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La inajcure partie des Espagnols est dune lout au-tre race que celle des Basques; toulefois, elle en dorwę, comme je !e demontrerai dans un ouvrage generał sur 1'orig'medes nations; inais cc n’csi. point en Es-pagne que cetle nouvelIe race a etc produile.
Les travaux qui oni ćlć faits sur les racines des noms des conlrees basques me permetteni de ne pas nroecu-per de ce sujoł.
JłR^rywi* meridionali.
On rclrouvc plusieurs noms d’origine l>asque dans rAmeriquc meridionale, depuis lc. flcuve des Ama/ones jusqn‘au Rio de la Piała. On en trouve aussi vcrs les CordilliOrcs en rernontant au nord, jusquc dans la Louisiane.
Asdes. Andiac, hautes. II etait impossible de don-
tore; ils i>uK la poirrlne th* developptT, controirement »*x antres EspagnoU; teurs cl.croui wmt bruiis f»oc6s ou nnlrs. Mato ce <jui to dtolingue ite touus to auiffLi ucc* <]ui to cnvironnentt c'e$l )e ri>Jume considhrahte de Ictar tóle. A cc je racuutcrai unc aveniorv qai m’est arrto*e ei «|«i permettra d^pprecier 1'enurae diflFrence <jui exislc sur r* fninl cnlre les Aragona!* et les Borde-ato, ęii *ont d'aillcars en generał de U m«me origine qoe la piupart des EspagnoJs.
Kn 1846, je quiiui Parto puar me ivn.1re en Ejpaguc. En palant par Bor-dcaui, jc vonto acbcicr une ra$quetle, cl il mc fut iir*po$%ible d>» tro#ver unc dans >qaełlc ma tfte pdt entrer, quoiqne j’aic cherci^ 'dans n« iiomba' dc niujrajcin^. jo partia ilonc siits casqoetle, et me rendis ainsi jusqu’ii Saragiwse.
jc Yoalos de BWtai en aebeter unc, qai me deienait indispemahle puur M^ęcr i rbeval. J^Btrul ehe* au chapdier franęai.% ijui habtoil le Ono, ct, a ,oftn &r*nd ćtonnernent, luutcs U-s casqn*ttas dc <on iujwi# sc Iriuntrcnt trop rrjDdcs puar motcie : sur plus de c»r>qiuntc, il n#j en eat ąo^^ne scalę qui put m-allrr!
H toor ajouto «|*c aa lóie * 59 refilmritfrts dc circouIcrciKT. i