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TFD/PC/188 Partie II

politiąue. Au cours du premier semestre, la Banąue Centrale eśt intervenue freąuemment sur le marche mais depuis le milieu de 1'ete., elle a eu peu recourś u. la politiąue d'open market.

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5)    Un€ ma.joration sensible des prix a pu Qtre oyitće KrScea un accrolsssmenlb de la production des im-portations» Oaelles mesures ant ut 6 prlses pour aunneńter les importations i

La Liberation vis-a-vis des pays de    atteint

91 -sS et vis-&-vis de la zonę dollar 65 mais une large frac-tion des importations s^Teffectue sous un rdginie de licences li-bres, ce qui porte la liberation effective vis-a-vis de cetto zonę h 84 Tres peu de produits sont encore soumis h licences, sauf en ce qui concerne les produits agricoles pour les-quels l^,Allernagne se heurte aux mSmes difficultes que les autres pays, L^łaugmentation des importations en provenance de la zonę dollar a atteint 68 au premier trimestre 1955 par rapport au premier trimestre 195^ ; cette eyolution ne peut śtre que favo-rable• II importe, en effet, d^!acheter au:; prl:; les plus bas pour obtenir une meilleure productivitś et próparer 1’uconomie allemande au retour a la conyertibillte.

6)    Qnel est le nlveau des salaires compard k celuj qui existe dans les autres pays ?

Le niveau des salaires assure des conditions de vie tres satisfaisantes, mais il n^łest toutefols pas possible de le com-parer avec celui des pays oti la politique de plein emploi est realisee corame dans certains pays Membres qui out rencontre des difficultes que les autorites allemandes stefforcent d*uviter,

7)    Lg ęouyernement allemand subyentionne la construc-tlon de nąyires- en accordantf ~aiix firmes' des prUts dont l~Tntćr$t n^Test~ que de~T j et en leur assurant une sarantie de’ i00 milLloh¥ ~ćTe 1¥, ~~Ceci constltue un ayąntafce sur' la concurrence" etrangorę » ~Xa~ cl anso de 5Q ^;7 a:._ liq«i ar les tat^Unis, Ta prbtection accordśepar 1 ^TTlemaahe TE" Ta brance żi leur s arma-teurs Timiten6 les r^cettes au titre "des transports maiTtlines d^Tatitres paysTeTs- que la llcryege par exemple

II s^git yraisemblablement des credlts octroyds sur les fonds de contrepartie a certaines industries-cles, comme les charbonnages, ł^l£Lectricite et, dans une mesure moindre, a la construction nayale. II faut tenir compte du fait que si le tonnage de la flotte norvógiennce est superieur a son niveau d^!avant-guerre, le tonnage de la marinę allemande est, par contrę,