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populaire se distingue par une serie de particularites qui infceres-sonfc aussi bien les procedes techniąues, qne les formes et 1’orne-mentation. Ces particularites sont attribuables en partie a des t.raditions tres anciennes dont Torigine reraonte aux temps pre-historiques. A mesure que la civilisation se developpe, les croise-ments entre les elements archaiąues et les elements plus recents deviennent de plus en plus frecjuents dans la vie intellectuelle et dans la techniąue. Tout comme a la meme epoque en Silosie et dans la Prusse Orient ale, on connaissait egalement au XlII-e siecle en Pologne la glaęure en usage dans les pays occident.aux. On faisait cependant en meme temps des vase$ non polis et de la poterie foncee, roussie a la fumee et impermeable a Feau. Ce croisement d’elements chronologiąuoment differents se produisant a la meme epoąue et qu’on observe encore aujourd^ui, impose beaucoup de prudence lorsqivil s’agit de fixer la datę dont pro-vient la ceramiąue de l’epoque historique.
12. GRAPO YYSKI T.: Krytyka literacka w Polsce w epoce modernizmu.
Cz. I (Im critiąue Utłeraire en i*ologne r> repoqn<j du moder-
nisme• I-ćre partie). Presente dans la seance du U avril 1932.
On commence a se detourner du realisme en Pologne, des que se manifestent les courants d^dees bien connus de la criti-que occidentale. C’est de cette source que nous viennent, vers la fin du XIX-e siecle, les idees qui sapent les assises du realisme, ebranlent la confiance en la toute-puissance de la raison, en Tin-faillibilite de la doctrine de Taine ot mettent en doute la possi-bilite d^me critique objective. L’esthetique nouvelle, adoptee par les impressionistes, se constituait defenderesse de la creation librę, affranchie de toute regle et soutenait. que la critique n’est pas seulement une science, mais ćgalement un art qui comprend le beau par le sentiment et 1’intuition.
C’etait surtout Anatole France qui defendait cette these, tan-dis que des estheticiens comme Veron, rejetaient les elements neo-classiques de l’esthetique de 'Paine et ne reconnaissaient comme criterium que la puissance de rindividualite, pretendant que loeuvre artistique ou litteraire est une fin en elle-meme et qu’elle repre-sente Tactiyite de rimagination creatrice sous un formę desinte-