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' Rasiermesser’ (104), savus- 'streiten’ (174) u. s. w. Sie bilden eineu unwiderlegbaren Beweis fiir die sprachliche Einheit der Oghusen mit den sogenannten osmanischen Tiirken des XIV. Jahrhun-derts.

22. ZAWISTOWTCZ K.: Zasada wolności wyboru przy zawieraniu małżeństw u Słowian. (Le prindpe de la liberie da choijr du con-joint chez fes Siar es). Prescnte dans la seance du 2 juin 19512.

La conclusion du mariage affectait cliez les Slaves differentes formes possible a distinguer dans leurs ceremonies nuptiales qui sont extreinement variees.

A cóte du mariage par voie d^?achat qui ne tenait nulleinent corapte des gouts et de la sympathie des conjoints ot n’etait avant tout qu’un arrangement materiel conclu par leurs familles, les Slaves reconnaissaient certainemefc la libertedu choix des futurs epoux. Elle se manifeste dans les formes suivant.es: a) consentement mutuels des conjoints: b) librę choix de la fiancee par son futur, mais non inversement; c) droit qu’avait la jeune filie de choisir son epoux, tandis que celui-ci ne pouvait. souvent pas repousser ce choix. Cette derniere formę du mariage est entre autres certainement en rapport avec des raisons d’ordre economique qui se traduisent par Pusage appele »przyżenianie« d’apres lequel Pepouse etablit son mari chez elle et sur son bien ¹.

La liberte du choix dont jouissaient les futurs conjoints trouve egalement son expression dans les mariages accompagnes de di-yertissements populaires, soit dans les unions conjugales conclues sinmltanement par plusieurs couples a l’oceasion de fetes. On les concluait »en masse« a des epoques fixes et parfois elles avaient la- formę de jenx publics, de ceremonies orgia-s t i q u e 8 ou encore celle de f o i r e s a u x j e u n es -f i 11 e s et de rapts. Dans ces mariages chacune des deux parties contrac-tantes jouissaient genóralement du droit de choisir Pautre; c’etaient des unions conclues par les conjoints sans l’intervention des deux

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L’auteur se propose ile t rai ter plus amplement de cette fpiestion en etudiant le rok* que les motifs economiques jouent dans la conclusion du mariage.