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dc 1 ’ air
par cela nieme Pintensite de la eyaporation
augmente et, conime resultat de Paction simultanee et contraire
c*> 1
dc ces deux facteurs, nous obtenons une temperaturę un peu plus basse.
L
es
erences de 1 humidite relative de 1'air a la hauteur
dc 1 cm au-dessus de la plagę que j’ai observees, atteignent 7°/o sur un espace depassant a peine 1 m. Cette difference peut deja jouer un role considerable, s’il s'agit de son influence sur Pintensite de la yaporisation; il est facile de calculer d'apres la Lanie donnee par MlTSCHERLICH (1. c\, p. 150) que la chute du degre d'humidite dans les limites comparables a mes resultats (de 68,8 a 61°/o) amene une augmentation de la capacite de vaporisation qui peut etre evaluee enyiron a 22°/o. Si nous nous rappelons encore une fois la grandę chaleur latente de la
yaporisation de l’eau, nous comprendrons aisement, que ce pro-
%
cessus possede de grandes capacites refroidissantes.
Assurement, les
jnces distinctes dans les „microcli-
mats” des diverses zones du psammolittoral n'apparaissent net-tement que pendant une forte insolation et une complete accal-mie. 11 fant cependant faire remarquer, que la force des vents
nue considerablement a u fur et a mesure quc nous nous approchons du sol et les henr es d’accalmie regnant dans les couchcs les plus
les couchcs en eloignćes (Geiger, 1927, p, 76).
es clii sol sont plus frequentes, que dans
circon-
stance a pour conseąuence que ! aspect de la courbe thermiąue peut etre relativement assez slabie. Neanmoins, on pourrait tron\er ici tcuite une suitę de differentes yariations et Her plus etroitement la formę detaillee de difterentes courbes thermiques
a v e c
l'h
umi
i te relatiye de Pair et, peut-etre, avec cPautres fac
teurs meteorologiques. Le diagramme 5 (page 203) qui represente plusie u rs courbes des temperatures de Pinsolation, nous fournit quelques exemples de certaines differences concernant les de-
s
de 1
for
me
. Ainsi p. cx. les courbes 11 et 15 montrent
eur
une elev:
relatiyement graduelle dans la zonę yoisine de la
de Pean. Cela se ra
a u fait, que la limite clistincte
de Peau a ete remplacee par la zonę du. deferlement (comp. aussi les series 7 et 8 de la table 15). La courbe 15 ne montre point de baisse apres avoir atteinl son maximum, ce ciui deyrait
etre atlribue probablement a la
grandę
( >
humidiLe
g e n e r a 1 e d c