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noiselie ou du i; la ml, parce <|ue l'on a cru h lorl que-cettc fleur non ćpanouie ćlait un pelit fruit, el celu i declou, a causc de sa ressemblance avec cel objel : c’cst donc un gland-clou.

ANIMAVX.

Les animanx connus des Basques sont trćs-nom-brcux; tous pourraient 6lre lobjet de rcchcrches spć-ciales; cependant, afin d’6viter des dćlaiis, je ne m’oc~ cupcrai quc dc ccux qui mćritent des inentions parli-culićrcs.

Le mol animal, abere, a deja ćte 1’objet dune dis— cussion spćciale, dans laquełle j’ai cherche a demon-trer que ce nom venail de bar, chaleur, ct qu’il etait 1’origine flaberals, qui veut dire richesse. Comme eire richc, c’cst possćder, c’esi avoir, il est ćminem-ment probable que le verbe lalin habere, considśrś non coniiiie vcrbc auxiliaire, mais comme indiquant la possession, vicnt d aberats, el que nolre verbe avoir a la menie origine; cela dcviendra bien plus sensible si on le prononee avdr.

U nom du chat, katua, ou gatua, e$l analogue a ceux usitćs chcz les Arabes, les Grecs, les Lalins et les principaux peuplcs dc 1’Europc.

l es Basques oni donnę le nom de caturdea i Yich— neumon On sail que cel animal pcut vivre en do-mesticitń comme le chał, el qu’il ćtait en grandę vćne-

yive.rra i\e Udi*:, Nawjoutlt ik Cukier.