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2. ACTiyiTES

Parmi les tSches de la F6dśration mondiale pour la santć mentale figurent les suivantes : se tenir en rapports avec les associations membres et ser-vir leurs fins ; stimuler Pintćr&t portś aux activi-tćs des Institutions des Nations Unieś et la forma-tion de Commissions nationales oudeComitćpour 1'Unesco, l'OMS, etc. ; recueillir des renseigne-ments £ 1'intention des institutions et organisations dćpendant des Nations Unieś ; dćfendre la cause de la santć mentale au cours des rćunions du Conseil £conomique et social, de 1'Unesco, de l'OMS et d'autres institutions ; convoquer, dans Fintervalle de ses rćunions annuelles, des groupes de travail composćs de reprćsentants de diffćrentes spćcia-litćs ; envoyer des membres de son Bureau et de son Comitć ex6cutif dans diffćrents pays ; rćpondre aux demandes d'information venues de toutes les parties du monde ; assurer des ćchanges d'infor-mations et de publications entre les associations membres et d'autres intćressćs.

Les rćunions annuelles de la Fćdśration ont eu lieu dans les villes suivantes : Londres (1948), Genfcve (1949), Paris (1950), Mexico (1951), Bruxelles (1952), Vienne (1953), Toronto (1954), Istanbul (1955), Berlin (1956), Copenhague (1957), Vienne (1958). La rćunion de 1959 consacrće k : laplanification dans le domaine de la santć mentale s'est tenue k Barcelonę.

Le but principal des rćunions annuelles est de permettre aux membres de la Fćdśration de proceder k des ćchanges de vues et d'informations non seulement profitables pour eux-m£mes mais encore de naturę dfaciliter, en dćveloppant la coopćration Internationale, 1'action entreprise dans de nombreux pays,enfaveur delasantć mentale. Le programme de chaque rćunion est axć sur un thfcme propre k interesser k lafois les ressortissants du pays d'ac-cueil et ceux des autres pays reprćsentćs, de fa-ęon que chacun puisse faire part aux autres de ses observations et des difficultćs qu'il a rencontrćes. Des personnes qui, sans Gtre membres de la Fśdćra-tion, s^,int6ressent k sesobjectifs et k ses actiyitśs, peuvent Gtre invitćes k a6sister k ces rćunions.

La Fćdćration organise ćgalement des Congrfcs internat i on aux 6ur la santć mentale, mais k inter-vallesplus espacćs : unCongrfes a eulieu k Mexico en 1951, un autre k Toronto en 1954, etleprochain doit se tenir k Paris en 1961.

La Fćdśration publie une revue trimestrielle in-titulće World Mental Health qui a commencć k pa-raitre en 1949 sous le titre de Bulletin. Elle publie en outre unRapport annuel. (Ontrouvera k l'annexe 111 la listę de ses publications).

En 1952, la Fćdśration a śditć un Catalogue International des films relatifs k la santś mentale ; une ćdition revisće de cet ouvrage est en prśpa-ration et doit sortir en 1959.

Sur l'initiative de plusieurs membres du Comitć exścutif, des sous-comitćs pour 1'utilisation paci-fiąue de Pćnergie atomique se sont rćunis en 1956 et 1957 auDanemark et aux Etats-Unis d'Amćrique.

La Fćd^rations'est tenue enrapport avec 1'Unesco et 1’OMS, ainsiqu'avec laCommission intćrimaire de 1'Agence intemationale de 1'ćnergie atomique (puis avec cette Agence elle-m6me> au sujet des problfemes de santć mentale que soulfcve 1'utilisa-tion de plus en plus large de 1'ćnergie atomique.

En 1956 a eu lieu k Eastbourne (Angleterre) une Confśrence pour 1'ćtude des problfemes relatifs k 1’organisation des groupes de discussion et des petites confśrences. D'autre part, des rćunions se sont tenues sur imritation au si&ge de 1'Organi-sation des Nations Unieś, k New York, en 1955 (th£me : aspects sociaux de 1'assistance technique) en 1957 (thfeme : 1'urbanisation et ses effets sur la sant6 mentale) et en 1959 (thfcme : problfemes sociaux et de santć mentale qui se posent en Afrique).

La Fćdśration a, en outre, organisć, en colla-boration avec une ou plusieurs autres organisations non gouvernementales les confćrences ci-apr£s : avec 1'Association intemationale des uni-versitćs : la Confćrence d'experts pour 1'ćtude de la santć mentale des ćtudiants (Princeton, N. J. 1956) ; avec le Council of Christians and Jews (Royaume-Uni) et le Race Relations Committee de la Socićtć des Amis (Royaume-Uni), deux rću-nions restreintes de spćcialistes des problfcmes relatifs aux prćjugćs et k la discrimination (Londres, 1957-1958 et 1959) ; avec la Dotation Carnegie pour la paix intemationale une Confć-rence de directeurs des secrćtariats intematio-naux de 1'Organisation des Nations Unieś et d'autres institutions intergouvernementales, sur les relations humaines dans les administrations interna-tionales (La Tour de Peilz, Suisse, 1957 et 1958); avec 1'Union intemationale de protection de l'en-fance. l'Union intemationale des organismes familiarne, le Bureau international catholique de l'enfance et la Ligue intemationale pour l'ćduca-tion nouvelle, ainsi qu'avec le Bureau rćgional de l'OMS pour l'Afrique et la Commission de coo-pćration technique en Afrique au sud du Sahara, une Confśrence sur la santć mentale en Afrique (Bukavu, Congo belge, 1958) ; avec la Fćdśration mondiale des anciens combattants, 1'OIT, l'Uni-versitć de Helsinki et la Socićtć intemationale pour la protection des invalides , une Confćrence sur la rććducation des blessćs du cerveau (Helsinki 1958) ; enfin, avec le Bureau rćgional de l'OMS pour le Pacifique Occidental, 1'Asia Foundation. le National Family Life Workshop of the Philippines et la Philippine Mental Health Asso-ciation, un Stage d'6tudes sur la santć mentale et la vie familiale (Baguio, Philippines, 1958).

A la fin de 1956, la Fćdćration a invitć ses associations membres, dans le monde entier. k soutenir 1'action entreprise par 1'Association au-trichienne pour la santć mentale en vue de rćsoudre les problfcmes psychologiques des Hongrois rćfu-giśs en Autriche.

En 1957, la F6d6ration a annoneś qu'une Annśe mondiale de la santć mentale se tiendrait en 1960 afin d'encourager le dśveloppement et lacoordination

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