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TFD/PĆA&8 Partie II

nettement inferieur h ce qu^łi*l ótaifc alors, Ainsi, la produc-tlon s^!est acorue plus faiblement dans les constructlons navales, ou elle atteint 1‘indice 152 en 195^ (sur la base 1956 = 100),

■que dans les Industries siderur;^lques, des machines-outils et de la coństruction automobile oó. elle avait atteint en 195^, par rapport a la mSme base, les indices 160, l^jK) et 200 respectlve-ment •    ’•    , ¹ '

Un membre du Ccmitg fait alors remarąuer qu^Tun pays ayant une certaine importance uconomiąue et polltiąue estime genźralement hćcossaire de possććer une marinę ccrrespondant a *cette importance_c II ne lui semble pas conforme aux habitudes de 1^f0«E*C,k* d^łexaminer les mdthodes de flnancęrnent employees pour assurer le dśveloppement d^fune Industrie partJLculifere.

En outre, il est a noter que, depuis la guerre, les gou-vernements^r considerent qu^,ils doiyent jouer un r6le plus actif que par le passó dans le dźveloppement des investlssements» II est donc’inevitable que ceci aboutisse & encourager les inves-tissements dans des Industries dont la production est destlnde so>it au marche intórieur, soit h 1 *exportatlon_f La C*E_eCoA₀ est la śeule organisation oii les gouvernements aient consenti a limiter leurs drolts,

Le Comitd PREND NOTĘ des exposćs de MM* Fay et von Mangoldt ainsi que des informations donnóes au cours de la discussion qui a 3uivi, 15^JU EXAMEN DE LA SITUATIOH DE LA SUEDE

Le Óomite dispoce, pour cet examen, du chapitre ótabli par le Comite Economiąue pour son Rapport annuel. II entend, en outre, M. FAY (Secretariat genśral), qui rósume les grandes li~ gnes de l^łśvolution de la situation óconomiąue suedoise et indi-que les conclusions auxquclles le Comltó Economiąue est parvenu.

Pendant la plus grandę partie de 195^ ot le premier se-mectre de 1955,- 1 Jaccroissement de l^!activitd a atteint un ryth-me annuel de 5 1 6 Ce relbvement du niveau des activites in~ tćrieures, particullbrement dans le domaine aes investissements, a provoque un accroisseraent sensible des importations, notamment diśąuipement et de metaux do base. Malgre une augmentation de 9 ^ du volume des exporbations, la balance commerciale s*est sol-dee au ler somestre de 1955 par un dóficit de 190 millions de dollars au lieu de 116 millions au ler semestre de 195^* Une faible dótćrioration de la balance des paiements courants a etó enregistróe.    • ^ł    , •