/U Qua Ul et tc<tmo<cqjc dc transformation
Ceoencant. la difficulte de oisposer de actoferrine cameline purc su' e maithć - pour palfier l abserce d une metboce f?p<de de dosagc pcrsiste. Des cssais dlsolement de Id tcctoferrif^ oar Ch^omatograohc d'affinite (sur $upDO't hńparine seohowc) ct cHrurnatcgrapbie onteracbon hydrophobe (Sur support Butyl Toyopcarl 650 M), pour obtcnr les anticorps dc anti-LF anti-chameilo. ont etć cffectućs 'Konuspaye*^, 2003). Ocs tcchniques p4us rapldes et peu coutcus«, commc b spektrometrie dans Ic prochc infrorouge pour doser la LF sont ó letude.
7.5.2 Lysozyme
Le lysozyme est une proteinę naureliement presente cans les laits de mammiferes ou il represente un facteur antimicrobien puissant. Le lysozyme contient une chaine polypeptlaique cle 129ac>des aminćs, dvUL ur puid*. ntoleu/ldiru d\*iiviion *4kDa. Oans le miheu physiolcgtgue, le lysozyme est charqe po$itverent, son pHI etant romprk entre 10,5et 11 (alralm) le lysozyme se lir* en rnnseg lenre #*<t rostttiqi*mcnt sur les surfaces aoiomquos des bactćncs
Les bacteriesgram-negatif scrtplus resistantes au lysozyme car e>lescohtiennent une membranę externe de 1’popoiysaccharide, qut peut proteger les bacteries con:re 1'acces du lysozyme. En revanche. les oact^nes. tedes que Staphyloccccus aureus, StapnytocokcJslentusłStoohylcxoccu>epłdermK.5trepto<occusmutansłStreptococci« sanguis. Actmomyces ^iscosus, LactobaciMus casei, tactobacillus pamarum, Fusooacterlum nucłeatum. Secratia marcescens, Micrococcus uteus. Salmonela typhimurium. BaciHus subtills, Bacillus cereus, Baclllus stearothe^mophilus, Clostndum perfrlogens. Clostridium tyrobutyricum, Llsteria monocytogcnes, Pasteurella pseudotubercuosis, Yersinia enterocolitica, Bordcllo bronchiscptKd. Bacteroides fragilis, Capnocytophaga gngwali* Helicobacter oylori, les le/ures, telles que Candida krusei, Candida parapsiłosls, Candida albicans, Cand.da glabrata, et le virus Herpes stmp*coc son: scnsłbles au lysozyme.
La quantit$ de lysozyme dans le lait de chamelie est plus *levtfe que dans le latt de vache. iSpglOOmM contrę 7pglODml*i l'activltć en?ymdtlque du lysozyme du Lalt de chamel e est śc^ement plus forte quc celle de la vache, małs plus falble que ce le ce Tceuf (Elagamy et al.a 1996). Tout commc la lactoferrine de cettc osoćce, le lyso/yme du lali de rhamelle est thermortsfstant. A B5 #C pendant lOmiiiules, le lysuzyun: du lait de charrelle ne represente plus que AA pour cent dc la valeur initiale, contrę 26 pour cent pour le lait de vache et ’S pourcent pour le lait ce bufflesse dans 'es memes condltłor.s (Elagamy, 2000).
7.5.3 Imm jnoglob jlines
i es igG jouent un rOie dans 'e systemc immunitaiie chez les nouvcau nćs. Lc toux des immijnoglob.jlm#* *st trec 7*U*ve dans lc cclostrum chcz tous les mammrfćrcs. repenctont. ta concentration dlmmunogtobu'lnes dans le lait varic sclon les espfcccs concernees.
Irois classes fonctionnc ics cflgG son: dćflnics chcz lc drorrodairc: Igi. qu» est composee de deux chaines 'egeres identiąues et ce deux chalnes lourdes comme dans les autres IgG, II existe donc deux autres Isotopes. Ce qul est remarquable,