francuskiČ

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CERTYFIKAT JĘZYKOWY UNIWERSYTETU WARSZAWSKIEGO

EGZAMIN Z JĘZYKA FRANCUSKIEGO NA POZIOMIE B2

TEST PRZYKƁADOWY


  • odpowiedzi na pytania do testĂłw 1, 2, 3.1, 3.2 i 3.3 wpisuj na kartę odpowiedzi numer 1

  • odpowiedzi na pytania do testĂłw 3.4, 3.5 i 4 wpisuj na kartę odpowiedzi

numer 2


 Do wszystkich częƛci egzaminu doƂączone są instrukcje. Przeczytaj je uwaĆŒnie zanim przystąpisz do rozwiązywania zadaƄ testowych.


INSTRUKCJA TESTOWA

OtrzymaƂaƛ/-eƛ ksiÄ…ĆŒeczkę testową, dwie karty odpowiedzi i oƂówek .

ROZWIĄZUJ TESTY 1, 2, 3.1., 3.2., 3.3. (PYTANIA 1 - 60) NA KARCIE ODPOWIEDZI

NUMER 1 W NASTĘPUJĄCY SPOSÓB:


ROZWIĄZUJ TESTY 3.4, 3.5. (PYTANIA 61 - 90) ORAZ TEST 4 NA KARCIE

ODPOWIEDZI NUMER 2 W NASTĘPUJĄCY SPOSÓB:

TĘ CZĘƚĆ TESTU ROZWIĄZUJ NA KARCIE ODPOWIEDZI NR 1.


TEST 1. Rozumienie ze sƂuchu. Pytania 1-10

UsƂyszysz teraz dwukrotnie jeden tekst. PoniĆŒej znajdziesz 10 pytaƄ dotyczących tego tekstu. Przed jego wysƂuchaniem zapoznaj się z pytaniami. Następnie do kaĆŒdego pytania wybierz jedną z trzech podanych moĆŒliwoƛci i zaznacz na karcie odpowiedzi nr 1 odpowiednią literę obok wƂaƛciwego numeru pytania wybierając wƂaƛciwą odpowiedĆș spoƛrĂłd trzech podanych.


Ecoutez attentivement le texte qui sera prĂ©sentĂ© deux fois. Ci-dessous vous trouverez 10 questions qui s’y rattachent. Lisez-les avant d’écouter le texte. Choisissez une seule rĂ©ponse parmi les trois possibilitĂ©s donnĂ©es et cochez la bonne rĂ©ponse sur la feuille des rĂ©ponses no 1.


  1. Ce texte est

  1. une conférence adressée aux étudiants.

  2. un discours du président Jacques Chirac.

  3. un discours d’ouverture d’une confĂ©rence internationale.


  1. Il est question d’une rĂ©union Ă  caractĂšre

  1. scientifique.

  2. politique.

  3. culturel.


  1. Le fait le plus alarmant dont parle le conférencier est

  1. la croissance démographique.

  2. les changements climatiques.

  3. une disparition accélérée des tigres en Afrique.


  1. La protection de l’environnement est une question à traiter

  1. au niveau international.

  2. au niveau local et régional.

  3. Ă  tous les niveaux Ă  la fois.


  1. Quant aux solutions, le confĂ©rencier met l’accent sur l’importance

  1. de l’activitĂ© des habitants des campagnes.

  2. des initiatives régionales.

  3. de la responsabilité des habitants des villes.


  1. Dans les villes, changer de comportement signifie surtout

  1. réorganiser le transport urbain.

  2. éteindre les lumiÚres dans les appartements.

  3. étendre les espaces verts.


  1. Aujourd’hui

  1. il n’y a pas assez d’organisations s’occupant de l’environnement.

  2. les différentes organisations ne fonctionnent pas bien.

  3. l’activitĂ© de ces organisations manque de coordination.


  1. Selon le confĂ©rencier le projet de crĂ©er une agence de l’ONU pour la protection de l’environnement

  1. ne devrait pas rencontrer d’opposition sur la scùne internationale.

  2. va rencontrer des objections auxquelles il n’y a pas de rĂ©ponse.

  3. pourrait rencontrer des objections et des interrogations légitimes.


  1. Selon le confĂ©rencier, l’objectif de la confĂ©rence

  1. sera facile Ă  atteindre dans un avenir proche.

  2. est suffisamment important pour se mobiliser et mener un long combat.

  3. est trop ambitieux pour le moment.


  1. Cette intervention pourrait ĂȘtre intitulĂ©e

  1. « Pour la rĂ©forme de l’ONU Â»

  2. « Nous sommes tous des citoyens de la terre Â»

  3. « La menace du rĂ©chauffement climatique »




TEST 2. Rozumienie tekstu pisanego. Pytania 11-20

Przeczytaj uwaĆŒnie poniĆŒszy tekst, a następnie odpowiedz na pytania wybierając wƂaƛciwą odpowiedĆș spoƛrĂłd trzech podanych moĆŒliwoƛci. SwĂłj wybĂłr zaznacz na karcie odpowiedzi nr 1.


Lisez attentivement le texte ci-dessous et rĂ©pondez aux questions en cochant une des trois possibilitĂ©s. Les rĂ©ponses doivent ĂȘtre marquĂ©es sur la feuille des rĂ©ponses no 1.


Alain Braban, prĂ©sident de l’AFPS (Association française des psychologues scolaires)


Les gens me demandent quelquefois comment on devient psychologue scolaire. Mais il faut dĂ©crire d’abord le cadre de notre travail.  Les psychologues scolaires interviennent en maternelle et en primaire. Ce sont ensuite les conseillers d'orientation scolaires qui prennent le relais dans le secondaire. Il nous arrive d’ailleurs de transmettre les informations sur un enfant Ă  nos confrĂšres des lycĂ©es.

Devenir psychologue scolaire n’est pas trĂšs simple, le parcours peut ĂȘtre long, il est trĂšs diffĂ©rent d’un collĂšgue Ă  l’autre. D’abord il est indispensable d'ĂȘtre enseignant dans le premier degrĂ© et ĂȘtre titulaire d'au moins une licence de psychologie. Il faut ensuite postuler auprĂšs de son acadĂ©mie. Si votre demande est retenue, vous suivez une formation d'un an Ă  l'universitĂ© avant de passer le diplĂŽme de psychologue scolaire.

En revanche, si vous ĂȘtes dĂ©jĂ  enseignant et possesseur d'un DESS de psychologie, vous aurez une annĂ©e probatoire avant d'ĂȘtre titularisĂ©. Nous n'avons pas de statut propre, nous avons un statut d'enseignant aux yeux du MinistĂšre de l'Education nationale.

Le problÚme, c'est qu'il y a aujourd'hui de moins en moins d'enseignants qui partent en stage psychologique car il y a de moins en moins de propositions de stages. Résultat, il y a aujourd'hui 2800 psychologues scolaires pour 3200 postes existants. Cela engendre également de grosses disparités entre les secteurs supervisés, puisque vous pouvez avoir de 1000 à 3000 enfants à suivre !

Quelques mots sur le mode d'intervenir auprÚs de l'enfant. Nous intervenons la plupart du temps à la demande de l'enseignant. Mais il arrive aussi que ce soit à la demande de la famille, car notre métier est plus connu qu'avant, les gens hésitent moins à se faire aider, d'autant que la prise en charge que nous offrons est gratuite puisque nous sommes des fonctionnaires.

Mais les psychologues scolaires ne font pas de thérapies. Notre premiÚre fonction est le dépistage. Nous tùchons de repérer les élÚves qui connaissent des difficultés, avant que celles-ci ne deviennent réellement handicapantes. Nous mettons ensuite en place des suivis, des accompagnements qui n'excÚdent généralement pas trois mois. Notre rÎle est plutÎt d'amener les familles à discuter et à trouver des solutions pour des difficultés passagÚres.

Quand les problĂšmes sont plus lourds, nous leur expliquons que tout ne peut pas se rĂ©gler dans le cadre de l'Ă©cole et nous les orientons sur des centres ou des services de pĂ©dopsychiatrie. Les procĂ©dures sont trĂšs diverses mais elle ne sont pas lourdes et il ne faut pas se dĂ©courager. C’est ce que nous disons toujours aux parents qui cherchent, dans la plupart des cas, les meilleures solutions pour leurs enfants.

Les façons de travailler avec les enfants dans le cadre de l’école sont Ă©galement trĂšs diverses. Il nous four montrer le plus de souplesse possible.

Si j'interviens Ă  la demande de l'enseignant, j’essaye de mettre les parents en position de demandeurs, afin qu'ils soient totalement partie prenante dans le suivi de leur enfant. C'est-Ă -dire que l'instituteur les alerte sur le comportement de l'enfant, sur son intention de faire appel au psychologue scolaire, et leur propose d'enclencher la procĂ©dure ensemble.

Et quand je reçois l'enfant pour la premiÚre fois, c'est toujours en compagnie de ses parents... quand c'est possible. Cela me permet d'avoir une vision la plus large possible de la situation. AprÚs ce premier entretien, j'attends l'accord des parents pour faire un bilan. Je revois alors l'enfant seul deux ou trois fois, puis je le reçois à nouveau en famille.

Et je reste bien sûr en contact permanent avec l'enseignant. Il est important que toutes les informations transitent bien, car c'est cette transparence qui permettra à l'enfant de se sentir soutenu et qui lui donnera la possibilité d'avancer.

Mais ne pensez pas que tout se passe toujours bien. C’est une profession passionnante mais bien difficile quelquefois.




11. Le psychologue scolaire

a) travaille avec le mĂȘme public que le conseiller d’orientation.

b) enseigne en maternelle.

c) travaille avec les enfants de 3  Ă  10 ans environ.


12. Le psychologue scolaire

a) doit ĂȘtre d’abord enseignant.

b) n’a pas besoin de formation spĂ©cialisĂ©e.

c) dĂ©pend du MinistĂšre de l’IntĂ©rieur.


13. En ce moment,

a) tous les postes de psychologue scolaire sont pourvus.

b) l’Education nationale manque de psychologues scolaires.

c) l’Education offre beaucoup de stages pour psychologues scolaires.


14. Le plus souvent, en cas de problĂšme, qui contacte le psychologue scolaire ?

a) un des parents.

b) l’enseignant.

c) l’enfant lui-mĂȘme.



15. Les soins psychologiques Ă  l’école

a) sont trĂšs chers.

b) ne sont pas payants.

c) sont financés par les parents.


16. Le psychologue scolaire

a) s’occupe plutĂŽt des difficultĂ©s passagĂšres chez l’élĂšve.

b) peut s’occuper d’une thĂ©rapie longue.

c) s’occupe gĂ©nĂ©ralement seulement des cas graves.


17. Le travail du psychologue scolaire avec l’enfant

a) s’achùve au bout d’un mois.

b) peut ĂȘtre poursuivi en dehors de l’école.

c) se poursuit systĂ©matiquement avec les conseillers d’orientation.


18. L’intervention du psychologue scolaire

a) est centrĂ©e seulement sur l’enfant.

b) se limite Ă  deux interventions.

c) intùgre la famille de l’enfant.


19. L’instituteur

a) ne suit pas le travail du psychologue.

b) reste en contact avec le psychologue.

c) est informé seulement du bilan final.


20. Quel titre donneriez-vous Ă  cet article ?

a) « La France a 2800 psychologues scolaires Â»

b) « Les enfants de 3 Ă  10 ans sont de plus en plus perturbĂ©s Â»

c) « Le mĂ©tier du psychologue scolaire Â»



TEST 3. Formy i struktury językowe w komunikacji

3.1. Pytania 21-30. Przeczytaj uwaĆŒnie poniĆŒsze zdania, a następnie zdecyduj, ktĂłry z podkreƛlonych elementĂłw w zdaniu (a, b, c) jest bƂędny. W kaĆŒdym zdaniu tylko jeden element jest niepoprawny. Na karcie odpowiedzi nr 1 zaznacz literę odpowiadającą wybranemu przez Ciebie elementowi obok wƂaƛciwego numeru zdania.


3.1. Questions 21-30. Lisez les phrases ci-dessous. Parmi les trois éléments soulignés choisissez-en UN, celui qui INCORRECT dans cette phrase. Marquez votre réponse sur la feuille des réponses no 1 en fonction du numéro de la phrase.


  1. A la fin de la soirée A) les trois petites filles de mon frÚre étaient B) assis à cÎté de C) leurs parents.

  2. Les scientifiques sont aujourd’hui A) persuadĂ©s que la biodiversitĂ© B) reculait moins, si les hommes C) polluaient moins la nature.

  3. Ne t’inquiùte pas, A) chacun enfant B) sera heureux si C) ses parents l’entourent de leur amour.

  4. Cette situation semble rĂ©parable, pourvu que l’humanitĂ© A) prend conscience B) du danger C) qui la menace.

  5. Il A) faisait froid B) comme en hiver, alors nous n’avons pas voulu C) de sortir.

  6. Le directeur voulait A) la rĂ©compenser pour ses rĂ©sultats, moi, je ne trouvais pas qu’elle B) la mĂ©rite alors je C) m’y suis opposĂ©.

  7. « Pourquoi, selon vous, ces objets ont-ils Ă©tĂ© A) volĂ©s ? Â» - « B) Tout simplement C) comme il n’y a aucune protection dans le musĂ©e. Â»

  8. Nous A) lui avons proposĂ© ce voyage aprĂšs que son mari B) l’ait quittĂ©e, pour C) la sortir de sa dĂ©pression.

  9. A) En 1999, j’ai vĂ©cu en Afrique une histoire extraordinaire B) dont je te raconterai ce soir, si tu C) as envie.

  10. Dites-nous GĂ©rard, qu’est-ce A) que vous a poussĂ© B) Ă  faire C) du cinĂ©ma ?



3.2. Pytania 31-50. Przeczytaj uwaĆŒnie poniĆŒszy tekst a następnie uzupeƂnij brakujące miejsca wybierając za kaĆŒdym razem jedną z trzech moĆŒliwoƛci (a, b, c) podanych pod tekstem. Na karcie odpowiedzi nr 1 zaznacz literę odpowiadającą wybranej przez Ciebie moĆŒliwoƛci obok wƂaƛciwego numeru zdania.


Questions 31-50. Lisez attentivement le texte ci-dessous et complétez-le en choisissant une des trois possibilités (a, b, c). Marquez vos réponses sur la feuille des réponses no 1 en fonction du numéro de la phrase.



Sports de l'extrĂȘme


Tu aimes les sensations fortes, le sport. Tu 31) __________de faire du saut Ă  l’élastique, du parapente, de la plongĂ©e sous-marine, de la spĂ©lĂ©o, de l’escalade
. TrĂšs bien mais attention !!

Tout d’abord, il est toujours conseillĂ© 32) __________ pratiquer ces activitĂ©s dans un cadre rĂ©glementĂ© : association ou club qui prĂ©sentent une garantie de 33) __________reconnue et un enseignement adaptĂ©. Un bon apprentissage dans des normes de sĂ©curitĂ© te permettra d’aller trĂšs loin dans ton expĂ©rimentation avec un minimum de risque.
34) __________conseils médicaux pour que tu vives pleinement ces sports :
Tu dois ĂȘtre en bonne condition physique pour pratiquer un sport de l’extrĂȘme et, surtout, pour te sortir des difficultĂ©s 35) ____________tu peux ĂȘtre exposĂ©. Ce qui veut dire : musculature entretenue, pas de surpoids excessif, 36) _________ colonne vertĂ©brale solide et de bons rĂ©flexes de tout ton corps, un cƓur Ă  toute Ă©preuve !
La pratique encadrĂ©e du sport demande toujours l’obtention d’un certificat mĂ©dical. Informe ton mĂ©decin, 37) __________ tu as des douleurs, des difficultĂ©s physiques, des maladies.
Bien connaßtre ton corps avec ses forces et faiblesses est fondamental dans ce type de sport 38) __________tu recherches 39) ____________aller au bout de 40) _____________ possibilités.
Les sports de l’extrĂȘme 41) ___________mĂȘme un peu plus : la connaissance de soi, de ses limites. Ton Ă©motivitĂ©, tes motivations personnelles. Tu dois Ă©valuer tes difficultĂ©s personnelles 42) __________pratiquer ces sports ainsi qu’aux diffĂ©rents stades de leur pratique. Te connaĂźtre, te permettra de mieux choisir ce 43) __________te convient et d’y trouver plus de plaisir.
44) ___________ tu pratiqueras ces sports, te seront donnĂ©s des conseils de prĂ©paration physique, les mesures Ă  45) _________ pendant l’exercice. Cela n’est pas fait pour te freiner dans ta pratique mais pour que tu 46) __________aller au bout de l’aventure.
47) ___________effort musculaire demande une bonne alimentation, une hydratation suffisante et permanente, des pĂ©riodes de repos adaptĂ©es Ă  tes efforts, une protection de ton corps. Une simple ampoule, un mal de tĂȘte, un refroidissement peuvent t’empĂȘcher de continuer !
48) ___________ tu te sentes OK, les conditions extĂ©rieures doivent l’ĂȘtre aussi : ton matĂ©riel, les conditions mĂ©tĂ©orologiques et gĂ©ographiques.
Un exemple : l’hyperthermie d’effort, responsable de beaucoup d’accident, est souvent la conjugaison d’une chaleur ambiante, d’un mauvais Ă©quipement, d’une hydratation insuffisante, du non-respect du rythme des efforts, d’une mauvaise rĂ©cupĂ©ration physique.
Une montĂ©e d’adrĂ©naline, des dĂ©couvertes, se surpasser : 49)___________? mais le stress, les blessures prĂ©visibles sont inutiles 50) __________ pour les masochistes !





A

B

C

veux

as décidé

désires

pour

Ă 

de

sécurité

risque

confort

Quelque

Quel que

Quelques

auxquels

auxquelles

Ă  qui

une

de

la

si

mĂȘme si

aprĂšs que

que

parce que

oĂč

pour

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Ă 

ces

tes

ses

ont besoin

demandent

cherchent

avant de

pendant

au moment de

que

qui

qu’il

Si

Lorsque

Parce que

faire

voir

prendre

pourrais

puisses

pourras

Tous

Toute

Tout

Supposons que

Proposons que

N’oublions pas que

c’est dangereux

pourquoi pas 

ce n’est pas pour toi

sauf

sans

seulement





3.3. Pytania 51-60. Przeczytaj poniĆŒsze zdania oraz trzy reakcje na nie. Wybierz tę, ktĂłra jest najbardziej odpowiednia (najbardziej stosowna do sytuacji). Na karcie odpowiedzi nr 1 zaznacz literę odpowiadającą wybranej przez Ciebie moĆŒliwoƛci obok wƂaƛciwego numeru pytania.


3.3. Questions 51-60. Lisez attentivement les phrases ci-dessous et les trois propositions de réaction communicative. Choisissez celle qui est le mieux adaptée à la situation. Marquez vos réponses sur la feuille des réponses no 1 en fonction du numéro de la phrase.


  1. Pardon Madame, voulez-vous rĂ©pondre Ă  quelques questions ?

  1. Oui, j’aime beaucoup votre NescafĂ©-Classic.

  2. Oui, mais laissez-moi tranquille.

  3. Désolée, je suis vraiment trÚs pressée ce matin.


  1. Pourriez-vous laisser vos coordonnĂ©es, Monsieur ?

  1. J’ai ma carte, la voilà.

  2. Je n’ai pas de portable.

  3. Je les ai oubliées.


  1. Ça fait 10.50 €. Et avec ça, Madame ?

  1. On m’a volĂ© mon portefeuille.

  2. Merci, ce sera tout aujourd’hui.

  3. Au revoir Monsieur.


  1. Le directeur est absent aujourd’hui, voulez-vous laisser un message ?

  1. Non merci, je rappellerai demain.

  2. Il n’est pas encore revenu !

  3. Pas de problĂšme !


  1. Et si on allait au cinĂ©ma ce soir ?

  1. Le dernier film de Woody Allen est trĂšs mauvais, paraĂźt-il.

  2. Je n’aime pas les multiplexes modernes.

  3. Moi, je veux bien et toi, Marie ?


  1. Ce n’est rien de grave, vous avez une grippe Madame.

  1. Merci docteur, je reviendrai demain.

  2. Oui, mais les antibiotiques ce n’est pas bon.

  3. Oui, mais c’est bizarre, je me suis pourtant vaccinĂ©e cette annĂ©e.


  1. Est-ce que tu vas voter aux Ă©lections lĂ©gislatives europĂ©ennes ?

  1. C’est trùs important pour notre pays.

  2. Bien évidemment.

  3. Je vote toujours pour les socialistes ou pour les Verts.


  1. L’ordinateur est en panne, que faire ?

  1. Patientez, j’ai dĂ©jĂ  appelĂ© l’informaticien.

  2. C’est l’imprimante qui ne marche pas.

  3. Le nouveau logiciel Vista est une vraie innovation.

  1. Bonjour Madame, je voudrais ouvrir un compte dans votre banque.

  1. Oui, quel genre de compte ?

  2. Oui et quel est le numĂ©ro de votre compte ?

  3. Pour ouvrir un compte postal, il faut ĂȘtre majeur.


  1. S’il vous plaĂźt, est-ce que je peux fumer ?

  1. Non, la nouvelle législation est trÚs formelle là-dessus.

  2. Non, vous savez bien que la nicotine nuit à la santé.

  3. Et vous avez des cigarettes ?



TĘ CZĘƚĆ TESTU ROZWIĄZUJ NA KARCIE ODPOWIEDZI NR 2.


3.4. Pytania 61-80. Przeczytaj uwaĆŒnie poniĆŒszy tekst i uzupeƂnij kaĆŒdą lukę jednym sƂowem. Wpisz te sƂowa na karcie odpowiedzi nr 2.


3.4. Questions 61-80. Lisez le texte ci-dessous et complétez-le avec un seul mot à chaque fois. Ecrivez vos réponses sur la feuille des réponses no 2.


  Manger n’est peut-ĂȘtre 61) __________ le plaisir le plus intense de notre vie, mais c’est bien le plus frĂ©quent. On ne 62)__________ pas l’amour trois fois 63) _________ jour de sa naissance Ă  sa mort. 64) _________ ancĂȘtres pas si lointains savaient, en se rĂ©veillant le matin, que leur prioritĂ© Ă©tait de se nourrir eux-mĂȘmes et nourrir 65) _________ enfants ; ils 66) __________ donc Ă  la recherche des aliments. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de trouver des victuailles, mais d’ 67)_________ Ă©chapper. Elles nous guettent Ă  68)_________ les coins de rues, Ă  chaque rencontre. AprĂšs le « Je pense 69) _________ je suis » de Descartes, la pensĂ©e philosophique de l’époque devient «On est perdus, on mange trop » du chanteur-poĂšte Souchon.

Et Ă  notre culpabilitĂ© de manger trop s’ajoute maintenant 70)________ de manger mal. On finit 71)__________ se demander comme dans un dessin humoristique, si porter une cuiller Ă  sa bouche ne relĂšve pas d’une conduite Ă  risque. Le doute est partout : qu’est-ce 72)__________ est bĂ©nĂ©fique ou nocif, sain ou toxique, bien ou mal ? De nĂ©cessitĂ© alimentaire, manger est devenu presque un problĂšme moral. On juge l’autre Ă  son comportement Ă  table – « Il s’est resservi de gĂąteau au chocolat
 » – ou Ă  son tour de taille. Les statistiques 73)__________ qu’en France les gros trouvent plus difficilement un emploi.

74)__________ ma part, j’ai choisi depuis des annĂ©es de me simplifier la vie en ne 75)__________ que deux fois par 76)___________. Jamais Ă  dĂ©jeuner. J’observe depuis des rĂ©actions fortes qui oscillent entre la suspicion (« il n’est pas normal Â») et l’admiration (« il est hĂ©roĂŻque ! Â»). L’idĂ©e 77)_________ je me sente simplement mieux comme ça est difficile Ă  faire passer.
Et 78)__________ c’était une forme d’épicurisme ? 79)___________ de nous peut en effet constater que les trois ou quatre premiĂšres bouchĂ©es d’un plat rĂ©ussi sont dĂ©licieuses. Au-delĂ  l’intensitĂ© des saveurs s’attĂ©nue souvent. Epicure professait que l’excĂšs d’un plaisir pouvait 80)__________ Ă  la souffrance. Manger juste nous garde en bonne santĂ© et pourrait mĂȘme faire de nous des philosophes.



3.5. Pytania 81-90. Co powiesz po francusku w następujących sytuacjach? OdpowiedĆș wpisz na kartę odpowiedzi nr 2.


3.5. Questions 81-90. Que direz-vous dans les situations suivantes ? Ecrivez vos rĂ©ponses sur la feuille des rĂ©ponses no 2.


  1. ZgƂaszasz w sklepie reklamacje (kupiony miesiąc temu aparat fotograficzny zepsuƂ się).

  2. Dajesz koledze jadącemu na rok do pracy zagranicą, jedną, najwaĆŒniejszą Twoim zdaniem, radę.

  3. Ostrzegasz koleĆŒankę, ktĂłra Twoim zdaniem nie powinna sama wieczorem przechadzać się po niebezpiecznej dzielnicy.

  4. Dziękujesz uprzejmie grupie swych kolegów za udzieloną Ci w trudnej sytuacji pomoc.

  5. Zachęcasz koleĆŒankę do przyjęcia propozycji letnich praktyk zawodowych w firmie X.

  6. Robisz koleĆŒance komplement dotyczący jej ubioru lub wyglądu zewnętrznego.

  7. Prosisz kolegę o poĆŒyczenie Ci roweru i uzasadniasz proƛbę.

  8. Telefonujesz do agencji pytając o mieszkanie dla grupy 4 studentów.

  9. Informujesz grzecznie osobę prowadzącą zebranie, ĆŒe będziesz musiaƂ/ musiaƂa wyjƛć póƂ godziny przed koƄcem z powodu jakiejƛ waĆŒnej sprawy.

  10. Ć»yczysz kolegom dobrej podrĂłĆŒy i dobrych wakacji w Kanadzie.



TEST 4. WypowiedĆș pisemna.


W nawiązaniu do tekstu na stronie 3-4 (rozumienie tekstu pisanego) napisz krĂłtkie wypracowanie (nie więcej niĆŒ 250 sƂów) na następujący temat:


En vous reportant au texte des pages 3-4 (comprĂ©hension Ă©crite) rĂ©pondez Ă  la question suivante en 250 mots environ :


Eu Ă©gard aux nouveaux dangers qui les menacent, quel devrait ĂȘtre aujourd’hui le rĂŽle du psychologue scolaire auprĂšs des enfants et des adolescents ?


Swoje wypracowanie napisz na karcie odpowiedzi nr 2.


Rédigez votre texte sur la feuille des réponses no 2.



JĘZYK FRANCUSKI - POZIOM B 2

TEST PRZYKƁADOWY


TEKST DO SƁUCHANIA


Mesdames, Messieurs,

J’ai l’honneur d’inaugurer aujourd’hui la confĂ©rence sur l’environnement, Ă  laquelle le prĂ©sident Jacques Chirac a conviĂ© les reprĂ©sentants de cinquante pays du monde entier.

L’objectif final de cette confĂ©rence est Ă  la fois simple et ambitieux : faire officiellement une proposition de crĂ©er une Organisation des nations unies pour l’environnement.

  Qui peut nier qu’il y ait urgence? AprĂšs une pĂ©riode de doute ou d’insouciance, il est incontestable pour les opinions publiques que l’homme a aujourd’hui les moyens de se dĂ©truire et de dĂ©truire sa planĂšte. Tout Ă  coup, l’humanitĂ© comprend que c’est sa survie qui est en jeu, qu’un suicide collectif est en marche. Je ne m’attarderai pas sur le constat. Il commence Ă  ĂȘtre connu, mĂȘme s’il y a encore beaucoup Ă  faire pour vaincre le scepticisme ou l’ignorance.

Quelles sont ces circonstances qui, aujourd’hui, nous motivent Ă  agir et Ă  nous prononcer en faveur d’une nouvelle agence de l’ONU ?

Le rĂ©chauffement climatique est sans doute le problĂšme majeur. MalgrĂ© cela les hommes continuent Ă  couper les arbres et donc la dĂ©forestation se poursuit Ă  un rythme effrayant dans toutes les grandes forĂȘts du monde ce qui aggrave le phĂ©nomĂšne car le CO2 ne peut plus ĂȘtre absorbĂ©. DeuxiĂšme problĂšme : la surexploitation des ressources naturelles qui nous prĂ©pare un avenir douloureux.

Mais aussi la biodiversitĂ© qui recule : le nombre d’espĂšces vivantes qui disparaissent chaque annĂ©e est Ă©norme.

Sans tomber dans une exagĂ©ration, on peut aussi rappeler la situation dĂ©mographique : l’augmentation de la population humaine depuis le XIXe siĂšcle est l’une des causes de tous les dĂ©sĂ©quilibres qui menacent la vie sur Terre.

J’arrĂȘte lĂ  ce rapide rĂ©sumĂ© des dĂ©fis que nous avons Ă  affronter.

  Au-delĂ  du constat, c’est la recherche de solutions qui doit maintenant nous mobiliser. Il nous faut d’abord bien dĂ©finir l’objectif. Le but n’est pas de produire moins, de consommer moins, de se dĂ©placer moins
 mais de produire, de consommer, de se dĂ©placer autrement. Ce n’est pas la dĂ©croissance qu’il nous faut organiser, mais une autre forme de croissance. Il nous faut crĂ©er une grande chaĂźne d’initiatives, qui commencera dans la vie locale et se poursuivra jusqu’à la vie globale.

  Tout commence dans nos vies quotidiennes, lĂ  oĂč nous vivons, dans nos campagnes et principalement dans nos villes. Les villes sont en premiĂšre ligne dans le dĂ©clenchement et le dĂ©veloppement de la rĂ©volution Ă©cologique. Elles ont d’abord la responsabilitĂ© d’organiser les dĂ©placements de leurs habitants, de faire fonctionner des transports collectifs moins polluants, de rendre les espaces publics aux cyclistes et aux piĂ©tons. Responsables aussi d’une gestion plus raisonnĂ©e de leurs ressources en eau. Et enfin de favoriser l’éco-construction, c’est-Ă -dire de respecter des normes de haute qualitĂ© dans la construction et l’urbanisme.

  La chaĂźne se prolonge au niveau national. Les gouvernements de tous les pays ont un rĂŽle trĂšs important Ă  jouer : ils doivent appliquer le principe que celui qui pollue doit payer, taxer la production de carbone, utiliser le systĂšme fiscal pour encourager les transports propres ou les Ă©conomies d’énergie.

  Vient enfin, en bout de chaĂźne, l’étape mondiale c'est-Ă -dire du niveau international. Il existe aujourd’hui 500 accords internationaux relatifs Ă  l’environnement ; la plupart sont moins connus que le cĂ©lĂšbre protocole de Kyoto. Il existe aussi 18 agences, programmes ou institutions internationales qui ont compĂ©tence en la matiĂšre. On imagine donc facilement les dĂ©fauts du systĂšme : il y a une multiplication des centres de dĂ©cision, alors une concurrence entre les institutions et une absence de politique internationale cohĂ©rente.

D’oĂč la proposition avancĂ©e par Jacques Chirac et formalisĂ©e par l’Union europĂ©enne de crĂ©er une seule organisation associant tous les acteurs d’une politique globale de l’environnement. Il appartiendra Ă  notre confĂ©rence d’en prĂ©ciser les contours c'est-Ă -dire la structure et les champs d’activitĂ©.

  Avant de terminer mon propos, je voudrais seulement Ă©voquer ici quelques-unes des objections qui pourraient lui ĂȘtre faites. Certaines viendront des pays dĂ©veloppĂ©s, et principalement des États-Unis d’AmĂ©rique, dont on connaĂźt la mĂ©fiance envers l’ONU, toujours soupçonnĂ©e de lourdeur et d’inefficacitĂ©. D’autres critiques seront formulĂ©es par les pays Ă©mergents, comme la Chine, qui redoutent de voir ainsi leur croissance freinĂ©e. Les pays pauvres, africains ou asiatiques, enfin, nous interrogeront, Ă  raison, sur ce qu’ils peuvent attendre d’une telle initiative. Sera-t-elle un luxe de pays riches ? 

Mesdames, Messieurs, il ne faut pas cacher que nous nous lançons dans une longue discussion et un projet ambitieux. Comme toujours, c’est un groupe pionnier de nations plus militantes de la Terre qui conduira le combat. Mais la foi, nourrie par l’évidence de l’urgence, peut soulever des montagnes.



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