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60 LA CATHtDHALI

Maison Mgr Duparc

M. 1'Abbć Gucrc'h a fait ses adlcux k la Maison Mgr Duparc et prćsentć son successcur, M. l‘Abbć Jacob.

Lcs membres des dilTćrcnts Mouvcmcnts fćminins, Guidea, Gymnaslea de la Phalange, Amcs Yaillantcs, Jocisles, Etnployćes do maison, se sont retrouvćes lundi 28 Mars. It 21 heuros, \ la Maison Mgr Duparc, pour faire leurs adieu* łt leur aumónłer, M. 1‘abbć uucrc'h.

M. le chanoinc Courlet, curd-archiprćlro do Saint-Corentln, prdsidait celto róunion, entourć de M. lc chanoinc Bcllee, curd-doycn de Ploudal-rndzeau ; le R. P. Jaouon. do la Saleltc, prćdicateur de Cardmc & la Cathó-drale ; MM. los abbćs Guercli; Jacob, nouveau vicaire ; Urien, Coatanća, vicaires & la Cathódrale; Mme Corbel, prćsidenle de la Jeunesse Catholi-quo Fćminine.

M. l’abbó Guerc'h rappcla sca souvonirs des dóbuts de la Maison Mgr Duparc ot de la Phalange Pdminine qu’ll fonda.

II dit ses regrets de quitler celto maison et la paroisse Saint-Coron-iln. II romercia les dirigeantes du concóurs dćvoud qu'elles lui ont apporló au cours de son sdjour, souligna l'essor pris par les dilTćrents mouvemenls et forma des vooux pour leur ddvcloppcmonL

M. 1'abbó Jacob, nouvcau vicairo et nouvcl aumónłer do la Maison, oxprima sa volonl<$ de poUrsulvro l'<euvre dc 1'ahbd Guerc'h et d'y appor-ter tout son cceur.

Enfln, M. le Curó tira los conclusions do celto solrće.

La main dans la maln, lcs jcuncsfillcs chanlóront Ce n‘est qu'un nu reioir, puls reęurenl la binćdiction d'adieu de leur aumónior.

BlbIłothdque IParoissiale

15, ruc de Drcsl.

Ouverte : lundi, do 10 h. 30 A 11 h. 30 ;

mereredi, de 13 h. 30 ft 15 h. 30.

Nouvcaux livrcs.

Dynastie du rall, Taylor Aldwell. LUnlgmatU/ue Meunler, Mai. C. Carroll. Vłronlque Meernise, R. PcrlcL L’aube radlenie, Rona Randall.

Le Innips du mMte, Doussta Brgoz. Stule atec les Touaregs, M. L. Lddó. /.« sel de la Mer, R. Polsson.

Chlens perdus sans colHers, C. Ccsbon. Par delA PBst et rOuest, John NVu.

.Va captlvlU en Corie du Mord, P. Coydos.

Ourida, Delty.

Qul i allle de ritre, J. Mcirlcn.

U mc Igrę Intlslble chantalt, J. Dcmals. Im danie de DroctHandt, C. Vlrmonnc. Ingelorg, Corola. l/ange du sllence, S. Clausse. l/ombre de la mort, A. Narclssc.

Im melleure jurt, P. Salnt-Gil.

Hśoolle <1 ans la tallłe, M. Wtlsli.

J’ul lutli seule dans ce monde blanc, Martha Martin.

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cience

l-» coiifórcnct- qui s’est tenuc Ji Parls, au Pala i 8 do la Mutualitd, sur lo thfcme «.Miracles el religlon <levant la science ct devant Phis-toirc >, a rćuni plus dc 2.000 porsonncs.

I^e professeur Lhcrmille, de rAcadćnde de Mudecinc ct mcmbro du Comild Mtklical Intei-natioual do Lourdes, qui prćsidail le dćbat, 8'esl attacbó & dóftnir le sens du mol miracle.

Le confdroncier a nold ensuile que, *1 le phdnomdne scientiflque pcut ćtro rdpćtd el dire .soumis b expórlmentation, le propre du miracle est prdcisdmcnt d‘ólrc iinprć\i»iblo. unique ct non sujet rćpćti-lion et ii expćrimcntation. I* gudrison iniraculeuse, a dit cncoro lo professeur Llicrmitte, n’esl pas, comme cortains Pont prdtendu, uno gućrison nalurelle, mais accdldrćo, ello est on rdalitd un phduomdne en opposition formellc avcc lcs r&gles de Pespril ct dc la science.

Aprós avoir exposć plusieurs cas de gućrisons miraculeuses, qui somblcnt inconlcstablcs, lc professeur Lhermltte a inslstd encore une fois sur lcs caractdrcs esscntiellcmcnt rcligicux du miracle.

Dans son oxposć, lo docteur Assailly, ncuropsychologue, 8’cst effored dc inontror que si 1'eau dc Lourdes, sclon lcs cxamens baotdriologiąues, conticnt des germes microbiens, ccux-cl semblcnt, pour une raison inconnuo, avoir perdu leur pouvoir pathog&ne.

Kalin, lo cbanoino Clavel, prósidenl dc la Centrale catholiquo do Confdronccs, s’est attachó A siluer lc ddbat sur lc terrain proprement religioux ct a soulignd combicn Pattiludo du public ct des savants avait tholud en malióro do miracle depuis cent ans.

Uno miraculóe, Mmc Maltre, est vonuc dire comment cllc avalt dtć gudrie it I/>urdes. Quolques conlradicteurs, qui afllrmaicnt no pas croiro nux miracles, n‘ont apj>ortć nu com* des dćbats que des preuvcs inconsislantcs.

Evanglle de la Vlgile Pascale

(MolfMw, XXVIII, 1-7)

Apris lc sabbat, dis iaube du premier jour de la semaine, Marie-Madeleine et 1’autre Marie s'en furent au sipulere. Et voici qu’il y eut uh grand trcmblemcnt dc terre. Un ange du Seigneur en effet desccndit du ciel. ct s‘approehunt, il roula la pierre. II s’y tenait assis : on aurait dit un ćclair cl son r^tement ćlait comme dc la ncige. Les gardes ert furent frappćs /tćpoumnte et en deoinrent comme morts. U ange s‘adressa aux femmes: « Voujt au moinji. nc craii/nez point. Je sais que vous chcrchcz Jisus, qui a ćtć crucifić. II nest pas id: il est rcssusdti, comme il l’avait dit. Vencz voir, regardez l’endroit o ii il ful dóposć. Et allez vite dire d ses disciplcs, qu^fil est rcssusdtć et qu’il tious pricide en Galilic: Id-bas vous lc vcrrez. VoUfk ce que j’avais & vous dire.»