196 Traraui do Thćońe doa Nombn*
de cas oii p<»ur p premier Paddition de 1’unitó au nombre triangulaire d’ordre p, rcspoetivcment la soustraction du nombre 2 donnę un nombre premier, par exemple f,4-l - 7, 1,4-1 — 29, ih— 2 = 13. Nous dćduinms de 1’hypothtoe H les consćqucnce8 C4., et 04<ł suivantes:
C4J. II eriate une infiniU de nombrea premiera p Ula que $p(j»4-l)4-l eat un nombre premier.
Dćmonstration de Pimplication C4-»C4*. Posons, dans C4, u = b «= i, c — d = 2. Le nombre 6*— \ac = — 7 n’est pas un carrć. L’ćquation x*4-x4-2 = 2y admet la solution xp — —1, y, = 1 qui remplit la condition (x,y#, Gad) «* 1, et la proposition C4-l rćsulte iinmćdiatcment de C4.
CM. II exiate une infiniU de nombres premiera p tela que le nombre lP(P+1)—2 eat premier.
Dćmonstration «le riniplieation C4-»C4J. Posons, dans C4, <1 = 6=1, c — — 4, d = 2. Le nombre b*— 4ae « 17 n’est pas un carri. L’ćquation x*4-x— 4 ■■ 2y admet la solution x, «■ 1, y0= —1, telle que (x,y„,6ad) = 1, donc C4 entraine immódiatement C4>a.
C4-4. La auite o(n) (»=1,2,...) conlient une infinitó de nombrea premiera.
Dćmonstration de Pimplication C4-*C44. Posons, dans C4, a «= b =b c = d = 1. Lu nombre ft*—— 3 n’est pas un carrć. L’ćquation x*4-*4- 1 =* y admet la solution x* — — 1, y# = 1, od (x#y0, Gad) = 1, et, comme pour p premiera on a a{p*) = pt+p-\-l, C4 entraine la proposition CM.
C». Tout nombre naturel pruł etre reprłaenU <Tune infiniU de manierea aoua la formę e(x)— «r(y) (o« x et y ront den nombrea naturela).
Dćmonstration de Pimplication II-♦C$. Si n est pair, il existe, d’aprćs C,.,, une infinitć de nomłires premiera p et q tels que p—q= «, d’oii <r(p) — o(q) = (j>4-l)— (ę-f-1) «= n. Or, si n est impair, posons, dans C4, a» d= 1, <?=«. Le nombre 6*— iae — 1— 4n < 0 n’cst pas un carrć. Si 3|n, alore, »i ćtant impair, on a (n 4-2, 6) = 1 et pour x, = 1, y#=i»4-2 on a xj4-x4-n=«y# et (x*y , Gad) = (n4-2, 6) = 1. Si 1’on n’a pas 3|n, alors (n, 6) *= 1 et pour x = —1, y, => n on trouve xj4-x04r 4-n»y0 et (x0y#, Gad) = ( — n, 6) =* 1. IPaprćs C4 il existe donc une infinitó de nombres premiera p et q tels que p*4 p4-w = ę, d'oii
a(q)—a(pi) = ę4-l—(p*-f p-H) -- g_p«_p = n .
On a donc H-*C4.
U est a remanjuer quc pour la fonctiou <p la proposition analojrne sl C* est fausse, car on pout dćmontrer d’une faęon ćlćmentaire qu’aucun des nombres 2*7“—1 (»■» 1,2,...) n’est de la formę y>(x)‘—y(y), mais, comnu- pour p ct q premier* on a v(p)—<p(q) = p—q, on dćduit <lc C,., que tout nombre pair est de la formę y>(x)—ę>(y).
C"4. n itant un nombre impair >1, k un enlier don ni ąueloonąue qui «Vif JKU une puisaance <fun eniier a Vexpoaant d> 1 et d|n, il exiate une infiniti de nombrea premiera de la formę x*-fłr, ou x eat un nombre naturel (pour n = 3 cf. Hardy et Littlewood [10], p. 50, Conjeeture K). Si, en outre k eat pair, il existe une infiniti de nombrea premiera p tria que pH+k eat un nombre premier.
Dćmonstration dc Pimplication H-»Cy. n Mant un nombre impair ct k n’ćtant pas une puissancc d’un enticr a l’exposant d > 1 et d|n, le polynóme f(x) = x,*-+k OBt irrćdnctible. Or, on a (/x(0),/,(l)) = {k,k+1)*= 1 et on dćduit de U la premierę partie dc 0,. Si k est pair, alors, en posant ft(x) = x ou a (/,(—1 )/,< — 1),/»< 1)/.(!)) «= (*—1,*+1)— 1 la condition S est encore rcmplic ct H entraine la dcuxićmc partie de G,.
II est ii remarąuer que saus 1’aide de 1’hypothćse II nous no savons dćmontrer menie pas Pexistence d’une infinitć de nombres premiera de la formę x*+y*-ł-c\ oii x, y et z sont des entiera. On sait cependant dćmontrer (sans Paidc dc Phypothćsc H) l’existence d’une infinitć dc nom-lires premiera de la formę x*-f- l* oi» x, y, s, t sont des entiera:
tels sont, par exemple, tous les nombres de la formę 9Jt±l.
C,. 11 eriaie une infiniti de nombrea nafurela n tela que ehacun dea nombrea «, n-fl, n-f 2 eat le produit de deux nombrea premiera diatineta.
Dćmonstration de Pimplication H-*CT. Soit /,(*)—10x-fl, /,(x)= 15x+2, /»(x) = 6x+1. On a ici a ~ /,(0)/,(0)/,(0) = 2 et 6 =*/»<1)/«(1)A<1) — 11-17-7, donc (<*,&) = 1 ct il rćsulto de H qu’il « xiste une infinitć de nombres naturels x tels quc les nombres p 10x-f 1, q= !5x+2, r=6x+l sont premiera. Ponr n ■= 3p on trouve n+1 = 3p+l = 2(16x+2)= 2q, n + 2 = 2f-+ 1 = 30x-f 5 ■= 5(6x+1) = 5r et p > 11 >3, qp 17 >2, r > 7 >5, d’oi» il rćsulte que cbacun des nombres w, w + J, n + 2 est le produit dc denx nombres distinets. De CT rćsulte tout de suitę lVxistence d’une infinitć de nombres naturels n tels que les nombres «, n4-1 ct n-+2 ont le menie nombre de diviseurs.
Or, il n*existc pas quatre nombres naturels consćcutifs dont cbacun serait le produit dc nombres premiera distinets, un de ces nombres ćtant toujoura divisible par 4.
C|. U eriate pour tout nombre naturel a un nombre naturel mt tel que rhacune dea łąuationa y(x) *= w, et o(x) = m, a plua de a aolutiona. (Ce problćrac a ćtć pość par P. Erdos).
Dćmonst ration de Pimplication H -*C$. Posons/*(x) = 2łx-t-l et y.(x) - 2‘x-l (i - 0,1,..., 2*-+l).
Comme /#(0)/1(0).../M+l(0)y,(0)...yIJ+ł(0) - 1, les polynómes /« et gi (i = 0,1,2,..., 2s-f 1) satisfont a la condition S et d’aprćs H, il existe