/ librairie
Pow mkax touteak mmi ri««M tf« Hbraktet, k CMtr* rifiomat ś» lvrt m irmi 5co—k— *t cuftarMk. RtarfUts k T
La graiurtć din* les lycćes fait mai aux librairies dc ta Region Centre. Cest en fait un aspcct aggravant dans la vie ćconofn»quc dć>4 fragde dc U librair* independante. Pour ta premierc fota. ic Ccntrc rćgional du livrc ct dc la Iccture dc la Region a dćcidć dc dćpłoyer one battcric dc moyrns pour soutcmr les libraines dc son seeteur.
Marłc-Picrrc Rigołlet, chargće dc mission au CJU. Centre. s’en exptique:« fusqu'd
•oalyt*
prłsent nous avom trłs bon les granda surfice*. Dam rimmćdijt, dcux pcw rravailU avet la Qu’cn esl-D aujounłlua? tnitiatires ool dć)4 ćtć łibnttm, mau nous ttYons Cesi ruoe des donnće* prfees par lc CRL betom d'aYoir une viskm qui doit ressortir de cetle Damie ouiDĆro U
cncjuCtc qtń porte nr
płusieun aipects: ractuafieć do Ińrre en
immtiire, rćpcrtiboo region Centre, qujtre gćographique, ^otuhoa pagu soot cooncrtn I de b situation, b librairie «vcc, pour
profcssioanalisme des tha de dupitres < De
point* de wite, situatioo rincertitndc de b
jusie du rtseau pour adapter les proposrtums que nous pouvons leur famę, qu‘ds sagisse de formation ou d'ammations duerses. • En 2000, un budgrt de 150000 F leur *cra
ćcooomique, situatioo
ićditćcl difFuje4 2500 aempbirts une pbquette de six page* donnarn toutcsle* (mars 2000) de Etaetere, fermes de soutien
finander dont peuitnt bćnćfkier le* libriire*: aides spćri6ques» aide* aikurefles, mań auan aide* destukes plus gćnćralement 4 loo* le type* (Tentreprises.
consacTĆ. essentieflement cułtureflc. Le cabinet de dćd»ć i Pćbboratioo oooseib en charge de cc cf une grandę eoqućte. traniJ dcrrait Hre choin En I995.ccttc Region qui fin mars, Teaąahe efle-couvre six dćpartements mćme sera lancie en (I) comptait prćs de 400 anild les rćsuhats soot
Ubraine»,« Heurset
malheizrs de b gratuitć
du Ińrre scolaire •,« De b OLifi22Quanm
teekśmkrn.4im
nCc«*ne oe r imir » et un cOa.TŁ: 0547227* T płaidoyer « Dćfeodreb fu: 0254731ja
loi Langa de Jeao-Marie Scwstre, prćsident do
(1)
point* de renie de fims. attendm pour faolomne. SLF. D^aotre part, le CRL L*m.
CA en scolaire; 4 Chartres.de Lester, remplacć par un magasin Etam; ou en-core cełJe a Orlean* d’Alphabet Enfin, 4 Dreui, jean Leguć jus-tifie la fermeture d’un de se* deux points de veme.au dćbut de Pannće.par une baisse d’ac-tivite liće a la gratuitć des ma-nucls dans le secondaire.
De faęon moins radicale, la plupart des libraires annon-cent souvent un recul de leur activitć depuis 1998. jean Leguć parle d’une perte de 2 MF de son chiffre daffaires au dć-taił sur ses deux ćtablisse-ments (Chartres et Dreux). alors que la mesure ne concer-nait quc les classes de BEP,
CAP, bac pro, et les terminale* d’enseignement gćnćral, prćri-sant que « sur quatre ans, lorujue le disposńif aura M gć-nłralisd aux secondes puis aux premiłres, la perte derrait łtre double, et reprćsentera IJ MF de marge, soit le salaire de 8 personnes!». Et de dćnoncer 1’incohćrence selon laquel!e « des libraires vont se retrower au chómage alors que les łta-blissements scolaircs vont de-voir głrer des livres, fonction qu’ils ne connaissent pas et pour laquelle ils ne sont pas ćquipć$, ce qui risque d'aboutir d un important gdehis ». D’au-tant qu’il leur faudra intćgrer les changements de pro-
grammes et de livres! En fin. 4 Bourges, 4 la librairie Maju*-culc ou un tiers du chiffre (faf-faires est rlalisl en scolaire, Bernard Catinaud annonce une perte de chiffre d'affaires de I j MF sur deui ans et s’in-qukte de ce que sera b rentrde prochaine alors que le gros des effectifs lycdens, 4 savoir les secondes, bdndficieront de la gratuitd des manuels et antici-pe, d’ores et ddji, un nouveau repli de 1 MF. D^oii sa ddcision de dćvelopper des rayons conneies, en particulier la papeterie et les travaux manuels. Conswtsus mi HautO Wonmndk. A l’inverse. P expdrience en Hau-te-Normandie emporte daire-
ment le consensus des libraires. A Rouen, Matthieu de Mont-chalia (LArmitidre) considdre le systdme des chdques-livres comme trds avantageux:« Non seulement, il ne perturbe nulle-ment le Circuit traditionnel d’achat de Hvres, mais encore il tend d lefavoriser en indiata des familles d acheter, grdce d cette nouvelle aide fmanciłre, da livres quelles ndchetaient pas auparayant, tandis que la pro-faseurs hćsitent moins d pra-crirt da tivra.» Et de prdciser: « 1’enjeu est d’autant plus important que le scolaire constitue souYcnt le nerf de la guerre pour da petita librairies: la ventay sont concentrćes sur deux ou
troismois. ne requćr, que peu d’avance di et le flux de frdque jaillit souvent sur Ti autres dtpar te me* souvent grdce aux lir et aux cahiers de 7 peut yfndre de la pot ce conteste. le CA di re a progressd de pr entre la rentree I9« 1999 2000.
Mdme tendance i L’L’nivers du livre. o Vcrgnon estime as cette annec. des list servait pas auparav; te tenu de la presci livres moins fonda Enfm. au Havre. a L Gilles de la Porte an croissance voisine d son CA en septembr
Nul doute qu’4 i’ nouvdle$ region* rc cer de favoriser 1*5 livres pour les łyeder miere ligne figurę I Paca (Provence-Al d’Azur), en pleine d pour voter, fin mars. litds et le budget d’u tif a appliquer, a compter de la rentrei ne aux classes de Dans les milieui dc l lc projet suscitc dc inquićtudes ct Rcnc (Maupetit 4 Marscilli cc, dans Ic cas d’un qui commc dans I marginaliserait les lit disparition d’unc d< zaine de ses confrere! terme.
ctAmssc
Editeurs et libraires en appellent aux elus pour que les remises soient alignees sur le rćgime commun impose par la loi L
PLAFONNEMENT
Sujet de plus en plus sensible, Ic plafonnement des remises aux collectivites vient sur le devant de la scene. De fa<;on solennelle. Le SNE et les deux syndicats de librairies, la FFSL et lc SLF prennent Ic mors aux dents ct cn appellent directe-ment aux dus dans unc lettre cosign^c par Scrgc Eyrolles, prćsidcnt du SNE, Antoinc Gallimard, vicc prćsident ct prćsidcnt dc la commission intcrprofcssionncllc. Jean Le-
guć, prćsident de la FFSL, et Jean-Marie Scvestre. prćsident du SLF.
HorfHtor ta loL Rappelant Pau-torisation faite par la loi Lang de consentir des remises supć-ricurcs a 5 % pour les cołlccti-vitćs. ct les effets dćsastrcux quc cette possibilitć entrainc pour les libraires qui ne pcu-vent ćtre compćtififs face aux grossistes et aux gros libraires, les signataires demandent une modification. Purement et simpłement: «Iheure at venue
de modifi er sur ce point la loi de 1981 en Cendant 1'application du rłgime commun aux collec-tiYitćs. Lenjeu est important. car contnbuer d la sauvegarde de notre reseau national de librai-na, cest nourrir la diversitf de la culture, et cest concourir de maniere active d 1'amćnage-ment culturel du territoire. • Suit un ensemble de docu-ments argumentant cette posi-tion et rappelant notamment que. selon une ćtude menće par le ministere de la Culture, la
moyenne des rabais pratiques vers les bibliothćques est pas-sćede 12% a 17%encinqans, dćpassant parfois 20 % pour les marchćs les plus important* emportćs par appcls d’offrcs. En anncxcs, diffćrcntcs analyscs sont prćsentćcs aux ćlus portant sur « Les dć-rives des marchćs publics de livres • et« Les charge* de U li-brair»e •.
Uo gilft—MMrt peHn. Cette lettre est non seulement en-voyće aux maires de plus de
50 000 habitants, asS' d’ćlus locaux,dćput teurs, presidents de co nćraux et partis po mais aussi aux adhei syndicats professior ministere de la CuJłui surę que le plafonner remises est prevu dan re loi Trautmann sur !< theques, regulieren poussee et annoncei printemps 2001 Env»» qu'dle voie le rour.
?4 Tv«rł 2000 Uv»»» >-+000 i* 374 62