommateurs de l’indéniable fonctionnalité des puces RFID.

b) a mis en garde les consommateurs contre de potentiels abus liés à l’utilisation des puces RFID.

c) a découragé les distributeurs à cause du besoin de stocker un grand nombre d’informations.

TEST 3. Formes et structures de langue dans la communication.

3.1. Questions 21-50. Lisez attentivement les phrases ci-dessous et complétez-les en choisissant une des quatre possibilités (a, b, c, d). Marquez vos réponses sur la feuille des réponses n^o 1 en fonction du numéro donné entre parenthèses.

Il est (21)[a) résolu ; b) révolu ; c) revu ; d) revenu] le temps des antisèches (22)[a)écrivent ; b) écrivant ; c) écrites ; d) écrits] sur la paume de la main ou sur un papier enroulé et inséré dans (23)[a) une ; b) un ; c) le ; d) leur] manche. L'époque de la tricherie numérique fait (24)[a) son ; b) leur ; c) sa ; d) leurs] apparition dans les classes. Les iPods, les téléphones avec appareil photo et les SMS, et Internet (25)[a) rendus ; b) rendant ; c) ; rendu d) rendent] la fraude plus facile et plus courante chez les étudiants de (26)[a) tous ; b) tout ; c) toute ; d) toutes] âge.

Dans une étude de 2005 réalisée par le Center for Academic Integrity (27)[a) adapté ; b) affligé ; c) accollé ; d) affilié] à l'Université de Duke, (28)[a) elle ; b) on ; c) il ; d) ça] apparaît que 70% des étudiants interrogés dans 60 universités ont admis avoir triché; il (29)[a) y ; b) l’ ; c) en ; d) un] est de même pour plus de 70% des élèves interrogés dans 61 lycées.

Voici quelques méthodes high tech utilisées pour tricher dans les écoles américaines.

Rédiger un dossier ou un exposé n'a (30)[a) plus ; b) guère ; c) pas ; d) jamais] été aussi facile. Tapez juste un sujet dans un moteur de recherche, coupez et collez l'information de sources (31)[a) diverses ; b) divers ; c) diversifiés ; d) divergentes], et transformez cela (32)[a) dans ; b) en ; c) à ; d) vers] une copie (33)[a) dénuée ; b) dénaturée ; c) démuni ; d) dépourvu] de pensée originale ou vide de citations. La moitié (34)[a) de ; b) les ; c) des ; d) dont] lycéens et 40% des étudiants ont reconnu avoir triché grâce à Internet, d'après l'étude 2005 du Centre pour l'intégrité académique, (35)[a) pour ; b) contre ; c) envers ; d) sur] 10% en 1999.

Pour permettre aux écoles de (36)[a) surveillé b) surveillés c) suivre d) surveiller] les étudiants, iParadigms, basé à Oakland en Californie, a introduit, en 2000, un logiciel (37)[a) qu’; b) qui ; c) dont ; d) d’] analyse les copies des étudiants et (38)[a) les ; b) en ; c) ses ; d) se] compare avec une base de données en ligne de copies ou autres références.

L'objet le plus discret pour tricher est (39)[a) ce ; b) celle ; c) celui ; d) ceux] que la plupart des étudiants ont en classe: le téléphone mobile. Il y a quelques années, un professeur de l'Université du Nevada, Las Vegas a surpris des élèves (40)[a) utilisent ; b) utiliseront ; c) utilisaient ; d) utilisant] des téléphones portables pour prendre des photos de sujet d'examen. Ensuite la photo (41)[a) est ; b) a ; c) était ; d) avait] envoyée à un complice à l'extérieur qui cherchait les réponses et les renvoyait par SMS.

La plupart des enseignants savent que l'iPod est un objet de divertissement. On devrait (42)[a) pourvu ; b) pourtant ; c) autant ; d) partant] le considérer désormais comme un véritable outil de fraude. Des lycéens autorisés (43)[a) d’ ; b) pour ; c) à ; d) en] écouter leur musique sur leur lecteur numérique (44)[a) durant ; b) durent ; c) durs ; d) durés] des tests ont été surpris en train de tricher. Ils avaient (45)[a) déguisé ; b) déchiffré ; c) découvert ; d) déniché] les réponses d'examens en chanson, ou allaient chercher les réponses dans la section bloc-notes des iPods, d'après une déclaration anonyme (46)[a) fait ; b) font ; c) faisant ; d) faite] dans Yahoo Answers. (47)[a) Faute ; b) Signe ; c) Question ; d) Fait] des temps, une compagnie appelée iPREPpress vend une gamme élargie de guides d'étude qui peuvent être téléchargés sur un iPod.

Les téléphones portables et les iPods peuvent permettre de tricher lors des tests d'anglais ou de sociologie, mais ne peuvent pas (48)[a) dénouer ; b) effacer c) résoudre ; d) comprendre] des problèmes plus complexes. C'est pour cela que lors des examens de mathématiques et de science, certains étudiants préprogramment leur assistant numérique personnel ou tapent sur leur Blackberry ou Palm pour une recherche Web.

La professeur de psychologie Jean Underwood, de l'Université Nottingham Trent à Nottingham en Angleterre, (49)[a) apprend ; b) surprend ; c) vend ; d) prend] des mesures radicales pour (50) [a) couper ; b) contrer ; c) conter ; d) couler] le plagiat avec les PDA.

3.2. Questions 51-60. Lisez les phrases ci-dessous. Parmi les quatre éléments soulignés choisissez-en UN qui est INCORRECT dans cette phrase. Marquez votre réponse sur la feuille des réponses n^o 1 en fonction du numéro de la phrase.

51. Peu importe finalement qu’on a) a ou non un ancêtre dans le village, il suffit qu’on se raconte une histoire, que b) l’on s’établisse un lien avec le vigneron ou le maréchal c) ferrant autrefois propriétaire des lieux, ce d) dont on pourra s’assurer, avec quelques éléments biographiques du personnage, en consultant les archives et les registres paroissiaux.

52. a) Jusque dans les années soixante-dix, les campagnes sont encore habitées, même s’il b) s’agisse d’une population vieillissante qui joue un rôle très important car c) les enfants nés dans les villes après la guerre d) auront tous une grand-mère, une tante ou une marraine pour les accueillir pendant les vacances.

53. Les entreprises a) obsédées par l’innovation peuvent aussi tomber dans un autre piège : celui qui consiste b) à refuser de produire des produits parfaitement c) aboutis sous prétexte d’en trouver de d) nouveau.

54. Certains produits, en particulier a) ceux qui sont véritablement révolutionnaires, b) nécessitent un minimum de temps avant de se voir c) adopter par la masse d) des consommateurs.

55. Si vous êtes toujours en a) quête de nouveauté, les produits solidement b) établis – quels que soient c) son utilité ou l’usage que vous en fassiez – vous paraîtront bien ternes par comparaison, et vous conviendrez qu’ils d) ont besoin d’une sérieuse mise à niveau.

56. La raison pour a) quelle nous convoitons certains objets b) plutôt que d’autres n’a c) que peu à voir avec le fait qu’ils d) soient innovants.

57. La famille, comme la société, a) cesse d’être la condition nécessaire de la survie pour devenir le lieu présumé b) du bonheur, ce qui génère une inflation des attentes à c) leur égard, d) modifiant radicalement les relations entre conjoints et entre parents et enfants.

58. Jusqu'à une époque récente, l'amour a) été un sentiment rare ou inexistant dans la vie de bien b) des individus largement c) subordonnés aux contrôles communautaires ou aux stratégies familiales, aujourd'hui l'expérience amoureuse est d) devenue un véritable impératif existentiel.

59. Deux heures plus tard, le jardinier-bricoleur s'est lancé dans des travaux qui n' a) étaient pas planifiés du tout et qui l' b) ont fait rester au lit, s'il c) avait seulement songé une seconde à ce qui l' d) attendait.

60. a) Avec les SMS, il n’y a plus besoin de regarder b) par-dessus l’épaule d’un “intello” alors que vous c) pouvez rapidement et discrètement envoyer les questions à un complice extérieur qui d) renvoyait ensuite les réponses par le même canal.

TĘ CZĘŚĆ TESTU ROZWIĄZUJ NA KARCIE ODPOWIEDZI NR 2.

3.3. Questions 61-80. Lisez attentivement le texte ci-contre et complétez-le avec un seul mot à chaque fois. Ecrivez vos réponses sur la feuille des réponses n^o 2 en fonction du numéro du mot.

Les rêves de nos enfants

Ils sont 3,7 millions, ils aiment Harry Potter et Titeuf, les bonbons (61) __________ couleurs fluo. Ils (62) __________ du rap, du hip-hop et des chanteurs de la „Star Ac’“. Ils jouent (63) __________ la poupée Bratz et sont accros (64) __________ jeux vidéo. Ils ont entre 6 et 10 ans. Ils (65) __________ leurs coudes sur la table et ne sont plus privés (66) __________ dessert. Ce ne sont plus des petits, pas (67) __________ des ados, mais déjà des cibles de marketing.

(68) __________ quoi rêvent ces enfants? De quoi ont-ils peur? Qu’est-ce qui les (69) __________ heureux? Et, finalement, sont-ils si différents de leurs parents au (70) __________ âge? „Le monde bouge, la société d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec (71) __________ d’il y a trente ans, rappelle le sociologue François de Singly. Pourquoi les enfants, eux, n’ (72) __________-ils pas changé?” Pour répondre à ces questions, une enquête exclusive, ciblée sur (73) __________ 6-10 ans, habitant (74) __________ toute la France et issus de tous les milieux sociaux, (75) __________ été menée. Les résultats sont surprenants et ces paroles d’enfants riches (76) ______________ enseignement.

Lorsqu’on demande à ces graines d’adulte de faire trois (77) __________, ils répondent, en premier lieu, être riches! (78) __________ ce souhait de richesse se cache l’anxiété provoquée par les tracas financiers des parents. “Il ne faut pas interpréter cette réponse avec notre regard d’ (79) __________ , prévient le psychiatre Serge Tisseron. Pour les enfants, être riche, c’est avant tout être (80) __________ du risque de la pauvreté, se sentir en sécurité.

3.4. Questions 81-90. Dans le texte suivant barrez les 10 mots intrus. Ecrivez-les sur la feuille des réponses n^o 2.

La marque de cosmétiques Clarins vient de se lancer "en première mondiale" "Expertise 3P (E3p)". Vaporisée sur le visage cette "brume écran", ce qui ressemble à de l'eau - vendue 40 euros pour les 100 ml ! - est censée de nous protéger des agressions produites par "les ondes électromagnétiques artificielles" émises néfastes par les téléphones portables, bornes Wi-Fi, fours à micro-ondes ou radio-réveil. La publicité quand affirme que le produit permet de "lutter contre le vieillissement accéléré de la peau" et préserve notre organisme pénétrer des pollutions modernes.

Ce produit parie partir sur une peur rampante. Depuis deux ou trois ans, prochainement, la polémique va crescendo dans les milieux scientifiques, à propos du danger des ondes électromagnétiques pour la santé, notamment celles munies des téléphones portables (les ondes pulsées) que l'on soupçonne de briser l'ADN et de provoquer migraines, cancers et tumeurs au cerveau.

TEST 4. Production écrite.

Quels sont les changements susceptibles d’affecter la vie des sociétés contemporaines ?

Discutez la question en 250 mots environ.

Rédigez votre opinion sur la feuille des réponses n^o 2.

JĘZYK FRANCUSKI - POZIOM C 1

TEKST PRZYKŁADOWY

TEKST DO SŁUCHANIA

Mondialisation : entre la peur et l'espoir

La Communauté européenne a 50 ans. Elle est heureuse d'être en vie et déterminée à le rester. Mais existera-t-elle encore dans cinquante ans ? Oui, ont répondu la plupart des Européens interrogés par l'Institut Harris Interactive pour l'International Herald Tribune et France 24. Pour une majorité d'entre eux, cette Europe future s'étendra non seulement à la Turquie, mais aussi à la Russie. Elle aura l'euro pour monnaie commune, le vent et le soleil pour principales sources d'énergie, l'anglais pour langue dominante. Né au milieu du XX^e siècle pour maintenir la paix et défendre la liberté sur un continent endeuillé par les guerres, le projet européen s'est trouvé, au début du XXI^e siècle, une autre justification : relever le défi de la mondialisation.

"Une Europe plus forte pour une mondialisation réussie", tel est le voeu formulé à Berlin, à l'occasion du 50^e anniversaire des traités de Rome, par le président de la Commission, José Manuel Barroso. Les dirigeants européens ont fait de cette ambition leur mot d'ordre. Dans un monde où l'accroissement des échanges a rendu la compétition plus difficile, l'Europe, pensent-ils, ne pourra lutter avec succès qu'en unissant ses forces. Ce n'est qu'à cette condition qu'elle tirera profit de l'internationalisation des marchés, au lieu de n'en subir que les conséquences négatives. Pourtant, d'un pays à l'autre, la perception du phénomène diffère.

Une enquête menée par l'Institut suédois Kairos Future dans huit Etats de l'Union européenne à l'initiative de la Fondation pour l'innovation politique, sous la direction d'Elvire Fabry, montre ainsi que la mondialisation apparaît aux uns plutôt comme une menace et aux autres plutôt comme une chance. La France se singularise, selon l'étude, par un "syndrome de pessimisme socio-économique", qui la conduit à considérer avec crainte toutes les évolutions en cours. Les Français ont peur de la concurrence mondiale, des délocalisations, de l'immigration. Ils demandent plus de protection. Cette forte inquiétude n'est pas une surprise. Ce qui surprend davantage, c'est qu'elle est en partie partagée par leurs voisins européens.

L'Allemagne a retrouvé confiance après une période difficile. Cela ne veut pas dire qu'elle soit pleinement rassurée. Elle est consciente, à parts égales, des risques et des atouts de la mondialisation. Mais le débat y est dépassionné. Il traduit la recherche d'un "juste milieu". La Grande-Bretagne, apparemment, n'a pas d'états d'âme : elle appelle à épouser le mouvement sans hésiter. Cependant, à en croire les enquêteurs, cette vision officielle ne correspond pas aux sentiments de la population, qui montre des signes d'angoisse.

Les Espagnols et les Italiens ne font pas preuve, non plus, de beaucoup d'enthousiasme. L'immigration, en particulier, les inquiète. Mais ils sont réalistes, voire fatalistes, face à une évolution qu'ils ne maîtrisent pas. Ils sont nombreux, en Espagne plus encore qu'en Italie, à en mesurer les effets négatifs. Les Polonais sont comme les Espagnols : ils perçoivent avec plus d'acuité que d'autres les menaces de la mondialisation tout en appréciant les chances qu'elle leur donne.

Des huit pays de l'échantillon, seules l'Estonie et la Suède, deux nations marchandes habituées à l'ouverture, accueillent avec une relative sérénité les changements qui affectent l'économie internationale. Ce sont les atteintes à l'environnement qui les préoccupent le plus mais elles s'adaptent avec un certain optimisme à la nouvelle donne. Face à la mondialisation, beaucoup d'Européens doutent ou regimbent. Qu'ils soient particulièrement inquiets, comme les Français, ou plus confiants, comme certains de leurs voisins, ils attendent de l'Union européenne, d'après l'enquête, qu'elle les aide à affronter l'avenir.

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