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Au-dttt be H umęią fournitur» dc Wres aux coflectnntds. ct wet Im mkmm m*wi, ceftwtto « fcMoeriąees. *< iclssMt IfM-

ritc ct    ton ta dli, ou eitos om je tort un rftie com-

pfcmantain pour tovonsar to ołvtkx>pemem locai

Oans ce contexte. rexistence b'une bibłiotftoque publique mobeme dotde be moyens convenabtos. i proxjmbś. non seutomem ne constbue pas une concurrence. vo«re un danger pour to librame. mars est rWflement une chance pour ravenir bu commerce et to błve»oppemem i moyen et long terme be ses actnntds. Lłtude “Les bibłłOtftoques. acteurs be rdco-nom* bu łrvre“ (Mimstdre be to cufture. 1995) n*a pas permrs. en effet. be corrśtor to nausse be remprunt bes livres en txbi»otrtoques avec to barsse be i*achat en librame

Un objeciń <j‘*ndrdt geodraJ commun aui iibra<res et bibiiotftocaires tst d tory* la yeMc tot lectten (32 \ des Francis n acftotent m n*emprjrtem mcun irvre tfaprts un sondage SOFRES en 1994) tt donc dc tavtyr%t< race** be tom au (ryte et a to tocture.

Oa ca po*nt be *ue. achat et empcunt be iivres sont Salemem •mportants pour rappropnation be to cufture be fdcnt et pour fdpa-nouissement ndryiduei aux cfrH des librames. tos bibi»otttoques puWKjues et tos b»b(K)trtoques scotoires coocourent i r^pondre aux besoms be fofmauoo i obiato et continua. d'mformatJon. be toisirs. ba cufturt soenbfkjue. tecfmtgue. ktttoraire et artstigue be Ten-sembto bas pubiics par bes offres diversrftoes.

0'une mantore gdndrale. on b«ra gue to coltoctMte peut souharter pnvttog»er to commerce locai et donc tos librames proches bans un soua b itoifinit de terrttełre Elto pourra ainsi sonenter vers un partenanat plus ncbe et exigeam que celui ito a to seule fourm-ture be documents. U na pdbKjue cultureito concertW bans to bomame bu lrvre bob certes sappuyer sur une collaboration ttroite avac tos protessionnełs bu irvre (auteurs. Mbeurs. HDraires. biblio- .' thtoires) mais aussi avtc tos autres partenaires mbispensabtos que sont tos ensagnants. tos Wucateurs. tos personnels bes centres soc*aux et cułturełs bu terntoire coocernd.

Le cłiotx be dłveiopper ses retotions (commerciałes mais aussi cuttureiles) avec tos coltoct/vTtds corresponb pour to libraire 4 une approcbe dynamigue et mtelfigeflte bu marcfto et se fonbe sur to souhart be voir ses compćtences apprfctoes par tos collectivitds.

Concr^tement. to cooftoration entre librairies et bibliotftoques. qui gagne i s'6torgir i d'autres acteurs culturels et sociaux travaillant i prowmbć. permet un impad plus fort bes actions en faveur bu d$ve-loppement be to lecture ; elto bonne aussi to possibilitć b‘une meilleure synergie bes eftorts r£alis4s par les diffśrents partenaires: par exempłe. bes auteurs invtt£$ par une librairie peuvent se renbre bans une Wole. un centre social....

Le dWeloppement konomKjue et social est lui aussi facteur. comme to dWeloppement cutturet. b'un łtorgissement bes pratigues itoes i to tocture. auquei concourt une action cutturelto commune bes iibraires et bes bibliotrtocaires : ils som. en effet. tos mteriocuteurs naturełs bes tocteurs. actuels et futurs

La synthWe be Mtudc citW plus fiaut a mis en vatour rhnportMcc bet relatlow qoi oiltstit lec libralrtet et Its coflecthrftbs : elto fart ressortir en particulier que to moyenne bes acqui$/tion$ effectułes par tos txbł»othłques municipatos bans tos librames be tour commune b*im-ptontabon et bans un cercie be 75 kms autour b*eltos est be 60 % en vatour (ct >amais moms be 50 %). L'avantage be cc recours i roffre locato r^sibe. b'aprft$ les b«bi»otftoques. bans to qualitś bu seryice offert A nnverse. to consKtorabon exdusrve bu pnx et be to rermse peut avo«r bes effets rtogatifs sur fefbcaato bu travail bes services b*une biblio-tttogue ou d*un cemre be bocumentabon et, par vo«t be consbquence. nuire i to quaJitć bes serv>ces offerts au public. Par aifleurs. une tefle orientabon contribue i fragifcser le commerce be bbtail et peut mtme partia per i sa bisparrbon.

De nrtome. rtogiiger. pour une librame, le travail avec les coHecbyrt^s. nsque be provoguer to resserremem be son acthntś. ators que le cboa be b*vek>pper ses retobons avec tot coHectivrt*s antoiiofe soinrent sa srtuation g^rtorato, ce qui peut Mrtofioer i I'ensemble be ses pubfccs.

L'am^lioration bes ^changes emre co4lectiviti et librairie passe par une meilleure connaissance bes rbles et bes contramtes be cbacun. qui nćcessrte be prenbre to temps be Tinformabon. be to formation. comme be la rencontre et bu btologue Car un bon pertenariat. bans ce bomame. fonbi sur une connaissance r6ciproque approfonbto. favonse to santi economique bes rćgions, to bMoppemem bes połrbques cuttureiles et to rayonnement be la v»e intellectuelle sur 1’ensembto bu terntoire

Nous rem«rcłO«s le comit* scKntrfiQue et les parDapants aux rencontres nationatos de ta btKainc i Saint-Et*nne amsi gue les assoaations «t syndcats d« hbraires et de bibiiotrtocaires consuitte de leur? concoors a retaboratioo de ze documern

Komin *tciaf

r Actuittś Mii— upn IHrrt

puOW par rAgenc« RMne-^Jpes pour '4 irvrt et la documantation 1. njf JurvJaurfcs. 74000 ArntCf tH 04 50 51 64 S3 tax 04 50 51 82 05 Prłuieirt Ctaudt Burgtlm Oirtctnca d« pubfccation San*v>łv« Oaitnn

L ARALO est une assocot>on hnancte par ta R^ion Rhbne-AJpes et le Mmcstire de a Cuiture ORAĆ Rndne-AJpcs

coiiptiMEiiT/mrrt des rOles pour

L£ O^YELOPPfMEMT ĆCONOMIOUE ET SOCUU. :

:n termes ^conomiques. b»bł»oth^qu€S et librairies sont solibaires »ux differents mveaux de to vie bu Ihrre : .es tenbances lourdes que sont les processus be concentration be Wition. to cbasse aux livres i rotation lente. la focalisation sur tos «st*seflers bu moment nuisent a to qualit^ et a to diversitś bes cboix ftens aux tocteurs Du pomt de vue be la probuction Mitortato eito-"tome. Ptilstcnce d’una Wition de crdctioc et de srroir dćpend *un rWeau be librairies mdWenbantes et be bibiiotheques qui en om bes cJ»ents prn/itogtos

u nrvtau local to coitoctivita peut porter une attention particuitore to pdreiieiti de coramerce et a : attractioc de ceitre-trllle ee

feertief dom to librairie est i*un des póies btoctnntd . to deve-ppement ot "emploi be proumitd favortse to santć aconomKjue et >cvato bu terntoire

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