EPARGNE MONETAIRE (en milliards de francs) (1)
Augmentation en un an
Sept. 51 |
Mars 52 |
670 |
707 |
413 |
439 |
71 |
92 |
1.154 |
1.238 |
+ 84 |
169 |
Sept. 52 |
Variation annuelle |
766 |
+ 14,5% |
463 |
+ 12 % |
94 |
+32 % |
1.323 |
+ 14,6% |
+85 |
- |
Depóts dans les caisses
d^pargne (2) ......
Bons du Tresor (3) et de la Defense natio-
nale ................
Depóts a ścheance dans les banąues ........
Totaux ..........
4) La Banąue de France
Dans 1’ensemble des credits consentls a 1’economie, la part revenant a la Banąue de France est supćrieure a celle des autres banąues. A lui seul, le poste des effets escomptes sur la France a progressć d’un peu plus de 50 % en un an et le poste de mobilisatlon des crćdits a moyen terme a plus que doublś.
Aux mois d’octobre et de novembre, les demandes du credit de Teconomie se rćduisaient. Aussi etaient-ils beaucoup plus facilement accordes, si les banąues estimaicnt les garanties suffisantes. Dans 1’ensemble, on constatalt une tendance des banąues rcprendre une mentalite d’avant guerre.
Nous publierons dans le prochain numero :
— L’evólution immediate de la conjoncture (ce qui permettra deja de comparer les premi&res constatations effectives avec les prćvisions du rapport).
— Les prćuisions sur le deueloppement a long terme de Veconomie jrarc-ęaise.
(1) A l'exclusion de 1’śpargne invcstie par rintermćdiaire de compagnies d’assurances sur la vie.
(2) Non compris les intśrets capitalisćs de la Caisse nationale.
(3) Emis dans le public, ó l’exception de ceux souscrits par les banąues. •