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d’Ardenne ud rival redoutable. Vłnrent ensuite les « Pulcini (rien du compositeur de la « Vie de Bohóme i) ripleni qui sont des yolatiles rótis, tout k fałt sympathląues, et que l’on prósente dans un sarcophage de crodte de pur style pharaonique.
Pour rendre du cran aux conyiyes, on vous leur senrlt 1& de&sus des € Asparagi novelll » avec une śmoustillante Salsa Ravigote » d’allure blen móridionale. La glace ótait depuls longtemps rompue, saus doute, mała elle ćtalt tout de m§me Indispensable pour couronner ce monument de couleur locale. Elle triompha, fondante et yersicolore, sous les apparences de la « Fragole Melba », et l’on 6voqua les pampres de Biclle en dćgustant le ralsln blano des « Panleri d'Uva >.
que l’on puisse faire k une femme, c’est de lul dlre... qu'on yolt blen qu'elle ne porte que des bas « Mirellle >.
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C“ Belga-Amdr. da i'Acou*1leoa. 246, Ck. Ilaargti, Br
Quant aiuc rins, lis furent partlculierement mćmorables. Le « Caprl yecchio » du dśbut eut constituó une coquetterle dangereuse s’il n*y avalt eu, pour lul faire cortóge, la frai-ciieur doróe du « Monte c&rlo blanco » et la sombre opu-lence du e Chianti brolćo » et du « Ricasoli 1923 ». Vous pensez bien <?ae le « Spumanti i devait terminer la fóte, et Ton reconnut, sans se faire prier, qu'il suffisait k rem-placcr les toasts. Aussi blen, le plus beau des toasts avalt 6tó prononcć, sous la formę d*une llbatlon dans le godt tique. Un sommelier grave, avec des prćcautions reli-euses, offrit k chaque convive un yerre de a Marsala rio » de 1850, et ce fut, apres la dćgustatlon, 1’effusion e la gratitude envers ce yónćrable et bienfalsant ancótre. ette Italie, quel pays! se rśpćtaient les Liógeois attendris... et comme le marsala de 1850 est plus agrćable k avaler que rtains discours qui nous yiennent d’au delA des montsl
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76. rue de Brabant, Bnntelles.
Sa cutsine, aa cave de tout premier ordre.
M. ANDRE, Propriśtaire.
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Naturellement, nous avons toujours en Belgique le soin de critiquer tout ce qui se falt. Les expoaitlons sont vive-| ment prises k partie. A Lićge, on dlt des louangea d’An-vers et k Anvers, on chan te 1’esprit d’organisation des •Lićgeois.
Mais ceux-cl, ou plutót ceux qul ont fait le plan de la « Word’s Fair », ont yralment rató 1’occasion d’utiliser mpletement la Meuse dans le dócor du secteur Nord.
U aurait fallu que le fleuve passat en plein dans rśphó-6re et lumineuse cite.
Or dans l’exposition, une fois le pont de Coronmeuse Jfranchi. on ne voit plus la belle Meuse, trait d*union ratre les deux secteurs, chemin d’eau souhaltó dans beau-[coup de citós...
Mieux, on 1‘ignore presąue... et c’est malheureuŁ Pour-[tant, on pouvait au moins la montrer en inclinant le quai. [Au Parć de la Boverie, c*est autre chose, et 11 y a comme lun heuretuc rappel de 190511
66, rue du Marche-aux-Berbes, 66. Briuceiles PORCELAINES — ORFEYRERIE — OBJETS D’ART
Liege possćde depuls quelque temps des agents inter-prśtes.
La citó de Tchanchet a voulu se mettre tout k falt k la hauteur de la situation crśće par son expositlon.
On voit dans les rues du centre des poUciers munli d’un brassard aux couleurs liegeoises et omćes de lln-scription t Interpróte-Nederland-Deutsch > oq i English ».
C’est une manierę adroite d’introduire le blllnguisme, le trilingulsme dans cette forteresse franęalse. M. Jaspar doit en baver d'aise et se dire que les « Nederlandsch t des poUciers doit faire rugir les gens de 1’Action wal-lonne et des comltśs wallons! 11 InuUle de dlre que les Liógeois commencent dśjó k trał ter leure agents de < flaminds t, car tout qui paTle une langue śtrangóre est considćrś par le peuple comme 8'exprimant en flamand. C^est une vieille croyance tenacet
Au onzióme ótage du BBSIDBNCB PAŁACE Hestaurant de c La Pergola >
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chez yous, chez vos amis, en envoyant les Jolles fleurs «l corbeilles de Froutó, art floral, 27, avenue Louise, et rue des Colonles 20.
Llćge la franęalse contlnue k se mettre k la modę du Sud. Rue Gćrardrie, on trouve le cafó t Amon Marthe »; rue Lćopold, c Au MarOchal Foch •; au centre, on trouve les places de la Rćpublique Franęalse, du Marćchal Foch. Voici que dans une petite rue, pr^s de La Violette, vlent de 8'ouyrir un minuscule bistro qul s’intitule « Au Tigre » et en dessous « Cafó Clemenceau i. On n'oublle pas dans la citó de saint Lambert.
rue Antoine-Dansaert, 2. DISQUES ODEON.
4, Galerie de la Reine.
Les invitatlons k llnauguration de la section italienne k l^position de Lićge avaient ótó rśdigóes complótement en itaUen.
Un Journal llćgeołs bien connu pour ses sentiments wallons et son anticlćricaUsme, si l’on veut plus de prd-cision, rśpondit en wallon k rinvitation lui adressóe.
Et c'est le « planquet-rćdacteur » Delcheyalerie qul se dćplaęa.
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