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chander avec les Dieux), les hommes peuvent parfois obtenir des services des plus grands etres sumaturels comme les Sei-gneurs de la Loi ou du Chaos.

Le monde a et6 Ckv j partii de 1’ćtoffe meme du Chaos, son e~sence y est donc encore suffisamment presente pour permet-ti, ia pratique de la magie, mais non sans grandę difflculte. En effei. les Seigneurs du Chaos furent bannis du plan des Jeunes Royaumes, probablement a l'epoque d’Aubec. ci ii failut

qu*Elric invoqufit Ariocli pourqu'ilspuissent regagner faccćs k ce plan, aprćs plusieurs milliers d’annees.

[5.2.1]    LES IMPERATIFS DE LA MAGIE_

La pratique de la sorcellerie exige une rare intelligence et une puissanle volonle eapable de se faire obćir cles creatures surnaturelles. Aussi son usage est restreint aux personnages dont le total en INT et POL! est superieur ou ćgal a 32.

[5.2.1.1] LUNT LIBRĘ

Tous les soreiers (et uniąuement les sorciers) possćdent une caraeteristique appelće INT Librę, Celle-ci est egaleśH l’TNTdu sorcier et diminue au fur et a me surę que ce demier gagne en puissance. LTNT librę reprćsente la faculte que possede le sorcier k mćmoriser les invocai:ions nćcessaire: a la conjura-tion des dćmons et autres elementaires.

A chaque fois que le sorcier apprendra a invoquer une nouvel!e entitć magique, son I n f librę diminue en conse-quence. Tous les types d'elementaircs (Salamandrę. On-dine_f Gnomę, Sylphe) cofltent un point d'1NT librę, les dćmons coOtent un point dMNT librę par tranche de 50 ponts de Valcur Chaotique (voir le paragraphe [5.6.1] Va-leur Chaotiquc des dćmons). Quand le sorcier invoque pour la premiere fois un nom au type d’entite magique. non cout est retiu de ITNT librę du sorcier ou de celle de son gri-moire. Le sorcier peut alors noter sur sa feuille de person-nage le nom du nouveau dćmon ou du nouvcau type d’ćlćmeniaire qu‘il peut k prćsent invoquer.

Une foi rinvocation d^łun d( mon m moris :e. le )rci * n • peul pas 1’oublier naturellement. II ne s'agit pas de retenir ou

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d’oublier une table d'addilion en Haut MeLnibonćen. Appren-dre une invocation fait autant appel k la partie consciente du sorcier qu^ł& sa panie inconsciente, ses reves, ses phantasmes et meme son dme "immortelle" qui en sera k jamais marquee. Nul,quel que soit sa puissance, ne peul remodeler par saseule vdontć cette partie de iui meme,

Un sorcier peut "augmenter" son INT librę par le biais de livres particuliers appelćs grimoires od ii consigne le savoir

nćcessaire k l’invocation d’entite magique. Lorsque I’LNT librę d’un sorcier atteint zero, il doit alors consignerdans un gri-moire les invocations des nouvelles crćatures qu’il dćsire conjurer.

[5.2.1.2] LES GRIMOIRES

les sorciers peuvent uriliser des livros trćs particuliers ap-peles grimoires. Ces livres esoterique$ oni plusieurs possihi-1 itós qui les aident dans leurs invocations d^!entites magiques. La plupart des sorciers crćent leurs propres grimoires afin d'y consigner leursavoiren demonologie. Les grimoires contien-nent la description du processus d^Jinvocation durne ou plusieurs eniitćs magiauc.

Ce lype de grim nre est generalemenl achete vierge par le sorcier qui le remplit au fur et k mesure. Un rei grimoire coGte 500 GB par point d'INT librę qu⁷il peut contenir. Ce coflt eomprend au j 1‘achar dt > encres et des foumitures spćciales destmees a son ecriture. Son ćcriture demande au sorcier une semainede travail par point dTNT du grimoire. Seuls des sorciers peuvcnt rediger dc grimoires.

La premiere utilite d^Tun grimoire est de permettre au sorcier de dep^ł    sa lim i te d'lNT librę. Chaque grimoire Iui ajoute

un eertain nomt,, ' points d^łINT librę.

Certainssc. . . J couvrem ouvolent meme des grimoires. Dansce j l'n icat peut non seulcment invoquer lesentitćs magiques qu: ^ij: ni decrites mais de plus, si le createur du grimoire etaii plus u mtueux que son nouveau proprićtaire, ce demierpeut 'n *m r a son profit ce talent. L’invocation se ti u s loi    ii> ur ;entage que poss^.daii le sorcier

auteur du grin ii c 1    > de .^on ćcrilure. Cette compćteix:e ac-

crue ne porte que ir ‘ demons decrit dans le grimoire en question.

Un sorcier i jc< \ . X un grimoire qui dćcrit des demons peut tenterde l( ^; v r, quelquesoit leurValeurChaotique ( voir le paragra] ■ iAIJ Valeurs Chaotiques des demons) et du moment quc . | . nnage possćde une compćtence en invocation. Un l L;ouvmnt un grimoire doit savoir lirę la langue dans I * il a ćtć ćcrite (Haut Melnibonćen, Mabden, Orgieⁿ ..); / i t.v 1’utiliser.

L n sorcier ne *ut ^ nsigner dans un grimoire dom il n'est pas 1'auteu_■ le nouvelles entitćs. Les dćmons prć-sentesdansc i mm ires devront etre conęus par le maT-tre de jeu.

Un i ^rcier qui utilij un grimoire pour invoquer un dćmon ou un ćl mentaire doit porter tout: son attention au bon dć-roulement de la conjuration. La moindre distraction compro-mettra toute I'entreprise. _m

Utilisez la feuille de grimoire pourconserver les caracteris-tiques (INTlibrę, description des entitćs magique$presentćes, compćtence en invocation de 1’auteur) des livres ćcrirs ou de-couverts par vos joueurs

Exemple :

Phelyass Phylistres_t le sorcier de 1'aube. comme se de-nomme Iui menie ce pretentieu.r a reussi d voler dans les cryptes du tempie de Ve~han d Llwher un antiąueparchemin, dćja jauni et craquele lorsque Melnibonće re nait sans par-tage sur le monde connu. Apr&s s' etre debarrasse du grossier reprhentant d'une guilde de roleurs et autresfaineants osant rćclamer une remuneration hien au-de Id de leur insignifiante contribution a ce vol, Phłiyass commence a lirę /'incantation contenue dans le grimoire.

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