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meubles. Des domestiques au courant ilu service se trouvent facile-ment; le marchć est abondant et les prix sont d^un bon mnrchć ridi-cule, et nulle part ailleurs le maitre de maison n’a autant de facilites et si pen de difiicultćs que dans les colonies ćtrangeres de PExtreme Orient. Le buandier demande de 3 a 4 dollars par 100 objets. Une voit«re attclće d’un poney pent etre louće pour 40 dollars par mois et au dessus, et un cheval tout selle avec bełio% ou coureur, pour moins. Les tailleurs, tant chinois que japonais, sont noinbreux, et kurs marchan-dises bon marche ; et |)ar tout le Japon, la Chinc et PInde, quand il est neccssairc de sc procurer un grand assortiment de costumes (Petć, on peut s’equiper rapidement, a moins de frais et cPune faęon plus satisfaisante qu’en Europę ou en Amćrique.
Apres avoir quitt£ PAmćrique, les bagages de cale* et les valises ne causent aucun inquićtude. Les riches rćsidents ćtrangers de POrient voyagent avec des bagages considerables. 11 y a toujours des domesticjues et des coolies pour les bagages. porter, et les natifs marquent leur respect cPaprks les possessions visibles du touriste. En jinrikisha et dans les excursions dans les montagncs du Japon, le bagage est, comme de jusie, rćduit a un minimum. Les compagnies de chemin de fer transportem 60 livres de bagages p’ar billet.
Outre les promenades a travers les rues et devant les boutiques en plein vent, observant les drames domesti(|ues et mercantiles qui s*y passent, et jouissant du plaisir de contempler ces tableaux vivants de la vie japonaise, faire des achats japonais est Pamusement prefere du touriste a Yokohama.
Les magasins de curiositćs abondent et des tresors (Part provenant de toutes les parties de PEmpire affluent vers oe grand debouche. Que Pćiranger ne s’attende pas a tronver de grands tresors dans les traditionnels magasins sombres et dans les rues ecartees a cette epo(|ue de critique artistique et dc concurrcnce. Mais, a moins (jiPil rPait dirigć ses recherches dans cette voie et visit£ les grands musćes et les collections privćes chez lui, le touriste souvent est mis en contact pour la premiere fois avec les vrais produits de Part japonais apres son dćbarquement. II constate que les soi-disant porcelaines japonaises qui encombrent les magasins cParticles de fantaisie et les bazars h Petranger sont des abominations dont le scul objet est de contenter les soi-disant gouts artistiques de certains barbares, et nullenient empioyćes par les Japonais. Les collectionneurs de toutes les parties du monde depuis longtemps pourchasscnt les chefs-cPccuere des anciensartistes. mais les imitations dc vieilles porcelaines et les contrefaęons des vieux maitres abondent. En Pabsence de tout musće d’art public, le touriste n*a aticune prs-sibilitć, aucune autoritć pour pouvoir faire des comparaisons, et les marchand* de curiositćs se dćbarrassent facilement de leurs trćsors soi-disant artistiques. Les con-naisscurs aussi bien que les novices, tant intelligentes sont
les imitations, s’y trompent; , f. {
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