C'cst cc brouillard qui, en se deposant sur Ics organcs inlcrnes du motcur, vient lubriflcr les pi^ces mćcaniąnes en mouvement.
A chaque aspiration du moteur correspond donc un apport d’huile fratche ; de ce falt, le barbotage se trouve supprimć. Sous 1'action de la chaleur rćgnant A 1'intćrieur du carter, 1’cssence se vaporise abandonnant 1'hulle bien moins volatile qui se dćpose sur la paroi interne du cylindre et sur les pićces en mouvement, les recouvrant d’une pellicule lćg^re, constamment renouvelće.
Par allleurs, 1'hulle qui s’6coule le long des parols du cylindre et du carter (fig. 1 et 2) est, par des canaux judicieusement amćnagćs, ainenee aux portćes du vllebrequin, A ce sujet, slgnalons en passant que les bagues de bronze dans lesquelles tourillonne le vilebrequln, sont munies intćrieurement d‘une large gorge circulaire destlnóe A recevoir 1'huile et a la rćpartir utilement sur toute la longueur de la portće.
De la m6me faęon, 1'hulle s’ćcoulant, d’une part de la face interne du fond de piston et le long de la bielle d'autre part, vient concourlr A graisser abondamment le pled et la tćte de bielle.
Ce procćdć, extrćmement simple comme on voit, permet un graissage efficace et proportionnć aux diflćrents rćgimes du motcur. II ofTre toute garantic, & la condition essentielh Se mćlange Intimement A l’ess Possdde sufflsammcnt de corps i
2 Tempórature. — La large surface de refroidissement des ailettes ccinturant le cylindre, jointe A leur disposition spćciale, assure au motcur une temperaturę normale ii toutes les vitesses.
Par allleurs, la judicicusc ćpnlsseur donnće A la parol du cylindre est une garantic conlrc les risqucs dc brusque refroidissement dc cclui-ci. II conserse donc A tous rćgimes la meilleure tempćrature compatible avec un fonctionnemenl optimum.
3 EtanchóltA— GrAce A un usinage rigoureusement prćcis, au soin que 1’on a pris de les goujonner, les deux segments placćs A la partie stipćricure du piston, assurenl une cxcellentc ćtanchćitć.
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