Theorie et histoire du cinema
Chaplin, Keaton et les comiques américains
-> Caracteristiques burlesques : reaction en chaine-> effet boule de neige / rapports aux objets.
Héritier de la pantomime et du clown de cirque, le burlesque (« slapstick »), visuel et gestuel, est typiquement le genre du muet. Les films burlesques sont souvent frénétiques, violents, basés sur la vitesse des gags et des acrobaties et la destruction en chaîne des décors ou des accessoires, notamment dans les productions Keystone de Mack Sennett. Le burlesque assure le succès du cinéma américain en Europe pendant la guerre et ouvre la voie aux autres genres. Le burlesque présente aussi un caractère anarchique ou révolté : il met en scène la revanche des faibles ou des pauvres sur la société. C’est typiquement le cas dans les films de Chaplin à ses débuts à la Keystone : son comique répond au modèle issu du cirque (gags acrobatiques, poursuites, bagarres...), mais Chaplin incarne aussi le pauvre hère, l’exploité qui prend sa revanche, et ce caractère social donnera une autre dimension à son comique.
Charles Chaplin est Anglais. Fils d’une famille pauvre d’acteurs de music-hall, il monte très jeune sur les planches. Il émigre aux USA début 1914 avec la compagnie de cirque dans laquelle il travaille et est immédiatement engagé par la Keystone. Il compose le personnage de Charlot en février 1914 (Kid’s Auto Races in Venice). Dès juin 1914 il devient son propre réalisateur et scénariste. Ses films connaissent un immense succès populaire international. Il passe à la Essanay en 1915 puis à la Mutual en 1916 où il devient son propre producteur. Il participe à l’effort de guerre avec Charlot soldat, 1918, année où il fait construire son propre studio et fonde sa propre compagnie de production, distribuée par la First National puis par United Artists. – Charles Chaplin : The Kid, 1921 (montré en cours)
->Chaplin travaille sur la profondeur de champ -> nouveau et rare a l'epoque
Chaplin est l’auteur complet : producteur, acteur, scénariste, réalisateur, monteur, compositeur de la musique… Contrairement aux autres acteurs burlesques américains qui sont rarement les « auteurs » de leurs films et qui sont sous la coupe des studios, Chaplin maîtrise très tôt sa carrière et ses productions. Cette indépendance artistique lui a permis d’imposer un film sans Charlot (L’opinion publique, A Woman of Paris, 1923), de prendre jusqu’à trois ans pour peaufiner chaque long métrage, et de résister à l’arrivée du parlant.
Le succès et la longévité du personnage et de la carrière de Chaplin tiennent aussi à l’environnement social dans lequel se déroulent ses récits et à l’humanisme profond de son regard sur ses personnages et sur le monde : ses films dépassent le burlesque par l’humanisme du propos et la prise en compte de la réalité sociale de son temps. D’autres thèmes ou genres s’ajoutent au comique : le mélodrame dans Le Cirque (The Circus, 1928) ou Les Lumières de la ville (City Lights, 1931), la paternité dans The Kid, l’amitié dans La Ruée vers l’or (The Gold Rush, 1925), la critique sociale dans Les Temps modernes (Modern Times, 1936)… Chaplin est aussi un artiste engagé : inquiété par le Maccarthysme il sera contraint de quitter les USA dans les années 50. City Lights
Buster Keaton (« Malec » en VF) est l’autre grand comique du cinéma muet américain : il est lui aussi un enfant de la balle, issu d’une famille d’acteurs de cabaret. Il est « l’homme qui ne rit jamais » : Keaton propose un burlesque presque à contre-emploi avec un personnage imperturbable, inexpressif, un peu lunaire et timide, mais aussi tenace face aux événements qui se liguent contre lui et l’entraînent parfois dans des catastrophes en chaîne. Keaton est connu pour ses acrobaties invraisemblables (« buster » signifie « casse-cou »). Il incarne le comique physique par excellence – un comique élégant et vivace à la gestuelle très précise – là où Chaplin incarne un comique affectif, plus psychologique.
– Buster Keaton : Seven chances (Les Fiancées en folie), 1925 (montré en cours) Keaton n’est pas le réalisateur de tous ses films, et il en perd peu à peu le contrôle, alors qu’il a un réel génie de la mise en scène (par exemple l’utilisation de la profondeur et du mouvement dans les scènes de poursuite en train du Mécano de la General, The General, 1926). Sa carrière sera brisée par l’arrivée du parlant.
-> Keaton joue avec son physique, ses gestes.
Harold Lloyd, Harry Langdon, Laurel & Hardy produits par Hal Roach – Charley Bowers…
L’autre producteur important du cinéma comique américain, concurrent direct de Mack Sennett, est Hal Roach. Il débute en produisant les films d’Harold Lloyd, puis produit Langdon et Laurel et Hardy, tous moins frénétiques que les burlesques de la Keystone.
– Safety Last (Monte là-dessus !), 1923 ; avec H. Lloyd [Hal Roach Studios ; real. : Fred C. Newmeyer et Sam Taylor] (montré en cours)
Harold Lloyd – « l’homme aux lunettes d’écailles » – représente l’employé-modèle typique des villes modernes. Maladroit et timide avec les femmes, il est cependant toujours plein d’entrain, de dynamisme et d’optimisme. Il se trouve entraîné dans des séries de catastrophes (Lloyd, comme Keaton, fait lui-même ses cascades). Il quitte les productions Hal Roach en 1923 pour créer sa propre compagnie en 1926, mais Lloyd est avant tout acteur et n’a co-réalisé que quelques uns de ses films.
-> Personnnag de lloyd plus realiste que chaplin et keaton
-> Acteurs et realisateurs pour Chaplin et Keaton, ils jouent dans leur films. # films pas realisé par Lloyd.
Harry Langdon joue un personnage comique lunaire, d’une timidité maladive. Passé par la Keystone avant d’entrer chez Hal Roach, il devient son propre producteur et confie la réalisation de ses films à des réalisateurs de talent, tel Frank Capra (Long Pants, 1926).
Stan Laurel et Oliver Hardy constituent le duo comique phare de la fin du muet et des débuts du parlant. Leur duo est basé sur le contraste des contraires : le gros et le petit, l’ingénieux et l’idiot... Leur carrière commune s’étend de 1921 à 1950 chez Hal Roach.
Charley Bowers (« Bricolo » en VF) incarne un inventeur farfelu et ses films, dont il est aussi le réalisateur, associent gags burlesques traditionnels et trucages, telle l’animation en image par image (stop- motion) comme dans Egged On (Pour épater les poules, 1926) ou son personnage invente une machine à rendre les œufs incassables (mais ceux-ci éclosent pendant le transport en voiture, donnant naissance à une portée de petites voitures qui circulent autour de lui)...
« Majors » et « Minors » : la domination des studios hollywoodiens pendant les années 20
Dans la production cinématographique américaine, les années 20 marquent la « victoire » des grands studios face aux indépendants (par exemple Griffith, Chaplin, Pickford et Fairbanks réunis dans United Artists en 1919). C’est la victoire des exploitants et des distributeurs (les patrons de réseaux de salles venus à la production) sur les « créatifs » (les réalisateurs ou acteurs venus à la production).
Pendant les années 20 émerge le système des studios tel qu’il sera a son apogée pendant le parlant et l’ « âge d’or » du cinéma classique hollywoodien, jusqu’aux années 60 : centralisation et spécialisation du travail dans les studios ; personnel sous contrat (acteurs, réalisateurs, scénaristes, techniciens) ; suprématie des genres… L’organisation de l’économie hollywoodienne repose sur la concentration verticale des moyens productifs : de la production (fabrication des films) jusqu’à l’exploitation (réseau de salles) en passant par la distribution (circulation des copies), tout le circuit économique appartient à quelques grands studios.
Deux futurs grands studios sont créés à la charnière des années 1910/1920 :
– la Warner Bros. des frères Warner, menés par Jack, immigrés d’origine russe, qui sont d’abord des exploitants (comme les frères Pathé), puis passent à la distribution, puis à la production : les Warner Bros. Studios sont créés en 1918 puis la Warner Bros. Pictures en 1923. La Warner devient une grosse compagnie de production quand elle fait le pari du son en 1927. Ce succès lui permettra de racheter la First National (une des plus grosses compagnies de production et distribution de films) en 1928.
– la MGM est créée en 1924 par la réunion de la Metro Pictures et des studios Samuel Goldwyn Pictures et Louis B. Mayer Productions. La MGM s’associe à la Loew’s, qui est le plus grand réseau de salles américain.
À la fin des années 20, une dizaine de sociétés se partagent l’essentiel de la production / distribution des films et les réseaux de salles (de manière géographique) : – trois « Majors », les « Big Three » (des sociétés de production / distribution avec de gros réseaux de salles = concentration verticale intégrée) : Paramount, MGM-Loew’s, First National – cinq « Minors », les « Little Five » (producteurs, distributeurs, ou producteurs / distributeurs, avec de petits réseaux de salles, souvent spécialisés dans la série B ou dans des genres particuliers) : Universal, Fox, Warner, Producers Distributing Corporation, Film Booking Office) – une société de taille intermédiaire : United Artists, surtout distributeur des prod. indépendantes.
Les films et les auteurs : ils répondent au système des genres (classification des films selon des critères stéréotypés, en fonction du type d’histoire, de personnages...) qui deviendra une caractéristique de l’industrie hollywoodienne. Le burlesque est un de ces genres, mais il disparaît presque à l’arrivée du parlant.
Le western est un des genres majeurs de cette industrie dès le muet. Il fait l’éloge des pionniers et de la construction des É.U. Le genre connaît déjà ses superproductions : La caravane vers l’Ouest de James Cruze (The Covered Wagon, 1923, produit par Jesse Lasky pour la Paramount), qui retrace l’histoire de pionniers traversant le pays. Son budget de 800.000 $ est énorme pour l’époque.
Raoul Walsh et John Ford, formés chez Griffith, tournent aussi des westerns, qui est le genre quasi exclusif de Ford dès 1917. Le cheval de fer, 1924, est un des grands films de Ford de l’époque sur la construction du chemin de fer. Le style de Ford s’affirme déjà : tournage en extérieurs (Monument Valley), ode aux paysages autant qu’à l’amitié entre des personnages aux caractères bien trempés et souvent pétris d’idéaux humanistes et patriotiques.
Le film à grand spectacle, récits bibliques et antiques trouve son maître avec Cecil B. De Mille qui fait une 1ère version des Dix commandements dès 1923.
Le film d’aventure a sa star : Douglas Fairbanks (le mari de Marie Pickford et cofondateur de United Artists). Il joue par exemple Robin des bois dans le film d’Allan Dwan de 1922. La star, incarnant souvent des personnages récurrents et stéréotypés, est un autre grand principe du cinéma classique hollywoodien en formation. En tant que star, Douglas Fairbanks a un tel succès et un tel pouvoir qu’il est son propre producteur. – Raoul Walsh : Le Voleur de Bagdad, 1924 [D. Fairbanks Pictures / United Artists] è bande-annonce : http://www.youtube.com/watch?v=g025-uGZTvo
La fresque sociale, souvent naturaliste et moraliste, est un genre mineur mais où se retrouvent les auteurs les plus exigeants d’Hollywood, parfois à la marge. C’est le cas d’Erich von Stroheim à la MGM, de 1919 à 1928. Il est un cinéaste et acteur à la vision baroque et sans concession sur la nature humaine : ses films souvent excessifs dépeignent les passions et les vices humains, parfois jusqu’au sordide. Ils sont esthétiquement novateurs (Stroheim utilise beaucoup la profondeur) et souvent coûteux, avec des décors somptueux. La carrière de Stroheim sera brisé par Hollywood (il réalise 9 longs-métrages, presque tous remontés par les studios, amputés ou non achevés, comme son dernier film, Queen Kelly, 1929, avec Gloria Swanson, star coproductrice du film qui en fit stopper le tournage). Il est un des « martyrs » du cinéma muet américain, comme Orson Welles le sera pour le parlant. A la fin du muet, la puissance des studios s’est complètement affirmée, avec les producteurs comme décideurs. – Erich von Stroheim : Greed (Les Rapaces), 1924 [MGM] è extrait (mariage) : http://youtu.be/qV2mZxf5YfQ | extrait (fin) : http://youtu.be/0ECZW9R16EY Fresque sur l’avarice, Greed décrit la violence des rapports humains viciés par le goût de l’argent. La scène du mariage de McTeague, homme rustre et violent, accumule une somme de détails cocasses sur les beaux parents, les enfants, le tissu flottant qui vient déranger le prêtre... Stroheim utilise le montage dans la profondeur du plan pour suggérer, par la comparaison entre le mariage et la procession funèbre qui passe dans la rue, le destin tragique de ce mariage.
Dans la même veine sociale, mais plus humaniste, deux films marquent par la fluidité de leur mise en scène l’apogée du cinéma muet hollywoodien avant l’arrivée du son : – King Vidor : The Crowd (La Foule), 1928 [MGM] è bande-annonce : http://youtu.be/UKsF1cJmNU4 Tourné en extérieurs à New York dans des conditions parfois proches du documentaire, La Foule fait le récit réaliste d’un homme ordinaire qui n’arrive pas à sortir du quotidien et de l’anonymat de la grande ville… Les plans d’ensemble de la masse des employés de bureaux ou le grand mouvement final dans la salle d’un cinéma inscrivent ainsi l’homme dans la foule. – F.W. Murnau : Sunrise : A Song Of Two Humans (L’Aurore), 1927 [Fox] è extrait : http://youtu.be/ajbheYmGX3k Drame intimiste racontant l’histoire d’un couple de paysans dont l’homme est séduit par une fille de la ville, le film reprend un des thèmes sociaux récurrents dans le cinéma américain de l’époque (l’attrait des grandes villes), figuré dans l’extrait par le trajet du couple de la campagne jusqu’à la ville (après que l’homme, pris de folie passionnelle, ait essayé de tuer sa femme).
La comédie au temps du muet trouve ses meilleures productions dans les comédies de mœurs sophistiquées et frivoles d’Ernst Lubitsch, cinéaste autrichien, qui a été un des premiers grands cinéastes de l’industrie allemande naissante à la fin des années 10, et qui est invité par Hollywood en 1923. Car pendant les années 20 et 30, Hollywood débauche les stars, les réalisateurs et les techniciens européens (les actrices Pola Negri, Greta Garbo ou Marlene Dietrich, les réalisateurs Stiller, Sjöström (Le Vent, 1928), Murnau… et plus tard Hitchcock).
7. 1919/1930 : les avants gardes europeenes.
1. L expressionisme allemand.
-> peinture cadrage aclairage maise en scene, decors... et metaphore politique
Le cinema allemand est crée de toutes piece durant la guerre. creé par l etat en 1917. Va creer une societé de production pour creer un cinema national, motiver les troupes -> C'est la l'Ufa.
EN 1918 est construit les studios de Bablesberg dans la banlieu de Berlin (plus grands studios pendant des années)
Va rivaliser avec hollywood et va depasser le cinema franais.
EN quelque année le cinema allemand devient une vrai industrie cinematographique.
Caracteristiques :
1ere tendance
Le film qui va incarner cet apparation de l expressionisme allemand : Robert wiene "le cabinet du docteur Caligari" 1919 -> Caligariste. Le caligarisme est un expressionisme tres excessifs -> les decors sont peinds dans l esprit de la peinture expressioniste. Jeu d acteur tres theatrales, tres automates. Les scenaristes veulent traduire un monde fou, font un panfler contre l autorité. Expressionisme allemand : Traduire la folie du monde, traduire un pouvoir devenu meurtrier par un decors, par un jeu devenu lui aussi fou.
Films deviennent plus expressionistes, ne se limite pas au domaine de la peinture, du theatre...
F. Murnau "Nosferatu" -> film qui caraterise cette expressionisme. Murnau joue sur les ombres. Ombre du vampire qu monte les escaliers, l ombre de la main qui se saisit du coeur metaphoriquement habillée en blanc. Evaporation du vampire.
Vont inventer une grande quantité technique d effets speciaux.
2eme tendance
Essaye de faire du fantistque qui part du naturel.
Dans les années 20, le grand genre est le cineam fantastique et le cinema legendaire.-> 2 films en 21 et 22 de Fritz Lang autour de Mabuse
AUtre caracteristique de l expressionisme allemand -> jeu sur le noir et le blanc, opposition de la lumiere et de l ombre -> represente souvent la lutte du bien et du mal. trait constant de ce cinema -> les films des années 20 mettent en scene la lutte de l etre humain contre des forces qui le depace.
3eme tendance: Kammerspielfilm
Vient du theatre, drame intimes, sociaux, peu de personnages, decors reduits...
"Le dernier des hommes" Murnau 1924
Le cinema allemand ne fait que traduire ce qui se passe dans la société allemande. Le film est une facon de critiquer, d exorciser ce qui passe dans ce pays.
Fritzlang est le plus a l ecoute de ce qui se passe dans la société. Va se tourner vers le film policier -> un de ses genres de predilections
"Metropolis" Fritzlang -> metaphore du climat social en allemagne.
"M" Fritzlang. -> film policier.
Fritzlang s est illustré avec le docteur Mabuse.
"Le testament du docteur Mabuse" Fritzlang 1933
Mabuse est une metaphore d hitler -> film interdit en allemagne.
Consequence de la maontée du nazisme -> va envoyer des cineastes de l autre coté de l atlantique.
2. L'avant garde et le cinema francais
C'est en allemagne qu on voit apparaitre le premier film abstrait
Hans Richter 1921 -> film formaliste qui joue sur les rythmes, les formes simples.
Plusieurs peintres s essaient au cinema.
Apparait en france. Une partie du cienam francais de années 20 se veut tres artistiques.
3 phases d avant garde successivent :
- l impressionisme par opposition de l expressionisme allemand. ELle est mené par de jeunes cineastes qui viennent de la critique car naissance des premieres revues. Louis Delluc. -> premier critique de cinema, invente les cine club, invente le mot cineaste, est le premier a utiliser le mot avant garde pour le cinea;
Periode ou on commence a se dire que le cinema est un art. Cinema plus naturel et realiste. Cinema avec beaucoup plus d'effets. On s interesse a la representation des pensées.
"La roue" Abel Gance 1923 -> tragedie sociale. Se passe dans le milieu des cheminaux. Invente le montage acceleré. -> plans de plus en plus court, montage qui s accelere, pour traduire la vitesse.
-2eme avant garde : Avant garde menée par les artistes. Photographe et peintre qui passent a la realisation.
Man Ray (photographe) "retour a la raison" 1923 -> le mouvement interesse Man RAy, les effets visuels l interessent. Va inventer le rayogramme. Film projeté pour une soirée de nanariste. Se veut un art anti art.
PLusieurs films qui sont soit des films d artiste soit des films de cineaste a l ecoute de ce qu il se passe dans le monde de l art.
- 3eme avant garde : avant garde surrealiste.
Salvador Dali / Luis Bunuel : Un chien Andalou 1929 /" l age d or" 1930.
-> joue sur l effet scandaleu que produisent les images. Aspects provoquant. L'age d or interdit et un chien andalou a failli etre interdit. Films qui scandalisent une societé.