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*    1945

CHIMIE BIOLOGIOUE

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dans le muscle et une dimjnution parallćle de celui de P facilement hydrolysablo, 4 tandis que ce phćnomćne n’a pas lieu chez lcs animaux en anoxćmie. Aucune modifi-cation simultanće du taux du ęlycogćne musculaire. Dans le foie, glycogćnogćnćse intense aprćs injection de glucose (de 0,1-0,2 0/0 5 1 0/0 en 3 heures aprćs 0,5 g glucose) et diminution de P minćral et cela que les animaux soient ou non en anoxćmie; toute-1’ fois le phćnomćne est moins important dans ce dernier cas. La formation de glycogćne 5 partir d’acido aminć est plus didioilc en anoxćmie.

Effet de la vitesse d'absorption du glucose siu* les phosphates dans la mu-ąuouse intestinale; Eller J. J., Stock-holm M. et Althausen T. L. (J. biol. Chem., 1940, 134, 283-292). — Les rćsultats obtenus ne confirment ni nMnflrment Fhypo-thćse suivant laąuelle la phosphorylation •4* est un processus en rapport avec Fabsorption sćlective de certa ins hexoses.

Teneur en glycogćne, en lipides et en eau du foie de Gobayo; Mardle A., Graf--t" flin A. L. et Smith R. M. (J. biol. Chem., 1940, 134, 253-260). — Les teneurs en glycogćne (4 5 9 0/0) en lipides (2 5 4 0/0) to* et en eau (70 5 75 0/0) ont ćtć dćterminćes " i dans le foie de Cobayes adultes normalement nourris. On ne constate aucune diffćrence .•*».    5 9 heures du matin ou 5 3 heures de 1’aprćs-

midi.

IFł:    * Sur le dosage ąuantitatif des sucres

rade rćductours; Philipson T. (Ark Kemi, min. ihm geol., 1943,169, n° 22, 1-19). — Modification it' dc la mćthode de Bertrand (dosage de 0,4 y tr b 0,40 mg) en vue de Papplication a la physio-logie vćgćtale et de 1’obtention de rćsultats eact plus prćcis. iśrsT

cseut * Glycolyee et fermentation du sang total desujets normaux et dediabetiques ;

Dumazert C. et Detieux M. L. (C. R. Sec. as Biol., 1943, 137, 452-453). — £volution j,»»> de la formation cFalcool et d’acide lactique --Ii 5 partir de globules laqućs, en prćsencc de levure de bićre, en fonction de c en glucose.

La teneur du sang en glycogćne;

Brummbr P. (Acla med. scand., 1943, 114, n° 4-5, 373-378). — Cette teneur est normalement trćs faible: 2 5 3 mg 0/0. Le glucose ,    °’^J Hnsuline injectćs ne la font pas varier

_m sensiblement. Si elle s*ćlćve notableinenl dans la pneumonic, c’est sans doute plutót . le fait des polysaccharides bactćriens que 3 k‘ du glycogćne lui-meme.

Le glucose dans la thćrapeutique hćpatiąue; Elert R. (Med. Klin., 1943, 39, 374-377). — lllogisme de Fadininistration rectale du glucose, en raison de 1'absence de phosphatase dans le cólon. Róle jouć par 1’adrćnaline, Hnsuline et la cortico-surrćnale dans la misę en rćserve et la mobilisation du glycogćne du foie.

Dosages comparatifs de la teneur en acide pyruvique des sangs veineux et capillairos chez 1'Homnie; Schmidt H. W. (Klin. W och., 1943, 22, 489-491). — Le sang capillaire est presque toujours (5 jefln ou aprćs repas) plus riche cn acide pyruvique que ie sang veineux.

•    Ćvolution de la glycćmie dans le choc traumatiąue expśrimental chez le Chien privó de ses glandes modullo-surrćnales; Jourdan F., 1.aflaquićke J. et Maitre P. (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 477-478). — I.’hyperglycćmie notable qui accompagnc l’6tat de choc traumatique chez le Chien chloralosć devient inconstante aprćs l'exclusion des glandes adrćnalinogćnes.

•    Ćtudes relatives au glycogćne hćpa-tiqfuo, 5 la glycćmie et k 1’hypophysecto-mie; HillB. T. (Anat. Rec., 1911,79, Suppl., n° 2, 32). — Chez le Cohaye hypophvsec-tomisć, la glycćmie est profondćment trou-blće; 1’administration d’cestrogćnes cause des Ićsions supplćmentaires et provoque la mort; le glycogćne hćpatique ne varie pas dans les mćmes proportions que le sucre sanguin.

•    Effets produits par les hormones sexuelles sur les glandes endocrines et le mótaboli8me des glucides chez le Rat;

Janes R. G. (Anat. Rec., 1941, 79, Suppl., n° 2, 34-35). — Des sćries de Rats ont reęu respectivemcnt 2 mę de testostćrone, 0,1 mg d’oestradiol, 50 y de stilboestrol. Examen des organes gćnitaux, des testicules, de l'hypophyse, des surrćnales et du thymus.

•    L'acide pyruvique. Son intćrćt en clinitjue; Paraf A. (Pr. mid., 1943, 51, 543-544). — Rcvue: intćrćt du dosage de 1’acide pyruvique dans le sang et dans Furine che?? les sujets atteints d’hypovita-minose B,.

•    Troubles de la glyco-rćgulation chez les sujets en ótat de dćnutrition; Gou-nelle H., Marche J. et Baciiet M. (C. R. Soc. Biol., 1942, 136, 725-726). — Les ano-malics constatćcs seraient dćtcrminćes vrai-semblablement par un trouble endocrinien, notamment hypophysaire.

Relations entre les glucides, chez le Rat; Gubst M. M., Scott E. L., Mc Bridge J. J. (Am. J. Physiol., 1941,133, 307-308).— Chez les Rats 5 jeun, lc log. de la conc. du glycogćne hćpatique varie proportionnelle-ment 5 c du sucre sanguin. Pour une glycćmie de 50 5 100 mg 0/0, c du glycogćne musculairc ne varie pas; au-dessus, il y a misę en rćserve du glycogćne. Ces rapports ccssent d’exister lorsqua 1’animal est ali-mentć.

LIPIDES STfiROLS.

Influence des modifications du rćgime sur le mćtabolisme des lipides; Enten-man C., Changus G. W., Gibbs G. E. et Chaikoff I. L. (J. biol. Chem., 1940, 134, 59-70). — Les variations, dans le sang, des taux de cholestćrol, d’acides gras et de phospholipides, sont ćtudićes pendant une pćriode aigue de dićte durant laąuelle toutes les substances alimentaires, 5 Fexcept.ion des sels et des vitamines sont supprimćes: cette pćriode de dićte durant de 4 5 30 jours. La meme ćtude est faite pendant une pćriode de sous-alimentation amenant une sćvćre rćduction des calories, cette pćriode s'ćtcn-dant sur 16 5 18 semaines. Des diminutions des taux des lipides du sang n'apparai6sent que lorsąue la sous-alimentation est assez prolongće pour produire une baisse notable du poids corporel.

Vitosse do transformation des phospholipides dans les reins et le foie; Sinclair R. G. (J. biol. Chem., 1940,134, 71-82). — Cette vitesse, mesurće 5 Faide de 1’acide ćlaldiąue, s'est montrće comparativement faible. Aprćs 3 jours d’ingestion continue d’ćlaldine, la fixation de 1’acide ćlaldiąue par les phospholipides des reins est de 60 0/0 seuleraent. On estimo que la transformation serait de 90 0/0 5 la fln d’une semaine. La transformation des phospholipides du foie est rapide. La fixation maximum de 1’acide ćlaldiąue par les phospholipides du foie se produit dćs 18 heures aprćs leur ingestion.

Action cćtogćne d’acidos gras avec un nombre żmpair d’atomes de carbone;

Mac Kay E. M., Wick A. N. et Barnum C. P. (J. biol. Chem., 1940, 136, 503-507).— L’ad-ministration dacides gras 5 nombre impair d’atomes de carbone 5 des Lapins ayant une teneur sufflsante en glycogćne hćpaLiąue provoque unc augmentation du taux des corps cćtoniąues dans le sang. Les acides valćrique, heptyliąuo, pćlargoniąue et undć-cyliąue sont cćtogćnes.

Vitesse de transformation des lćci-thines et des cephalines dans le foie;

Sinclair R. C. (J. biol. Chem., 1940, 134, 83-89). — La vitcsse de transformation des acides gras, mesurće par celle dc fixation de 1’acide ćlaldiąue, est pratiąuement la mćme pour lcs Ićcithines et les cćphalincs du foie de Rat. Par ailleurs le pourcenlage maximum d’acide ćlaldiąue est plus important dans les Ićcithines que dans les cćpha-lines. Si Fon prend comme critćre de Facti-vitć des phospholipides, la vitesse de transformation des acides gras, ces rćsultats ne confirment pas Fidće que les Ićcithines seules sont intermćdiaires dans le mćtabolisme de8 lipides et cjue les cćphalines ont exclusiveraent une fonction non-mćtabolique.

*    Influence de la thyroidectomie sur les lipides sanguins du Chien; Chaikoff 1. L., Entenman C., Changus G. W. et Reichter F. L. (Endocrinology, 1941, 28, 797-805). — Augmentation du taux de lipides sanguins aprćs thyroidectomie chez lc Chien; lcs diflćrcnts constituants lipi-diques varient difTćremment aprćs cette operation. Le cholestćrol et Jes acides gras prćsentent Faccroissement maxirnum.

*    Cholestórolemie et pouvoir chole-sterolytique du serum sang^iin chez le Chien et le Choval; Darraspen E., Florio R. et Mureau J. (C. R. Soc. Biol., 1943, 137, 472-473). — Dans lcs maladics infcc-tieuses, Fśtude de la cholestćrolćmie peut ótre complćtće avantageusement par celle du pouvoir cholestćrolytiąue.

*    Effets de l’hypophysectomie 6ur rhypercholestćrolemie du Chien ;Thomp-

son K. W. ct Long C. N. H. (Endocrinology, 1941, 28, 715-722). — L’hypercholestćrolćmie de Chiens thyroidectomisćs fut supprimće par l hypophysectomie. Cette općration a provoquć dans trois cas une hypocalcćmie avec tćtanie. L’administration d’extraits hypophysaires de Mouton a provoquć une ćfćvation du taux du cholestćrol du plasina chez trois animaux. Discussion des effets produits et de leur mćcanisme.

Les lipides totaux et leurs constituants dans la tumeur expćrimentale de Flex« ner-Jobling; Cristol P., Monnier P. et Lazerges P. (Buli. Soc. Chim. biol. [Trau 1941, 23, 1078-1085). — LNStude des lipides des tumeurs expćrimentales de Flexner-Jobling montre que : 1° Les lipides totaux, Finsaponifiable total et Finsaponifiable X, ainsi que les acides gras totaux prćsentent un taux plus ćlevć, a) dans les tumeurs dont l’ćvolution n’est. arretće que dans les tumeurs en plcine activitó proliferative; b) dans les tumeurs en pleine activitć prolifćrative que dans lcs tumeurs nettement nćcrosćes; 2° le cholestćrol est invariable quelque soit 1’ćtat de la tumeur; 3° le pourcentage en phospholipides des lipides totaux est trćs ćlevć et

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   teneur du sang humain en acide

.•« pyruvique dans la pellagre; Tsatsakos D. (Klin. Woch., 1943, 22. 442-443). — L’au-: p teur constate 1’augmentation de 1’acide pyru-‘ J vique du sang au cours de la pellagre; 11 montre le róle de la cozymase (co-dćhydrase JI) dans la dćgradation de cet acide.